"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

En pleine activité de jardinage je semblais réaliser cette acte avec beaucoup de joie. Et pour faire passer le temps, je prenais le soin de complimenter chaqu'une des fleurs que je venais d'arroser en la qualifiant joliment. Une fois l'eau entièrement vider, je revenais à toute vitesse vers toi avec un large sourire aux lèvres.

“”

Sous un ton totalement enfantin, je t'adressa ces quelques paroles. J'avais grand hâte de pouvoir aider ces petites fleurs. Mais j'avais encore plus hâte de pouvoir poser les pieds chez quelqu'un, cette idée me rendais vraiment excitée. J'étais devenue vraiment heureuse à l'idée de t'avoir connu, je te trouvais vraiment comme quelqu'un de gentil et attentionné.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

"Je ne suis pas un fils à maman, j'aime tout simplement ma mère! Je voulais tellement partir en Australie.

Alors que j'était plongé dans mes pensés, je t'entendis revenir et me demandé si on pouvait y aller.

Je t'adressa alors un grand sourire et hocha la tête. Je commença alors a m'avancé vers la sortie du lycée

Oui allons y !

J'était soudainement plus calme et pensif. Et tout en marchand je te posa la question qui me trottais dans la tête depuis tout a l'heure.

Dis moi, quel plat serait bon a déguister après une journée très fatiguante ..?

Ce qui me tracassais depuis tout à l'heure n'était que cette simple question, je voulais réellement concocté un bon plat pour ma mère et qu'elle soit heureuse de le savourer après son travail fatiguant.

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"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

Ton attitude me semblais légèrement différent quand nous avons empunté la sortie du lycée. Je ne comprenais pas ce qui pouvait te tracasser pour t'avoir rendu soudainement beaucoup plus calme. Alors que je m'apprêtais à te poser la question ... Tu me posa directement la question qui était à l'origine de ton tracas.
Face à tes paroles, je semblais bien perturbée.
Je baisse alors lentement la tête, et semblais légèrement attrister. Je te répondis alors avec un petit sourire triste et désolée.

""

Ceci n'était pas un mensonge. Je ne me nourrisais que de ces deux choses là. Sans viande, ni fruit, je ne connaissais vraiment pas grand chose à la nourriture. Je n'avais le droit que de manger ça. Et parfois, cette nourriture est insuffissante quand nous devons travailler toute une journée. C'était aussi l'une des raisons pour laquelle j'ai intégré cette établissement ... En réalité, c'était pour aller à la cantine, et ramener de la bonne nourriture à mes frères au temple.

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"Je ne suis pas un fils à maman, j'aime tout simplement ma mère! Je voulais tellement partir en Australie.

En entendant ta réponse, je me montra légèrement surpris. C'était tellement rare de voir des gens comme toi, qui ne connaissais aucun plat, sauf le riz et le pain. Et c'est avec un air idiot que je m'adressa stupidement à toi.

Ohhh ~ Et bien . Tu pourras manger avec nous si tu veux~ Je t'apprendrai a cuisiner quelques choses de bons ~

C'était avec beaucoup d'énergie que je te dit cela.
Et alors que nous étions sortis du lycée, nous arrivâmes devant un grand immeuble d'apparence plutot pauvre.
Sans ne rien ajoutait, j'y entra et commença a monter des escaliers.

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"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

Au vue de ta réaction, je baissa alors timidement la tête et détourna le regard quand j'avais compris que ce n'était pas habituelle d'entendre que je n'avais jamais rien manger autres choses que du pain.
Je ne dis alors plus rien juste après les paroles que je venais de prononcer. Un petit sourire triste régna alors sur mon visage. Je semblais visiblement triste de ne pas être assez ouverte pour pouvoir t'aider et te conseiller.
Quand soudain je te vis me parler. C'était à mon tour d'être surprise par tes paroles. Goutée à quelque chose hors que le pain et le riz ... Avais-je vraiment le droit ? Mon regard s'illumina d'un coup, je bavais devant rien que d'y penser.

“”

Cette question était si banale qu'elle ne devrait même pas être poser. Mais j'étais tellement affamée rien que d'y penser à gouter autre chose que du pain. Mais, il y eus soudainement un chute dans mon enthousiasme.
Je baissa soudainement la tête, et fis un non de la tête en secouant.

Non ... Il ne faut pas que je pense qu'a moi. Je vais garder cette part pour les petits.

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"Je ne suis pas un fils à maman, j'aime tout simplement ma mère! Je voulais tellement partir en Australie.

En entendant ta question, je te lança un regard amusé, tu avais vraiment des questions étranges, mais je trouvais ça plutôt amusant.
Cependant, je  n'eu pas le temps de te répondre que je t'entendis t'inquiéter pour ces enfants. Et c'est tout naturellement et de façon totalement stupide  que je répondis avec un grand sourire idiot.

On aura cas faire énnoooorrmmémmeennt pour qu'eux aussi est a manger ! Neh?! Ça te va ? Comme ça tout le monde en aura! Ma mère a grand appétit, c'est pour ça qu'elle travail aussi en cuisine, on a toujours beaucoup de nourriture en trop, tellement qu'on pourrait nourrir un régiment.

Je disait ça avec un air simplet et ridicule, cependant ce que je disait était vrai, ma mère travaillais vraiment dans la restauration car elle avait un très gros appétit.

Et alors que je te répondis, j'entra dans l'immeuble et commença a monter les marches de l'escalier, c'est après deux étages , que j'ouvris la porte de notre maison. Le couloir ou se trouvait la porte d'entrée était sombre, les murs ainsi que le sol était d'un gris foncé qui rendait le lieux très froid et peu accueillant, cependant une fois la porte ouverte, l'intérieur de notre maison était très coloré, sans perdre de temps, j'enleva mes chaussures et m'avança dans ce qui se présenter comme un salon, il n'y avait pas grand chose, une table accompagné d'une étagère ou se trouvait bouquin et assiette.

C'est en avançant dans le salon que je frappa dans mes mains et m'adressa avec énergie.

Bon tout d'abord! Je doit prendre les accessoires de jardin! Ils sont ...Ici !

C'est en rentrant dans une pièce servant de débarras que je trouvas de multiple accessoires tels que des ratisses, des seaux, des cisailles et d'autre matériaux de jardinage.

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"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

Bien que mes pensées étaient hantés par ces enfants que je considérais comme des frères, à force de tout partager à leurs côtés. Rien que je fais de penser à eux m'attristais. Mais tes paroles, avaient subitement détourner mon attention. Quand tu disais avoir la possibilité de faire un grand plat collectif, mon sourire était plus grand que jamais. Alors je vais enfin pouvoir gouter à de la nourriture autre que le pain et le riz. Je ramena mes mains ensembles et hocha plusieurs fois la tête, il était évident que j'étais d'accord.

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Le seul interêt de mes paroles été centrer sur la nourriture. J'étais captiver par cela et semblais être vraiment très impatiente. En effet j'avais très faim. D'habitude, je n'avais que de quoi manger pour une demi-journée, et je travaillais sans relâche. Savoir que j'allais pouvoir manger, me réjouissais énormément.
Mon regard se posa alors sur les lieux que nous empruntames. Visiblement, ce n'était pas comme à l'école, et les lieux me semblaient un peu plus lugubre. Mais cela, n'attirait pas plus mon attention. J'étais juste vraiment heureuse de pouvoir aller chez quelqu'un, et encore plus, de pouvoir manger de la bonne nourriture. Quand tu avais retirer tes chaussures avant d'entrer, je supposais que je devais en faire de-même et, après avoir hausser les épaules puisque je ne savais pas comment agir en étant invitée, je faisais de-même en prenant exemple sur toi.
C'est alors que je t'entendis t'exprimer à haute voix en partant chercher les outils pour le jardinage. Face à cela, j'accoura vers toi avec le sourire. J'étais contente que toi aussi tu te préoccupais aussi de ces fleurs.

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"Je ne suis pas un fils à maman, j'aime tout simplement ma mère! Je voulais tellement partir en Australie.

En t'entendant si émerveillait par ma proposition, j'hocha la tête et répondis calmement en t'adressant un léger sourire.

Elle cuisine plutôt bien, mais ce n'est pas un grand chef pour autant...

Une fois tout les équipements de jardinages rassemblaient, mon regard se reposa sur toi.
Je me demandais maintenant ce que nous pourrions bien cuisiner, et sans ne rien dire, je partis en direction de la cuisine, examinant tout les aliments que nous avions déjà sous la main.
Et tout en cherchant, je te posa cette question.

Les enfants ...Sont il difficile ? Est ce qu'ils mangeront des légumes, si certain sont présent?

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"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

Je ne disais rien d'autre une fois que je t'entendis parler de ta mère et t'adressa simplement un sourire amusé. En t'entendant parler d'elle avec beaucoup d'amour, je me demandais ce qu'on pouvait réellement sentir comme sentiment en étant à la présence d'une mère. Je restais bien silencieuse dans un petit coin en continuant de sourire de façon triste et baissa simplement les yeux.
C'est alors que tu m'adressa à nouveau la parole. Sans s'avoir pourquoi, je me suis rapidement sentie transpercée par tes paroles, en t'entendant parler de ces enfants. Nous qui vivons dans une cruelle famine sans jamais quoi que ce soit d'autres que du pain et du riz, je n'ai pus me sentir fragile à cette conversation. Alors que ce sourire triste ne cessait de croitre, je répondis d'un hochement de tête, les larmes aux coins des yeux. Je n'arrivais cependant plus à prononcer un traître mot, et mon regard n'affrontais plus le tient.

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"Je ne suis pas un fils à maman, j'aime tout simplement ma mère! Je voulais tellement partir en Australie.

En ne t'entendant pas répondre face à ma question, je me retourna simplement et te regarda. Je ne mis que peu de temps avant de comprendre que quelques choses te rendait triste, bien que je ne savais pas quoi, j'avança en ta direction et attrapa ta main chaleureusement. Sans te laissa le choix, je t'emmena dans la cuisine.
Une fois à l'intérieur de celle ci, je lâcha ta main et tapa le comptoir en ajoutant avec motivation.

Bon. A partir de maintenant. On va cuisiner ensemble! Je vais t'apprendre!

Je ne te laissais pas le choix, et sans perdre de temps, je partis en direction du frigo et des étagères afin de poser plusieurs ingrédient et ustensiles sur le plan de travail. Je ne savais pas à quoi tu pensais, mais dans cette maison, je ne voulais pas te voir triste. Je commençais alors a tout mettre en œuvre pour te redonner le sourire.

Alors, il me faut..des oeufs! Tu peux me les passer?

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"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

Sans même me laisser le temps de reprendre mes esprits, je sentis directement ma main se faire saisir par la tienne. Alors que mon regard était totalement river vers le sol, il se leva petit à petit vers ton visage à nouveau. Pendant je me fis tiré de force vers la cuisine, je t'entendais me parler.

Tu m'annonça que tu voulais m'apprendre à cuisinier. A tes paroles, je restais alors encore dans les vapes, cette annonce était si soudain. Puis, reprenant mes esprits, je rougissais légèrement de gêne. Cuisiner est une chose que je n'avais jamais fais. Et puis, je suis aussi une fille très maladroite. Mais j'étais heureuse que tu me l'ai proposée. Car, il se pourrait même que tu ne réprimande pas si je fais une bêtise, comme la dernière fois. Je décida alors de reprendre confiance en moi et d'essayer de faire de mon mieux. Je serra alors mes poings et les leva juste devant moi avec détermination. Mon sourire revenait alors peu à peu.

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Je me doutais que tu ne pouvais pas comprendre, mais cela signifiait "Courage". Lorsque tu me réclama les aliments, je me pressa alors vers le frigo, un peu inquiète en craignant de faire une bêtise, il m'était dur de rester calme.

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Je me montrai très tendue à l'idée de cuisiner. Je te répondais avec beaucoup d'obéissance, comme j'en avais l'habitude.
Puis, je te tendis les oeufs que tu me réclamais de façon très directe.

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"Je ne suis pas un fils à maman, j'aime tout simplement ma mère! Je voulais tellement partir en Australie.

Mon regard se posa quelques secondes sur toi, j'attrapa alors les œufs que tu me tendaient avec attention, avant d'en casser un dans une poêle.

Je semblais très concentré sur ce que je faisais.
Soudainement, j'attrapa ton coude et te tira doucement vers moi avant de dire avec un grand sourire.

Tiens! Essaye de les casser dans cette poêle..

Je t'invita ainsi a participé a la préparation du plat, je pensais que cela devait être plus intéressant que d'aller prendre des ustensiles ou de regardé.
Tout en te déposant les œufs sur le côté, je me recula pour te laissait la place.

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"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

Admirant l'oeuf que tu venais de casser dans le poêle, telle une gamine idiote mon regard s'illumina devant, ayant la bouche grand ouvert traduisant toute l'admiration que j'ai à ton égard pour ce simple geste, qui à première vue, me ridiculisais plus qu'autre chose. Alors que tu me demanda de t'aider à faire la cuisine, ce stupide sourire s'éclipsa laissant place à un mouvement de panique. Je ne savais décidement pas du tout cuisiner. Mais, m'étant engagée à t'aider, j'y suis finalement parvenue à accepter de le faire même si mon regard traduisait une grande hésitation. Je pris alors un oeuf et le cassa dans le poêle à mon tour. Hélas, j'aurai beau m'appliquer plus que quiconque, il était dans ma nature d'être aussi maladroite: Des débris de coque de l'oeuf était mêler au jaune d'oeuf présent dans le poêle. Je fini par paniquée encore plus pour une chose aussi futile, mais tenta alors de garder mon calme en levant les yeux vers le plafond et en soufflant un grand coup. Je serra mes poings et de nouveau un air déterminer régna sur mon visage. C'était à moi de régler mon erreur, et je n'avais pas le droit de te mêler à ça, avais-je penser.

Alors que j'étais résolue a retirer les débris de coque de moi-même, n'ayant pratiquement jamais toucher à la cuisine je m'y pris d'une façon totalement idiot et maladroit, en tentant de retirer ceci simplement avec ma main. Je ne voyais pas d'autre moyen pour y parvenir, cela pouvait traduire toute la maladresse et l'idiotisme qui régnait en moi, bien que j'étais prête à tout faire pour me rattraper. Cependant, je ne tarda pas à me bruler, bien que je pouvais ressentir la douleur, étrangement, aucun cri n'en sortait. Je semblais être habituée au sentiment de douleur que cela n'en fit pas indifférent. Avec grande détermination malgré cette chaleur qui ne cessait de me ronger, je réussi bien que mal à retirer les débris de coque avant de relever imédiatement ma main, les larmes aux bouts des yeux, on ne pouvait s'avoir si c'était des larmes de joie dut à la réussite où parce que cela me faisais mal. D'un air idiot, je m'exprima alors:

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"Je ne suis pas un fils à maman, j'aime tout simplement ma mère! Je voulais tellement partir en Australie.

Bien que je trouvais la mission que je t'avais confier ridiculement simple, je ne tarda pas à remarqué que tu avais laissé tombé quelques débris de l'œuf dans la poêle. Cependant, contrairement à toi qui semblait paniqué de la situation, celle ci semblait bien au contraire m'amusé, et c'était tout naturellement que je m'étais mis à rire de la situation en m'adressant à toi comme à une amie d'enfance.

Baka.. Tu devrais être plus précise est douce dans ton geste. Je vais corriger ça.

Alors que je disais ces mots, je te vis alors tenter de ramasser les morceaux de coquilles avec la simple aide de tes doigts.
Ma première réaction fut d'écarquiller les yeux.
Je me doutais bien que plongé ça main dans la poile devait te bruler, et par précaution, je coupa alors le feu le plus rapidement possible. J'étais réellement étonné que tu tentes si bêtement de réparé ton erreur, cependant, je ne disait pas un mot pour t'en empêcher, comme si je me doutais que cela te tenais à coeur.

C'est alors que je t'entendis t'exprimé d'un air ravi et enjoué.
Je poussa un simple soupire tout en t'indiquant l'évier.

Tu n'es pas bruler ..? Passe tes doigts sur l'eau..par précaution, nee?

Je te disais ça d'un air calme et légèrement inquiet.
Et sans en ajouter d'avantage, je ralluma le feu, laissant ainsi les œufs cuirs.

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"Quand je tombe, je ne me relève pas. Je me bats pour me relever ! Si tu es incapable de maintenir debout sur tes jambes, alors reste au sol. Moi je me relèverai sans avoir besoin de jambes !"

En te voyant agir avec tant de précaution pour m'aider, mon regard devint rapidement pensif et restait poser sur toi. Soudain, un doux sourire se dessina sur mon visage. C'était étonnant comment je me donnais une expression mature contrairement à tout à heure.
Bien que j'avais sentie un léger brûlure sur mes doigts, je croisa ma main par derrière en te regardant avec admiration. Pour répondre à ta question, je fis un simple non de la tête en gardant ce sourire aimable sur mes lèvres. Mais mon comportement semblait toujours aussi étrange que d'habitude, alors sans montrer aucun signe de douleur et en riant à petite voix, je te répondis.

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Je ne semblais aucunement triste de te le demandé, car en réalité j'avais parfaitement conscience de moi. Bien que les paroles que je prononçais n'allais pas de pair avec mon comportement, je me montrais réellement heureuse de te le demander.

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Je disais ceci avec tant de naturel qu'on croirait presque que le fait que je te partage mes sentiments ne me dérangeait aucunement. Je pris alors les légumes dans ma main et un couteau. Tout en continuant à te parler, j'étais résolue de faire de mon mieux pour couper ces légumes. Bien que je n'étais pas habituée à faire la cuisine, je me suis dis que tant que j'étais fière de ce que je faisais, ça me suffisais pour être heureuse.

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Mes paroles étaient sincères, mais mon expression et mon comportement ne décrivais en rien mes paroles, alors je te tirai la langue avec une légère couche d'humour tout en continuant de couper les légumes.