L'unique chose à faire est de rompre avec le passé par l'effort et la volonté. Je ne dois plus me réfugier dans la solitude ... C'est seulement comme ça qu'un jour peut-être, je serai reconnu ... 

Vagabondant dans un village d'apparence calme, je m'aventurai dans une petite rue, sombre et très peu peuplé. Il n'y avait aucune boutique dans ce lieux.Seul quelques personnes y était établis, des bouteilles d'alcool à la main, ou bien endormis dans leur pauvreté.

Je m'aventurais, sans poser le regard sur une seule d'entre elles.
Aucune émotion n'était visible sur mon visage. Ni pitié, ni compassions.

Alors que je traversai cette rue, quelqu'un osa me bousculé. Oui, ce n'était que par mégarde, mais cela suffit à  m'irrité. Enfin.
Non, en vrai, je n'étais pas réellement énervé, mais, j'avais l'opportunité, d'achever la vie de quelqu'un, et de me prouvé que mon existence pouvait avoir une signification.

Mon regard se posa alors sur lui, un regard sombre et ténébreux, vide d'émotion remplis d'une grande solitude. Voila ce que cet homme pouvait voir de moi.

Sans dire un mot, et sans même bougé, du sable se mis a sortir de cet étrange objet que je portait sur mes épaules. Celui ci était énorme, cependant, il ne semblait pas vraiment me gêné. Bien au contraire.
Avec une rapidité sans pareil, le sable saisis les pieds de cet homme. En m'observant, l'homme compris, que ces jours était menacé. Il eu beau ce débattre, il ne put échapper a son sort

Soudainement, le calme de cette ville disparus. Les quelques personnes ayant vue cette scène d'horreur sortirent de la rue en hurlant, ils étaient visiblement  tous effrayés, fuyant le plus rapidement possible de cet endroit.

Du sang coulé sur les bordures des murs de maison m'entourant. Il n'y avais plus aucune trace de l'homme qui avait oser me bousculé, le sable avait fait son devoir, et l'avait tout simplement broyé.

Un sourire sombre, est étrange régner sur mon visage, c'était comme, si j'avais du plaisir a tué. Le sable revint alors à moi. Et, sans ne plus rien dire, je repris ma route, trempant mes pieds dans le sang qui avait aspergé le chemin.

 

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Le pire des crimes serai de considérer sa vie comme insignifiante.

Les humains sont de faibles créatures qui ne savent pas sauver leurs peaux par leurs propres moyens. Ils sont exaspérants. Plus j'agis aux ordres de Kaname-sama et plus mon ennuie se creuse de plus en plus profond. Je voudrais que ce jour soit différent et j'aurai fais le souhait de pouvoir éliminer autre chose que ces vampires ennuyants qui perdent le contrôle de leurs propres corps pour s'attaquer aux humains. Et si une rencontre inattendue venait à avoir lieu au même moment où je le désire ? Non, c'est impossible.

Et pourtant, tu es celui qui a rendu possible l'impossible.
Je me promenais dans les sombres ruelles de ce village quand j'entendis soudainement des cris retentir. Je restais pour le moins indifférent face à ces cris. A force d'en entendre ... Cela m'exaspérait. Les humains ... Ne pensent cas fuir pour sauver leurs propres vies. Ils agissent si lâchement que je finirai pas les détester et les protéger à contre-coeur.

Je continuais d'avancer dans ces ruelles sans ressentir d'émotion particulière, en mangeant un batonné chocolaté. Mon regard était d'un bleu glacial, froid comme de la glace. Il se posa alors sur les murs qui était teint d'une rouge écarlate, un rouge sang qui n'en fit pas indifférent de ce que j'avais l'habitude de voir. Je restais indifférente face à ce spectacle ... Mon regard ne se posa pas sur toi. Mais je devinais rapidement que tu étais présent dans les parages. Car l'odeur humain, je pouvais parfaitement le ressentir.

“”

Je regardais alors le sang répartie aux sols. Mes pieds étaient poser dans une flaque de sang, et j'étais entourer d'un atmosphère terrifiante. Cela me répugnais. Je détestais ce genre d'endroit puante et dégueulasse.

Puisque tu es l'auteur de cette acte, je vais te faire nettoyer les murs. C'est répugnant de vagabonder dans un tel endroit. 

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

L'unique chose à faire est de rompre avec le passé par l'effort et la volonté. Je ne dois plus me réfugier dans la solitude ... C'est seulement comme ça qu'un jour peut-être, je serai reconnu ... 

Alors que je pensais être désormais seul dans cette rue, je sentis ta présence, et il ne fallu que quelques secondes avant que  ta voix retentisse.

Un long moment de silence régna. Et sans même prendre le temps de te regardé. Je fis sortir le sable de ma jarre.
Celui ci sentait fortement le sang. Et, avec lenteur, je me retourna vers toi.

Mon regard était  glacial et semblait sans âme.
Le sable se mis alors a voler autour de nous. C'était comme si une tempête venait de s'abattre.
Il était rapide et faisait un bruit strident. Un bruit aigus qui pouvait, aux yeux d'humains être terrifiant.

Cependant, il ne semblait pas menaçant pour le moment.

Mais, tu étais dorénavant devenu ma proie.
Et tout en te regardant, je t'adressa ces quelques mots avec froideur.

 

Qui es tu, pour te permettre de me donner des ordres. 

Il était clair que je n'avais pas prévus de t'obéir.

Et sans attendre ta réponse. Le sable s'élança sur toi à toute vitesse.

Quand à moi, je regardai ce spectacle les bras croisés.
Le sable m'obéissé au doigts et a l'œil et je n'avais aucune difficulté à le contrôler.

 

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Le pire des crimes serai de considérer sa vie comme insignifiante.

Le ne t'avais pas adresser ne serai-ce qu'un seul regard depuis que j'avais ressentie ta présence et même après avoir t'aborder. Je semblais contempler ce rouge dégoulinant sur les murs et ressentir l'odeur de sang qui émanait partout dans ce lieu. Ce sang, était pas fraîche, voir dégueulasse avais-je penser. Rien qu'à le sentir me donnais aucune envie d'y goûté. Je continuais de mâchouiller ce petit bâtonnet chocolaté qui était présent depuis le début de mon apparition sur les lieux, que je n'avais toujours pas fini. Je tenais un parasol visiblement très esthétique et sophistiquer au dessus de la tête.
Pendant mon moment de détente malgré la situation, je commençais a sentir le vent qui soufflait de plus en plus fort. Il n'y avait aucune doute, je m'attendais à ce que tu prépares une attaque.

“”

Au moment où je prononçais ces mots, mon regard glacial fini enfin par se poser sur toi. Et à ma grande occasion, je ne m'y attendais pas à une telle découverte. J'écarquilla les yeux, assez surprise de te voir.

... Tu es jeune .. 

Um ... Tu as la même couleur de yeux que moi. Tu à l'air différent des autres ... Mais tu n'en restes pas moins mignon. 

C'est décidé ! Je ferai de toi, ma peluche préférée.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

L'unique chose à faire est de rompre avec le passé par l'effort et la volonté. Je ne dois plus me réfugier dans la solitude ... C'est seulement comme ça qu'un jour peut-être, je serai reconnu ... 

Alors que je m'apprêtais  a t'attaquer, je te vis disparaitre et réapparaitre face à moi en une rapidité fulgurante.
Je resta sans voix, cependant mon regard resté froid et vide d'émotion.
J'écouta tes mots et te laissa me toucher et me parler bien que ma rage et ma haine augmenté à chaque mot que tu prononçais. Je me sentais légèrement offenser.
Qui étais tu, pour oser ne pas me craindre.
Au moment ou tu m'annonça comme étant une peluche, mon poing se serra et le sable commença a s'agitait de nouveau.
Je te demanda alors avec une froideur sans pitié.

 

Qui es tu. 

Mon regard était sombre, je me demandais réellement. Pourquoi tu restais ici, à me parler, alors que je venais de commettre un meurtre de sang froid.

Bien que je semblais étrange. J'écoutais attentivement ce que tu allais me répondre.
Le sable quand à lui, était toujours prêt a t'attaquer.

 

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Le pire des crimes serai de considérer sa vie comme insignifiante.

Le regard froid que tu me lançais ne me glaça pas le coeur. Je semblais même amusée de voir que quelqu'un de si jeune que toi pouvais avoir un tel regard. Et d'un côté, je dois comprendre les humains qui te trouve comme quelqu'un d'effrayant.
Face à la réaction agressif que tu as à mon égard, moi, je ne puis me comportée comme une petite fille sereine, calme, joyeuse ... Mais aussi, mystérieuse. Étrangement lorsque j'avais annoncer que je voulais faire de toi ma peluche préférée, une joie étrange me possédais. Écoutant la simplicité de ta question ... Un petit sourire mystérieux nait sur mon visage.

“”

Malgré l'air menaçante qui pesait sur les lieux, je me comportais toujours comme une fille amusée.
En gardant les bras croisées, je te proposa un marché.

Je ne t'attaquerai pas si tu ne m'attaques pas. Je t'attaquerai si tu m'attaques en premier.
Oh. Et si on jouait ensemble ? Sa pourrait être amusant.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

L'unique chose à faire est de rompre avec le passé par l'effort et la volonté. Je ne dois plus me réfugier dans la solitude ... C'est seulement comme ça qu'un jour peut-être, je serai reconnu ... 

Mon regard restait posé sur toi. Je ne te comprennais pas. Pourquoi restais tu ici, et pourquoi répondais tu sans crainte. Tu étais une énigme actuellement.
J'écouta alors tes paroles, et avec surprise, je te répondis simplement.

 

Je m'appelle Gaara. Gaara du desert.  

Je n'avais pas l'habitude de dévoilai mon nom. Dans mon village, j'étais bien connus, et tout le monde me fuyait. Alors que toi. Tu restais là, posté face à moi avec un air simple et confiant.

En entendant ta seconde phrase. Je ne répondis rien. Mon regard se détourna simplement.
Je finis alors par me retourner et reprendre ma marche. Préférant visiblement t'ignorer.

Le sable qui volait autour de nous, retourna alors dans la jarre.

 

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Le pire des crimes serai de considérer sa vie comme insignifiante.

Quand tu finis par me répondre à mon grand étonnement, un léger sourire se dessina sur mon visage. Je riais à voix bas avec beaucoup de grâce et de douceur. Je ne pensais pas que tu allais me répondre ... Et décidément, ce n'était pas plus mal.
Mais juste après que tu m'ai dévoiler ton nom ... Tu allais repartir à nouveau. Une chose est sure ... Je ne représentais plus quelque chose de menaçant pour toi. Tellement au point, de ranger ton arme. Alors, qu'étais-je devenue à tes yeux ? Si je ne suis plus une chose dont tu veux te débarrasser.

Au moment où tu t'apprêtais à repartir sans un mot ... Je te regarda t'éclipser. Tu semblais aimer la solitude ... Vivre seul aussi longtemps devait être insupportable. Je me demandais comment tu vivais, pourquoi tu tuais. Même les pires criminels ont des compagnons d'armes. Tandis que toi, tue tout ce qui bouge. Etre si seul, ne te rends pas triste ? Et quel est ton but ?
Sans crainte, mais avec un petit degré de méfiance, j'accourus vers toi et me pencha sur le côté en te regardant, et t'adressa la parole à nouveau comme si tout était normal entre nous. Je voulais te connaitre. C'était la première fois que je rencontre une personne comme toi, et cela attira ma curiosité.

“”

Je répondais simplement à ta question avec une simplicité incroyable, à toi qui voulait s'avoir mon identité.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

L'unique chose à faire est de rompre avec le passé par l'effort et la volonté. Je ne dois plus me réfugier dans la solitude ... C'est seulement comme ça qu'un jour peut-être, je serai reconnu ... 

J'avais alors repris ma route, quand je te vis me suivre.
Mon regard se reposa sur toi,il restait d'une froideur ingrate, aucune émotion n'en ressortait.
Bien que tu venais de répondre a ma question, je ne prononça aucun mot, même pas le moindre remerciement.

Je continua alors de marcher dans le silence. Et puis après quelques pas je stoppa ma marche.
Mon regard se posa alors en direction du ciel.
Il faisait déjà noir et la lune était visible.  J'avais pour habitude de contempler la lune. Mais ce soir, je n'en avais en réalité aucunement envie. Un vent doux et léger soufflait.

Ce village ne m'était pas familier, et je devais des a présent retrouvé mon équipe, car ma présence ici n'était du cas un simple examen.

Je semblais avoir déjà oublié ta présence. Et c'est en me souvenant que tu étais la que mon regard se reposa sur toi.
C'est avec une voix froide que je te demanda alors de partir.

 

Pars. 

Ce simple mot était dit sans aucun sentiment. Je ne voulais tout simplement pas être accompagné de quelqu'un.

 

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Le pire des crimes serai de considérer sa vie comme insignifiante.

Ton comportement me laissait indifférente. Que tu te montrais si impoli ne m’irritais pas tellement. J'étais presque amusée que quelqu'un n'avait pas de politesse envers moi, ça sortait de mes habitudes quotidiennes. Levant les yeux vers le ciel, je vis à nouveau ce paysage qui m'était familier: La lune. Nous avons tellement j'habitude de la voir qu'elle en devient lassante.
Pendant que j'observais cette lune je t'entendis alors m'adresser la parole sous un ton froid. A la première occasion, je ne semblais pas bouger d'un pouce et n'agissais pas. Je restais simplement là, à écouter, sans rien dire.
Après un moment circonspect, je m'approcha de toi.
Je sortie alors ... Un nounours. Cette peluche était en forme d'ours et de couleur marron. Elle n'avait pas sa place dans de tels circonstances et pourtant, je voulais qu'elle soit là.
Passant derrière toi, je pris cette peluche à deux mains ... Et la plongea dans le trou de la jarre que tu portais sur le dos. Elle s'y trouvait dorénavant au fond. Mon acte était complètement insensée, et impossible a distinguer le pourquoi du comment.
Après avoir emprisonner le nounours dans ta jarre, je sortais à nouveau mon paquet de bâtonnet chocolaté et récupéra mon parasol. Sans la moindre expression, je me retourna en marchant avec mon parasol, et un gâteau dans la bouche, comme si de rien n'était.