Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Ne m'attendant absolument pas à ce qur Darcia se relève, mon regard se détachant de toi au moment du tire je semblais réellement surprise qu'il puisse se relever de si tôt après un tel attaque. Cependant, après avoir perdue vigilance, je te vis de nouveau te relever malgré ton état extrêmement grave. A ce moment je cria ton nom en tremblant en disant non de la tête, je te suivis par derrière à mon tour. Mais en te voyant alors ejectée de nouveau au sol, en voyant autant de sang émaner au sol et de ton corps, je me mis à trembler et en me précipitant vers toi, j'accourus pour m'accroupir devant toi en hurlant ton nom. Je te pris alors de nouveau dans mes bras éperdument et versant des larmes remplit de culpabilité et de désespoir, une inquiétude inée régnait en moi. C'était la première fois que de tels sentiments négatifs régnait en moi, une douleur incroyable sommeillait à l'interieur de moi. A ce moment la, je pensais réellement que c'était la fin, bien que je voulais continuer à y croire, je ne pouvais pas accepter ta mort. En te secouant éperdument, je hurlant ces mots instinctivement en pleurant à chaudes larmes remplit de désespoir.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

En te voyant dans cette état mourant, je sentis comme mon coeur battre mille à l'heure qui me donnait presque l'impression que je voulais partager ces battements avec toi. Les tremblements qui firent surface ne cessaient de s'accentuer, je ne pouvais savoir si cela était dus à mon sentiments d'inutilité où encore de la peur. Mais je ne cherchais réellement pas a comprendre, ni même à me calmer, mon esprit était chambouler et seules mes larmes qualifiaient un douleur perçant et profond. Bien que mes battements ne cessaient de s'accélérer, plus je te regardais lutté et nous adresser ces paroles, plus j'avais l'impression de perdre vie en moi.
La seule chose dont je parvenais à me rappeler après un esprit si embrumé était ton nom que je ne cessait de murmurer à voix basse avec une fois remplit de tourment et fragile. Alors que j'étais déterminée à te rappeler auprès des soins le plus rapidement possible, en entendant les paroles que tu adressais à Quent, j'avais l'impression d'entendre un adieu. L'espoir qui régnait en moi c'était à cette instant entièrement brisée mais éperduement, je fis quelques pas vers toi avant d'entendre les autres arrivées. En les entendant aussi paniquer, mon corps ne cessait de trembler intensément que je parvenais à peine à tenir sur mes jambes. Je ne semblais ni-même remarquer que mes larmes coulaient à flot, mon regard était éperdue, et ne cessant de suffoquer face à ce choc émotionnel de la sueur froide couvrait la surface de mon front. Même si cela faisait maintenant plusieurs minutes que tu ais été attaquer, je ne semblais pas réaliser sur le coup la gravité de la situation, et plus le temps passa, plus je commençais a avoir les idées clairs, et plus cela me faisait intérieurement souffrir de l'intérieur que j'en perdis la voix. Regardant alors Cheza te soigné, j'étais de loin d'être rassurée, de tas de sentiments me faisait souffrir et se mélangeait à l'intérieur de moi.
Mais la colère avait pris place minime face aux douleurs et au désespoir que je pouvais ressentir à cette instant, et sans plus tarder le halo rouge qui m'entourait ce dissipa. Au moment où Tsume t'adressa ces mots, je semblais si affectée par les évènements que mon ouïe ne pouvait percevoir ce qu'il te disait. Mon regard se figea alors sur mes mains tâcher de sang lorsque je t'avais toucher, et en voyant ce sang présent sur ma main, mon regard se déposa de nouveau vers toi, et mes larmes ne cessaient de couler comme s'ils ne pouvaient s'arrêter.
Au moment où Tsume se relève et s'apprêtais à reprendre la route, ce fût instinctivement que je lui attrapa les mains en tremblotants avec mes deux mains. Je ne savais pourquoi j'avais agis ainsi, mon regard était devenu vide et remplit de frayeur, ce que nous venons de vivre avait profondément marquer mon coeur. Je pensais t'avoir perdu à tout jamais. Et tout en disant non de la tête comme pour le retenir en ne cessant de pleurer, j’éprouvais comme le sentiment de le faire rester à nos côtés, car sans doute, si je restais à tes côtés, je ne pouvais pas te protéger comme à ce moment-là.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

C'est alors que Kiba adressa ces premiers mots d'un air calme.

En s'entend ta main le retenir, Tsume s'imobilisa et te regarda avec un regard doux et également assez triste.
Il fallait croire que cette tragique situation le bouleversé autant que toi, mais ce que celui ne dévoilait pas ces larmes, et comme pour te rassuré, celui ci te parla une nouvelle fois calmement.

Tsume essayait du mieux qu'il pouvait pour te soulagé, cependant, il s'avérait être très maladroit dans ces phrases, et tout en t'adressant un sourire taquin, il déposa sa main sur ta tête et ébouriffa tes cheveux.

En révélant ça, celui ci me regarda alors.
Je n'avais pas bouger et était toujours allongé auprès de Quent, cependant, l'effet des larmes de Cheza commençait déjà à faire effet et les plaies me couvrant semblaient peu à peu se refermer.

Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Eapercevant que tu avais ouvert les yeux, je resta devant toi bouche bée et les yeux grands ouverts en murmurant ton nom. Pendant un instant, j'avais sentie que mes larmes s'étaient arrêter de couler à leurs guises. En t'entendant alors m'adresser la parole, j'ignorais si le sentiments qui était enfouie dans mon coeur était de la joie où du regret, mais je pouvais comme ressentir des pincements dans mon coeur qui ordonnait à nouveau à mes larmes de couler. Sans tarder un instant de plus, je courus dans ta direction et me blottis dans tes bras en criant ton nom, et te renversant. Je ne pris même pas la peine d'attendre entièrement ton rétablissement avant de me jeter sur toi en pleurant et hoquetant.

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