Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Dans la cour elle observait à travers la vitre, tomber et s'étendre au sol avec des allures très diverses. Il pleut des cordes, une précipitation sempiternelle couvre le ciel d'une noirceur presque effrayante. Elle contemple ce triste paysage en s'appuyant sur son coude, sur sa table, pensivement. Elle est aisément assis sur sa chaise tandis qu'une triste mine  se dessina sur son visage, les yeux rivés vers l'extérieur. Quel triste paysage s'ouvrit à elle pour un après-midi d'automne. Sous les lumières dorées s'élançaient des silhouettes fantomatiques dansant les cents pas éphémères que tous connaissait si bien cette jeune fille, déléguée aux allures d'une mystérieuse princesse qui, contrairement à tous autres lycéens, dégage un aura de supériorité et d'autorité hors norme.
Le rythme des goûtes d'eau paraissaient plus assourdissante au cœur même de la pluie. Quel temps désagréable, entendit-elle murmurer de la bouche du professeur. Elle, ce temps ne le dérangeait aucunement car tous les deux étaient véritablement compatible. Ses cheveux étaient d'un brun similaire à ceux d'un ciel menacer par les orages, lisses et droits telle un éclair venant frapper le jour.

« Plic, plic, plouf. »


Partout où j'allais, j'entendis cette triste mélodie que me réservaient les précipitations. Une fois que la sonnerie retentit, je marchais les longs couloirs sombres et lugubre de l'établissement sans s'avoir ma destination. Je marche vers l'inconnu. Sa ne m'effrayait pas, car mon regard la dicte vers "l'inconnu". Et cette endroit mélancoliquement "sombre et lugubre" est d'une aucune façon, contraster à la couleur de mes yeux.
« Pouf ». Je venais de me cogné contre un obstacle. Quelque chose ... Où dirai-je plutôt, quelqu'un. Aucun réflexe. Mon regard se leva seulement après une longue et bonne minute. Rien d'extraordinaire, ce n'était qu'un lycéen ordinaire qui se tenait devant ma vision. Il s'avouait être bien plus grand que moi en taille, mais cela ne m'a pas empêché d'affronté son regard sans être intimidé. Ce que j'ignorais encore, c'est que malgré les apparences, lui, n'était pas comme les autres.

Faites attention, regardez où vous mettez les pieds.

Pour si peu j'oublierais presque que mes affaires étaient étaler au sol à cause de cette accident, et que je les avais délaisser par réflexe. Sans rien ajouté d'autre je poussa un profond soupire agacé et me pencha lentement pour ramasser mes cahiers ainsi que mes multiples feuilles éparpiller au sol. Il y avait de tout: Des devoirs, des documents officiels ... Tous étaient ménager. Et l'idée de devoir tout classer renforce mon tempérament, mais je restais cachée derrière cette façade calme et silencieuse.  

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Etudiant ne faisant que déménagé pour suivre sa famille, arrivant dans un nouvel établissement scolaire. Une rencontre bouleversante, ou une nouvelle amitié va naître. C'est ici que commence ma nouvelle vie.

C'est sous une journée pluvieuse que ma nouvelle vie commence.
Je me prépara comme à mon habitude a découvrir mon nouvel établissement scolaire.
Depuis quelques années, j'avais pris l'habitude de découvrir de nouveau lieu.

En effet, ma famille ne faisait que déménagé en raison du travail à mon père, et je n'avais pas d'autre choix que suivre et m'adapté au changement incessant.
Mais cela ne me géné absolument pas, au contraire, cela me permetté de faire de belle rencontre, et tissé des liens d'amitiés, cependant, il ne durait jamais longtemps et se brisé à chaque nouveau départ.
Ceci était devenu une routine. Je me disais simplement que je ne pouvais briser le destin. Et accepta que ma vie se déroule ainsi.

C'est ainsi ma première journée de cours commença.
Marchant d'un pas assuré en direction des casiers, et traversant les longs couloir des bâtiment qui m'était encore inconnus.

Je ne remarqua même pas que mon nouveau uniforme était trempé en raison de la pluie diluvienne qui tombait lors de ma route.
Ces couloirs me semblait familier, et ne m'intimidé pas jusqu'au moment ou une personne me percuta. Je ne vis pas tout de suite qui était cette personne qui venait d'interrompre ma route.

Mon regard mis peu de temps, avant de se poser sur cette  jeune fille.
Au moment ou mon regard se posa sur elle, j'entendis sa remarque.
Un grand silence régna quelques seconde.

Cette situation créa en moi, un moment de panique.
De ma bouche, ne sortait que des excuses.
Je venais a peine d'arriver. Et une situation troublante était déjà d'actualité.
Comment devais-je réagir face à cela ? Au moment ou son soupire parru.
Mon regard se baissa instantanément, gêné.
Je remarqua alors ces affaires éparpillé au sol.
Directement après les avoir vue. Je me pencha. Essayant de rassembler les multiples fiches étendu au sol.

Laissez moi vous aidez...

Alors que mes mains rassemblais les feuilles étalé au sol, mon regard ce reposa sur cette jeune fille.
Le courage ne me venait pas pour prononcé d'autres mots.
Cette situation m'était devenue réelement intimidante.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Un long moment de silence, presque pesant engloba l'atmosphère. Mais je n'ai pas cherché a m'y intéressé de plus près. L'essentiel pour moi était surtout de me préoccurer de tous mes feuilles volantes étaler au sol. Mon regard s'était principalement diriger vers elles: Je devais a tout prix les conserver précieusement. Après que j'eus le temps d'en ramasser quelque une, j'entendis le jeune homme proposé son aide ... D'un air bien paniqué. Je lui adressa un bref regard avant de me tourner de nouveau vers les papiers. J'ignorais s'il était sincère où s'il disait ça dans l'unique but de s'échapper à ma colère, mais peu importe. L'essentiel était là: Il s'est excusé. L'intention porter m'importais vraiment très peu.
C'était un regard froid et bien vide que je lui avais adressé. Mon intention du départ n'était pas de lui mettre la tension, je voulais simplement pas qu'il m'adressait pas la parole. Tous les hommes étaient pareils, pensais-je. Et cela n'échappera pas à ma vision. Mais il avait quelque chose ... En plus, que mon frère n'avait pas. Qu'est-ce que sa pouvait être ?
Je décida de ne pas répondre à son excuse et je me laissa influencé par cet air désintéressée.
C'est alors que je le vois se penché pour m'aider a ramassé mes affaires. Une chose que mon propre frère n'aurait jamais fait pour sa petite soeur. Il s'agit sûrement d'une ruse pour amadouer la colère de l'autre. Oui, c'est probablement sa. Je devais à tout prix éviter de tomber dans son piège.

J-Je .. N'ai besoin d'aide de personne.

Je lui adressa cette phrase à contre-cœur que j'en ressentirais une douleur serrée à la poitrine. Tout de suite après, je détourna le regard. Encore une fois, je n'ai réussi cas assuré ma propre fierté mais .. Pas celle que j'ai voulu être. Cette barrière entre les personnes du sexe masculin et moi est devenu impérissable et ne cesse de se forger de plus en plus solide chaque jour vécu aux côtés de mon frère. Je ne lui ai pas adressé un seul regard depuis cette parole. Je pensais qu'il aurait dus être blessé, il avait l'air d'une bonne personne, pourtant ...
Ce n'est qu'après un petit moment de réflexion que je le regarda à nouveau, toujours avec ce regard pesant et pris rapidement les feuilles de ses mains, méfiante. 

Vous êtes tout trempé, il est préférable pour vous de ne pas vous présenté ainsi en cours.

Ce n'est pas réellement ce que je voulais dire. Mais je n'arrivais cas sortir des phrases froides quand je m'adresse à lui. A chaque phrase que je sortais, je sentais comme un pincement dans mon cœur. Etre insociable ... Me permettrait vraiment a assuré ma sécurité ?  

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Regroupant les feuilles au sol, j'adressa quelques regards a cette fille, elle semblait étrange et méfiante. Je ne chercha pas a savoir pourquoi et écouta les quelques mots qu'elle m'adressa.

Avec étonnement elle rejetta le fait que je l'aide. Et me dit qu'elle n'avait besoin de personne.
Surpris par cette réaction je resta sans bouger quelques secondes.
Puis afficha un léger sourire timide et gêné.

C'est de ma faute, j'aurai du faire attention. Laissez moi au moins vous aider.

Je n'attendis pas de réponse et repris le tris dans les feuilles étalés au sol. Quelques peut gêné et tourmenté par cette situation, je ne trouvais pas de mot a dire pour qu'elle accepte mes excuses.

Je ne voulais pas l'offenser et décida de rester muet. C'était la seule solution que j'avais. Comme a mon habitude. Les mots que je souhaitait dire ne sortait pas. J'était quelqu'un d'extrêmement timide. M'exprimer publiquement était difficile pour moi. Je préféré me cacher derrière un caractère infondé et discret. Mon visage était devenu quasiment inexpressif. Mes yeux regardés le vides, comme s'il était perdu et aveugle.

Laissez moi vous aidez...Tout est de ma faute, j'aurais du être plus attentif .

Elle me pris soudainement les feuilles des mains, je la regarda quelques seconde sans ne rien dire.  Elle m'adressa une remarque sur ma tenue.
En effet celle cie était trempé, j'avais presque oublié que j'était trempé tellement cette situation me chamboulé.

Me redressant, je regarda la sol sans oser affronté son regard.
“”

Alors que je finissais tout juste ma phrase, un léger sourire s'afficha sur mon visage. Mon regard affronta de nouveau le sien. Le regard que je lui adressa semblait étrange, remplis de timidité et de culpabilité.

Je ne chercha pas a aboutir plus loin dans cette conversation et décida de reprendre ma route dans ce couloir inconnus.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Quel type étrange se tenait devant moi ? Plus les minutes passés en sa présence me rendait curieuse. Contrairement à tout ceux qui ont croisés mon chemin, celui-ci n'oppose quasiment aucune résistance. Et ce qui insiste beaucoup plus sur ma curiosité est son bon vouloir de m'aider, il est entêté a me filé un coup de main pour ramasser mes affaires. Les mots de culpabilités ne cessaient d'éclore, il ne me demanda que pardon depuis que je lui ai adressé la parole. Avec autant d'insistance ... Je ne peux conclure que ce qu'il disait était vrai, ce n'est sûrement pas un mensonge pensais-je. Mais je continuais de gardé un côté distant envers son égard.

Son regard ne mentait pas. L'expression naissante sur son visage était réciproquement allié avec son regard et cela ne pouvait pas m'échappé. Un instant j'ai crue me voir dans ses yeux, un sentiment que je connaissais même très bien. Mais je n'eus pas le courage d'ajouté quoi que ce soit, car je savais que si j'ouvrirais une nouvelle fois la bouche, sa sera pour lui ajouté une couche de dose à sa tristesse. Et même si, je détestais m'ouvrir aux autres en cherchant donner une bonne image du bon élève, je déteste encore plus faire souffrir d'autres personnes et je souhaitais simplement que personne ne m'approche. Je ne veux pas d'entourage, avec ce que je vis, je n'en veux pas. Mais que faire dans cette situation ? D'habitude quand je m'adresse avec autant de froideur vers les lycéens, ils déguerpirent aussitôt sans jamais prendre le temps d'examiné mes phrases, mots par mots. Dans le cas de cet homme, j'avais l'impression de le poignardé par les mots que j'utilise à chaque phrase.

Je ne demandais pas à ce que sa tourne ainsi. Je ne le voulais pas. Ce que je souhaitais était simplement de le mettre à l'écart de moi, comme je l'aurais fait pour tous. Mais lui, c'est différent. Si je ne mettais pas fin à ce qui se passe, j'aurais blessé une personne en voulant son bien.
Aucun son ne traversait ma gorge, j'étais crispé face à sa gentillesse. Il me semblait plus fragile que ceux que j'avais rencontré précédemment, mais doté d'une amabilité épatante.
Le temps de cette réflexion me pris juste le moment où mes papiers ont regagnés mon sac. C'est alors que je l'entendis évoquer sa dernière phrase et m'adressa de nouveau ce regard remplit de culpabilité ... Et un sourire qui me sembla être sincèrement triste. Un long silence me gagna. "Merci" ? Il m'a remercié de lui avoir adressé tant de cruauté dans la vérité évoquer ? Je n'ai a peine eu le moment de pensé à sa que je le vis déjà s'éclipsé. Je ne pouvais pas laisser les choses se dérouler de cette façon, il fallait qu'il comprenne.

A-Attends !

J'accourus vers lui et l'attrapa soudainement par le bras et le serra assez fort. Ce n'était plus un regard violent que je lui lançais, il était sincère. Un regard confus et intrigué à la fois. Je voulais le connaitre ... Il est réellement différent des autres lycéens.
Encore un blanc. Je l'ai attrapé par le bras et l'interpellé. Mais que dire ?! Je n'ai jamais fais face à cette situation. J'étais partagé entre l'image que je voulais qu'on ai de moi, et cette envie de me rattrapé. Que faire ? Que faire ?!

E-Euh .. Je .. Je ..

Je ne fessais que murmurer des choses incompréhensible une fois l'avoir arrêté. J'étais nerveuse ... Et tout ce discours sans sens se termine par un "Rah". Je fini par lâché lentement l'emprise de son bras et sort une serviette que j'avais ramené pour le prochain cours de sport. Je ne savais pas comment agir pour le remercier de sa gratitude. Je le regardais à nouveau dans les yeux, sans ajouté aucun mots pour éviter de faire un second faux pas.    

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Etudiant ne faisant que déménagé pour suivre sa famille, arrivant dans un nouvel établissement scolaire. Une rencontre bouleversante, ou une nouvelle amitié va naître. C'est ici que commence ma nouvelle vie.

Le regard baissait, l'esprit emcombré par ma culpabilité. Je continuais d'avançais dans ce couloir.

Mon coeur m'était devenu comme lourd, être rejetté et intimidé était dans ma routine.
Cependant je sentait très bien que les mots de cette jeune fille n'avait pas pour but de me rabaissé ou de me blessé, j'était perdu. Est ce que vouloir lui adresser la parole était égoiste de ma part..?
Des tonnes de questions se posaient dans mon esprit. Alors que mon regard était vague.  Je sentis des mains attrapé mon bras avec fermeté.
Je me retourna lentement, légèrement surpris.
J'eu un moment de silence, mais ne lacha pas le regard de cette fille..
Pourquoi m'interpellai t'elle a son tour ? Aurais-je encore fait quelques choses de mal ? Pendant quelques seconde je fut comme désorienté. Je ne comprennais pas qu'elle me retienne. J'entrouva la bouche comme pour parlé, mais je renonça. Un simple sourire se dessina sur mon visage.  
Elle semblait elle aussi hésitante et chamboulé, un léger rire s'échappa.

Ne perdez pas votre temps vous devez être chargé. .

Ces mots a peine prononçait, elle sortie une serviette de son sac.
Alors que mon regard se posa sur cette serviette, mon esprit devint assez tourmenté. Pourquoi sortir ceci. Voulait-elle m'aider? Je resta silencieux attendant surement qu'elle fasse le premier pas.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Durant un lape de temps je n'eus pas le courage d'affronté son regard. J'avais l'impression de me rendre incompréhensible moi-même, avec tout ce qui vient de ce dérouler. J'étais décidé de lui révéler mes véritables intentions, même s'il était clair pour moi, c'était loin d'être facile. Mais ce regard tourmenté, je me suis résolue à tout faire pour ne plus le voir par ma faute. Il fallait absolument que je fasse quelque chose ... Pour effacer cette tristesse qui vient tout juste de naître en lui avant qu'il ne fleurisse.
Comment m'y prendre dans cette situation ? Cela doit faire un siècle que je n'ai pas engagé une conversation normale avec une personne ..

Évitant de nouveau de parler pour m'exprimer à contre sens, je lâcha lentement l'emprise de son bras et lui tend immédiatement la serviette. C'était un geste de bonne volonté et je ne le regrettais pas .. Si sa pouvait l'aider a retrouvé un véritable sourire je le ferai. J'avais très bien compris qu'en le fuyant je le blesserai encore plus. Pourquoi est-il si différent ?
Je ne répondais pas à sa réplique malgré le fait que j'en avais très envie. Il a fallut que je m'abstienne pour ne rien dire de mauvais foie, mais au sein de l'établissement j'étais tellement habituée à me mettre à l'écart des autres.
Plus le temps passait, et plus mes mains tremblaient en tenant cette serviette. Les bonnes actions me rendaient vraiment nerveuse, j'en perdrais presque l'habitude.

Je leva lentement les yeux vers lui et finit de nouveau par croisé ce regard triste à la fois perdue qui me perçait le cœur. Je me sentais coupable à la fois reflété à l'intérieur. Ce sentiment est extrêmement désagréable, même si son sourire n'était absolument pas compatible avec son regard.

Arrête de me regardé avec ce regard ... !

Son regard est contagieux, je me suis soudainement sentie triste après cette parole ... Mais je ne voulais pas qu'il me regarde ainsi. Nerveuse, je fini par lui écrasé fortement le pied et en profita pour essuyer mes larmes aux coins des yeux. Je dois avouée que la méthode utilisée n'était pas très élégante ... Mais mon intimité à refait surface. A force d'agir de façon si incompréhensible, il va vraiment me prendre pour une personne bizarre à son tour.

Accepte ... Accepte mes excuses ! Mais épargne-moi ce regard accablé de tristesse ... Je ne voulais pas te blessé, ce n'était pas dans mon intérêt !

Je me suis soudainement sentie confuse ... D'être aussi sincère avec mes propres pensées. Combien de temps avais-je empêcher mes sentiments de voir le jour ... ?  Rapidement je mis mes mains devant ma bouche, étonnée de ce que je viens de sortir. Qu'avais-je dis pour me sentir si légère ?

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Un silence pesant régna.
Quand soudainement elle me tendu cette serviette. Je la regarda un instant, sans ne rien dire. Puis un léger sourire s'afficha, un sourire différent des précédant, il était remplie de gratitude et de remerciement. Je pris cette serviette avec délicatesse. Laissant mon bras retombé le long de mon corps. Je la sera un moment avant de la remercier.

Merci...

Nos regard se croisèrent. Et à ce moment elle me prononça quelques mots, qu'avais mon regard pour la gêner autant. Après m'avoir écrasait le pied assez brusquement, je recula assez surpris. Un petit "Hey" s'échappa de ma bouche. Je ne comprennais pas cette action. Elle me demander d'accepter ces excuses, mais m'écrasa brusquement le pied, pourquoi agissait elle si bizarement.
En faite, peut m'importe, j'était heureux, heureux de voir que je ne l'avais pas offensé de trop.
Les mots qu'elle prononça par la suite me laissa dubitative.

Je suis désolé si mon regard vous as dérangé..Je ne voulais pas ...

Un peu surpris par ces excuses, et cette phrase qu'elle venait de prononçait, je laissa échappé un doux sourire, j'avais l'impression qu'elle et moi allons enfin pouvoir nous parler assez normalement, avec timidité je repris mon souffle et osa lui adresser de nouveau la parole d'un ton calme.

Mon nom est Tegoshi Yuya, je suis nouveau dans cet établissement... Je suis désolé si je vous est donné une mauvaise image de moi.

C'était la première fois que je me présenter auprès de quelqu'un d'ici. Mais ces mots avait était prononcé avec le sourire. Et avec calme et douceur. Ce qui n'était pas dans mon habitude d'élève discret et peu bavard.

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Il es si gentil, ce garçon. Et cette gentillesse pourrait rapidement devenir une faiblesse pour lui, du moins je le pensais. Et ce sourire qu'il m'adressa ne fit que m'intimidé encore plus, je n'ai pus échappé à l'envie de détourné le regard .. Avant de le regardé à nouveau une fois cette gêne disparue. Et après que je lui écrasa le pied, rien ne la empêché de retrouvé ce sourire et cette bonne humeur ... Heureusement pour moi qu'il ne m'en a pas voulus. J'avais même l'impression que depuis le début, il ne m'en a jamais voulus malgré tout ... Et aurait tout fait pour essayé de s'intégré, en tant que nouveau.
Je ne me suis absolument pas attendu à nouveau a entendre son pardon. Il me donnait l'image  d'être une personne que l'on peut rapidement brisé par de mauvaises paroles ..
Un sourire nostalgique se dessina entre mes lèvres, le premier sourire que je lui adressa en le regardant dans les yeux. Il était sincère ... Vraiment sincère.

Tu me ressembles ... Un peu ...

Je laissa soudainement échappée un petit rire mignon reflétant mes pensées. Cette gentillesse et cette amabilité dont il fessait preuve me remettais à ma place initiale. Et durant cette courte instant de joie et de nostalgie, j'ai employé le tutoiement sans faire gaffe.  

Cesse de t'excuser, tu n'as rien fait de mal !

Sa réaction était amusante à voir. C'est une personne beaucoup trop aimable.  Et cette culpabilité ne l'a toujours pas quitté malgré les sourires qu'il m'adressait, et cette fois, de véritable sourire. Alors comme sa, c'était un nouveau. Cela devrait sûrement être la cause de sa timidité, il semble être quelqu'un de drôlement renfermé lui aussi, à première vue. 

C'est donc toi le nouveau ? Je te souhaite la bienvenue dans cette école. Je suis Angie, déléguée de classe.

Ce fût bien la première fois que je maintenais un sourire devant un camarade de classe. D'un ton taquin, j'ajouta: 

Si tu t'excuses en fois de plus, j'te tiens en heure de colle. C'est clair ~ ?

Pour la première fois je décide de prendre les devants et de me montrée un minimum ... Sociable ? Je n'attendis pas sa réponse avant de me retourné et regarda le fond des couloirs.  

Voudrais-tu venir avec moi ?  Je vais te présenté à tes camarades.

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Ecoutant attentivement ce que cette fille me disait. J'entendis des mots qui m'étonna légèrement..
Je lui ressemblait ? Elle semblait pourtant être quelqu'un avec un fort tempérament contrairement à moi, je ne savais pas comment interprété ces mots, mais je décida de passer outre et d'écouter les autres choses qu'elle allait me dire.
Cette fille m'étonnait de plus en plus, elle semblait réticente a l'idée de me parler au début, mais tout d'un coup, elle m'adressa la parole avec tant de facilité, comme si nous nous connaissions déjà. Je ne pouvais m'empêcher de sourire.
Pouvoir lui parler avec tant de facilité me rendait heureux, je n'avais pas besoin de grand chose pour être heureux, j'était ce style de personne qui avec un simple mot pouvait retrouvé le sourire.
Alors qu'elle me confia enfin son prénom, je le repetta à voix basse, puis adressa un franc sourire.

Merci Angie! .

Alors que je venais tout juste de la remercier. Elle me lança une petite phrase que je pris à la rigolade.

Bien je vais arrêter de m'excuser de trop alors..

Je laissa échappé un léger rire, c'était devenu tellement simple de lui parlé. Je n'avais plus aucune retenue ou même hésitation quand au moyen dont je devais employé mes mots.
Elle me proposa alors d'aller rejoindre les autres élèves de notre classe.
D'un vif hochement de tête, j'accepta son offre.

Allons y !

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Comme attendu, ces réponses avaient le don d'éviter de m'influencé. Cela me rendait perplexe, mais heureuse. Pour une fois que l'on m'appela par mon prénom ... Pour une bonne cause. Pour me remercier. Ce qui n'a jamais été une habitude pour moi, du moins, jusqu'à ce que mes parents m'abandonnent seuls dans ce triste monde. Sa voix raisonnait longtemps en moi .. Ces propos sincère je pouvais les entendre.
Je joignis lentement ma main au niveau de mon coeur. Quelle sensation agréable avais-je ressenti lorsqu'il m'a remercier. J'avais comme la preuve d'avoir été utile ... D'avoir une place dans ce monde. Un doux sourire s'illumina sur mon visage, accompagné d'une petite couche de timidité. Je souhaitais moi-même être sincère, pour une fois, et sourire comme je ne l'avais encore jamais fais à l'école. En souriant ... Je me sentais comme libre des poids qui pèse sur mes épaules.
Sa seconde réponse me fit encore plus sourire, et je fini même par lâché un petit rire délicat. Quelque part j'ai sentie que je regretterais si je n'accompagnais pas son rire .. Et cette joie qui illuminait l'atmosphère qui s'offrait à nous. Sous ce triste paysage menaçant par la pluie, pour une fois, une émotion chaleureuse venait de naître en moi.
Pendant que nous marchions vers la salle de classe, je n'ai pus m'empêché de porté une curiosité à son sujet.

Dis-moi Tegoshi ... Si tu m'autorises à t'appelé de cette façon ?

C'était un peu déplacé de lui adressé la parole en l’interpellant par son prénom, alors que nous ne venons juste de faire connaissance et parler normalement. Mais je ne pouvais m'empêché de me sentir à l'aise durant cette conversation t me laissa légèrement emporté. 

Pourquoi déménages-tu en plein période de l'année ... ?

C'est un événement rare qui m'intriguait, et c'est la première fois que je m'intéressais autant au sujet d'un élève. Peut-être a t'il rencontré des objections qui l'oblige à se déplacé ? J'aurais bien voulus en connaitre la cause, mais rapidement j'hésita ...

Ah ... Si sa te dérange d'en parlé, ou que c'est une cause personnelle, tu n'es pas obligé de m'en parler ...

Je poussa un petit rire pour masqué mon gêne, car je ne savais pas le faire autrement. Une fois encore, ma curiosité a refait surface ... Que je craignait presque avoir engendré une bêtise. 

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Angie semblait bien différente de la première impression qu'elle m'avait laisser parraître d'elle.
En effet, elle semblait un peu comme moi, inapte a parler normalement a quelqu'un.
Mais a mon inverse, j'avais l'impression que celle cie chercher a cacher ou enterrer des facettes de sa personnalité .. Pourquoi ça ? Je ne le savais pas. Mais ceci ne m'intrigué pas plus que ça. J'était déjà heureux de pouvoir lui adresser la parole.
Alors que je la vis sourire, un petit rire s'échappa de sa bouche, ce qui me fit sourire. Elle semblait enfin heureuse de me parler. Je l'écouta attentivement. Et sa prochaine question me fit enlever lentement mon sourire. En effet . C'était une question qui me revenait souvent. Et celle ci me chamboullé un peu à chaque fois. D'une voix plus réticente et triste je lui répondi.

Un sourire beaucoup moins sincère se dessina sur mes lèvres. Je pris une grande bouffait d'air avant d'enchainer avec une petite voix tremblante.

Ce lycée est le premier que j'ai choisis.. J'ai décidé de venir m'inscrire et finir mes études ici, ma mère a était prise dans l'hopital de secteur de cette ville, et mon père, pour le moment travail dans une ville voisine.

Ces mots semblait un peu monotomne, je n'était pas totalement réjouis dans parler. Mais cette fille me paraissait sincère, et, étrangement, je n'avais pas peur de lui en parler, cela me faisait même du bien, quelqu'un était enfin présent pour m'écouter.

Mon regard c'était reposer sur elle. J'était soudainement devenu silencieux, la suivant dans ce couloir qui m'en paraissait indéfinissable

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

J'écouta attentivement la réponse qu'il apporta à ma question. Cependant, je n'aurais jamais imaginé que cette question parviendrait a le faire perdre le sourire à nouveau. Je ne comprenais pas quel argument pouvait se caché derrière sa peine. J'avais ressentie de la tristesse émergée quand il me racontait ce qu'il portait sur le coeur.
En l'écoutant, je ressentais la difficulté dans la laquelle il vivait. Alors lui aussi vivait difficilement ...
Sa m'attirais un peu de compassion et de tristesse pour Tegoshi, je n'aurais pas imaginé qu'il pourrait vivre une telle histoire.

Je lui attribua une attention hors du commun, il fallait que je l'écoutais avec grande intention, et je doute qu'il pourra répété sa souffrance une seconde fois. Cela devait lui pesé lourd sur les épaules, et au lieu de ne faire qu'écouté, je voulais a tout prix lui venir en aide. J'avais énormément de mal a m'imaginé écouter ses tourments sans en payer le prix .. Même si je ne savais pas comment je devais agir dans ces situations, moi qui comprenait la douleur et la souffrance, je ne pouvais pas le laissé plonger dans cette tristesse, ou du moins, je voudrais au moins réussir à l’atténuer.

Aucun mot ne sortait de ma bouche, je me contentais simplement de l'écouté s'exprimer. Je voulais l'aidé, qu'il le veuille ou non je n'ai pas demandé son avis. C'est peut-être une erreur grossière de ma part, mais c'était plus fort que moi. Lire de la peine et de la souffrance ... Je détestais cela par dessus tout. J'approcha doucement ma main vers lui et fini par la posé sur son épaule. Et en lui répondant par un sourire énergique, j'ajouta:

Merci .. De m'en avoir parlé.  

Il était dorénavant hors de question pour moi de revoir cette tristesse se dessiné sur son visage. Je ne pouvais pas l'accepté ... Parce qu'après tout, j'ai toujours tout fait pour le bien des élèves en assurant mon rôle de déléguée. Et même s'il était encore un nouveau, Tegoshi fessait également parti des élèves de cet établissement. J'étais résolue a lui venir en aide, sans s'avoir comment j'allais procédé hélas .. Mais une détermination inébranlable naît en moi.

Je t'aiderais, Tegoshi !

Ill trouverait sa sûrement bizarre que je sors sa d'un coup, sans expliqué la signification de ma phrase. Mais je ne voulais pas en dire plus, et puis, il l'aurait sûrement compris. Je refuse d'abandonné ce garçon. Croyant que c'était par mon devoir que j'accomplis ceci, j'ignorais que je commençais a lié une amitié avec lui. Une amitié qui vient tout juste de naître, mais qui est déjà forte.
Attrapant son bras, je l'avança en le traînant derrière, et marche vers la salle de classe. Nous étions enfin arrivés.
J'ouvre la porte, et d'un voix assez puissante j'attira l'attention de tous les élèves présents à l'intérieur.

Je vous ramène, le nouvel élève !

Les regards se tournèrent tous dans notre direction, il ne restait plus que le professeur pour qu'un cours se déroule normalement. Cela dit, nous pouvons en profiter pour faire la présentation et l'intégré au sein de la communauté.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Etudiant ne faisant que déménagé pour suivre sa famille, arrivant dans un nouvel établissement scolaire. Une rencontre bouleversante, ou une nouvelle amitié va naître. C'est ici que commence ma nouvelle vie.

Alors que je venais tout juste de me confier quand a mon histoire à Angie, elle me remercia, je lui offrit un sourire et un léger hochement de tete comme réponse.
Je n'avais plus vraiment l'envie de prononcer autres choses. Je voulais clore ce sujet le plus vite possible, car celui ci me blesser quelques part au plus profond de moi.

C'est alors qu'un petit silence s'installe et que Angie dit qu'elle m'aiderais, sous ces mots, j'ouvris légèrement la bouche, mais aucun son n'en sortis, que devrais je lui dire, la remercier ? Lui dire que cela était inutil..?
Je ne savais pas, et préféra gardé le silence pour une fois.

Alors qu'Angie avait attrappé par le bras, nous arivames dans la salle de cours.
C'est alors que je vis les élèves qui partagerait désormais mon quotidien, avec timidité je m'avança dans la salle.

Ces quelques mots que je prononça sortirent avec timidité, il semblait qu'une tel situation était genante pour moi, à chaque fois, le moment des présentations avec ma nouvelle classe était le moment que je redoutais le plus..

Mon regard parcouru la salle, cherchant une place de libre. Je ne savais comment agir face a tout ce monde que je ne connaissais pas encore

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Un bruit de fond régnait dans la salle avant que nous entrons à l'intérieur. Rapidement ce bruit cessa une fois que nous avions mis les pieds dans la salle de classe. Un léger silence s'accumula en signe de respect, mais rapidement ce silence se transforma en une excitation encore plus présente qu'auparavant sous la venue de Tegoshi.
On pouvait entendre les murmures et avis des autres élèves. Les seuls que j'avais relevé était "C'est le nouvel élève ?" ou encore "Il est mignon".
Il y avait de tout pour faire une classe, et les plus excentriques ont été les premiers à accueillir Tegoshi les bras ouverts, et lui passant des accolades et en se présentant. On croirait qu'ils se connaissent depuis de long moment comme de bons amis.
C'était une attitude déplacé de leurs part, mais cela me fit affiché un petit sourire, et je n'avais eu aucune envie de les interrompre.
Le professeur, lui, arrive dans la salle après une dizaine de retard.

Excusez-moi de mon retard !  

Il adressa a toute la classe un sourire gêné, et se présentait comme un professeur maladroit et étourdit. Cravate mal mise, les cheveux décoiffés. Mais à voir, il avait l'air d'être quelqu'un de drôle et aimable à la fois.
Il remarqua rapidement la présence de Tegoshi.

Ah, toi au moins, tu es à l'heure. Bien, je suppose que tu t'es présenté à tes camarades ? Tu peux t'installé où tu voudras.

Il devait y avoir au total une dizaine de place libre. Deux places étaient libres autour de moi, une devant, et la seconde sur mes côtés. Personne n'avait fait le choix de se mettre près de ma table, mais sa ne me dérangeait aucunement: La vue m'était dégagée et sa m'arrangeait.
Suite à cette présentation le professeur principal lança un sujet qui attira la curiosité de tous:

Le lycée organise un événement durant ce début de printemps !  Une compétition théâtrale opposera toutes les classes de l'établissement.  

Ainsi le professeur récitait toutes les règles d'or que nous devons respecter durant une représentation théâtrale, avant de reprendre le fil.

La charge sera dédié aux délégués. Ils s'occuperont d'organiser et de répartir les rôles. Tous les élèves seront dans l'obligation de participer. Bien entendu, plus la classe sera haute classée, plus les cadeaux seront importants, alors faites de votre mieux !  

Avant même que le professeur n'ait terminé sa phrase, un fond bruyant se présenta à nouveau. Les lycéens avaient tous hâtes d'être à ce jour, et pensait déjà aux scènes et aux rôles qui allaient leurs être attribués. Les élèves se dispersaient dans toute la salle pour communiqués entre eux et songer à l'idée de cette représentation théâtrale.
Habituellement j'avais le devoir de remettre l'ordre dans la classe, mais c'était l'une des moments les plus rares où je ne fessais rien. Contrairement à cette foule d'agitation, je restais assise à ma place, les yeux rivés vers le sol.
Je ressentais une douleur soudaine à la poitrine et posa une main dessus. J'étais pâle de fatigue et très silencieuse comme à mon habitude. J'étais persuadée de pouvoir contenir cette douleur jusqu'à ce que la sonnerie retentisse, mais cette souffrance ne cessait de s’accroître.

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Etudiant ne faisant que déménagé pour suivre sa famille, arrivant dans un nouvel établissement scolaire. Une rencontre bouleversante, ou une nouvelle amitié va naître. C'est ici que commence ma nouvelle vie.

Je venais tout juste de me présenter, que certain élève me parler déjà avec familiarité.
J'était habitué a ça avec mes nombreux déménagement, et je leur répondait avec un large sourire, comme ci cela était normal.
Alors qu'une grande agitation avait lieux parmi les nombreux élèves, le prof entra.

L'image qui renvoyé de lui m'étonna un peu. Mais cela n'enleva pas mon sourire de mes lèvres, je le regarda et le salua avec un grand respect.

Il me complimenta sur ma ponctualité.
Je ne comprenais pas vraiment pourquoi. Être a l'heure me semblait être une évidence.

Il me dit ensuite de choisir une place, je regarda la salle un long moment et regarda les quelques places libres.

Je ne mis que peu de temps a me décidé et m'installa juste à côté de toi.
Je commença a sortir les quelques affaires dont j'avais besoin pour étudier et écouta de nouveau le prof.
Une représentation théâtrale ? Cela me surprenais. Je n'étais pas vraiment pas bon en théâtre.
En entendant que nous étions tous obligé d'y participé. Mon sourire disparu de mon visage. Je n'avais pas vraiment envie d'avoir de rôle. Cela m'angoissé déjà. Je détestais me montrer en public, a part quand il s'agissait de faire le pitre.

Une grande agitation se fit alors ressentir dans la classe, tout le monde était éparpillé en groupe pour parlé de cette représentation.

Mon regard se reposa sur toi, je fronça un peu les sourcils, voyant que quelques choses n'allais pas.

Je semblait comme inquiet pour toi.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Ma fatigue est tellement intense que je ne me suis même pas aperçu que tu t'étais installé à la place près de la mienne. Mon esprit et mon regard étaient orientés vers l'extérieur en regardant par la fenêtre. Je ne portais pas de réel attention à ce que les autres élèves racontaient mais cela ne fessait pas partie de mes habitudes.

Je pouvais a peine m'abstenir de soufflé normalement. A chaque fois que je respirais un pincement douloureux survient et me fatiguais. Je n'en connaissais pas la cause mais ce n'était pas la première fois que j'ai affaire à cette situation.

Dans ces moments là, je n'avais qu'un seul désir ... Etre à l'écart de tous pour pouvoir me reposé. Je savais juste que j'étais atteinte d'une maladie qui m'est méconnaissable, car je n'ai jamais cherché a vouloir s'avoir de quoi j'étais atteinte. Le temps me manquait énormément, et s'en est de-même pour l'argent.

Je gardais une main posée au niveau de ma poitrine. Je sentais mon coeur tiré toutes les secondes qui passent et engendre une respiration inconstante. Cette douleur était persistante que je ne savais pas comment garder le contrôle de mon rythme cardiaque. Mes yeux se ferma lentement sous la fatigue ... Et à la première occasion, je t'entendis m'adressée la parole. J'ouvris grand les yeux sous étonnement et tourna la tête dans ta direction. Je pensais être à l'abris de tous les regards, et j'ignorais même que tu avais choisis de t'installé ici.

Tegoshi ... ?

C'était d'une petite voix que je lui annonça ma surprise. Pourquoi ne s'est-il pas  joint à la foule pour discuté de la représentation théâtrale ? Serait-il trop réservé à lui-même ? Où parce qu'il est difficile pour lui de s'intégré ?
Plusieurs questions restaient en suspension. J'aurais aimé t'aider, mais il est clair que dans mon cas actuel je ne pouvais plus y faire grand chose. Avec un sourire, j'ajouta pour te rassuré: 

Ce n'est rien. Je manque simplement de sommeil ...

Je n'attendais pas de réponse et me leva brusquement en retirant ma main posé au niveau de mon coeur. Tout en tentant de masquer cette douleur persistante, je serra les poings et m'approcha de toi. Je t'attrapa de nouveau par le bras et te leva de ta chaise en gardant un léger sourire.

Ne soit pas si renfermé. Allons discuté de cet événement avec les autres.

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Etudiant ne faisant que déménagé pour suivre sa famille, arrivant dans un nouvel établissement scolaire. Une rencontre bouleversante, ou une nouvelle amitié va naître. C'est ici que commence ma nouvelle vie.

Mon regard resté posé sur toi. Ton comportement me semblait différent des autres élèves, je me posais pleins de questions sur toi. Pourquoi restais tu à l'écart? Pourquoi restais tu murer dans ce silence ? J'avais remarqué que ta main était posé sur ton coeur. Et cela m'interpeller d'autant plus. Avais tu mal ? Ou est ce une de tes habitudes ?
Je n'étais pas d'un naturel à m'inquiéter pour d'autres personnes, mais je ne savais pas pourquoi.  J'étais ainsi avec toi.
Bien que nous ne nous connaissions pas vraiment, j'étais inquiet à ton égard.

Je restais, là, assis en te regardant. Je t'avais interpellé mais ce fut après un court moment tu remarqua enfin ma présence, ta voix montrer un brin de surprise quand tu  me répondis.

Tu me répondis, que ton attitude était du a un manque de sommeil, j'avais du mal a croire ça.  J'entrouvis la bouche pour répondre. Cependant, tu me coupa dans mon élan, me prenant le bras et me tirant vers le reste des élèves.
Je n'avais même pas eu le temps de prononcé un traitre mot.
Je te regardais, en te suivant. Pourquoi agissais tu ainsi ..?

Une fois face à la foule d'élève, je m'arrêta tout en continuant de te regarder.
Je n'avais pas vraiment envie de parler de cet évènement, il ne m'intéresser pas.
Je tira alors une bouille d'enfant boudeur.
En me regardant, on pourrait croire que je n'était qu'un gamin dans ma tête.

Je n'aime pas le théâtre. C'est dur et énervant!

Je prononça ces mots tout en disant non de la tête. Je disais cela, mais ce que je faisais en ce moment même était de la comédie. Je n'était pas si gamin en vrai. Ce n'était qu'une image que je renvoyé.

Je continuais de te regardais et posa ensuite mon regard sur la foule, soudainement je  tapa du pied comme un enfant et gonfla mes joues.
Ce qui me donnais l'image d'un gros bébé.

Faire l'enfant têtus, c'était une habitude que j'avais prise.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

La représentation théâtrale est le centre d'attention de tous les élèves, même si certains en profitait pour se faire passer des messages en secrets, leurs sujets redémarrent juste après sur l’événement. Malgré mon épuisement j'étais heureuse de les voir aussi investit dans le projet, de plus sa m'empêchait de fournir des efforts en vain.

Je les regardais avec un petit sourire faible, et poussa un soupire de soulagement. Je prenais très a coeur le rôle de déléguée, sa en demandait beaucoup, mais sa ne me dérangeais pas. C'est même un plaisir pour moi de représenté la classe et de leurs venir en aide.
Il est évident que je voulais aussi t'aidé à t'investir et je t'accompagnais vers la foule d'élève. Cependant je ne m'attendais pas du tout à assisté à ce comportement enfantin dont tu fessais preuve.

Je n'étais pas d'humeur a rire avec cette douleur qui s'acharnait à l'intérieur de moi. Mais ce n'était pas de la colère que je laissais reflété. J'étais plutôt triste d'apprendre qu'il n'aimait pas le théâtre. C'était le premier projet à lequel il va devoir affronté, et penser qu'il déteste le théâtre ne va pas être avantageux pour lui.

Vraiment ... ?
Et si nous organisons le projet différemment tout en restant dans le théâtre .. ? Que penses-tu d'une comédie musicale ?

Rapidement entendu, tous les regards se tournèrent dans ma direction. Il semblerait que mon idée plait à pas mal de personne, mais déplaît de l'autre côté à d'autre.
Je regardais toute la classe en parlant en tant que déléguée.
Puis je te regardais du coup de l'oeil avec un sourire chaleureux.

Respectons ses choix ... Après tout, on peut organisé ce projet pour fêté la bienvenue au nouveau.

Je désirais t'intégré du mieux dans notre classe afin de te mettre à l'aise.
Quand je t'entendis hurlé de ne vouloir adressé la parole a personne, je serra ton bras et fronça les sourcils.

Mais ... Enfin !

Je te tourna et te met face à moi en te regardant droit dans les yeux. Mon regard était dur et faible à la fois. Je soufflais a grand coup ... Puis je repris un regard plus calme et t'adressa un petit sourire. Ma voix était calme et peu volumineux que l'on n'entendrait pas grand chose.

Ne dit pas de bêtise ... C'est difficile de ne pas pouvoir parler à des personnes ...
Si tu as dus mal à parler avec les autres, je t'aiderais.

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Face a mon comportement, je ne m'attendais pas a ce que tu décides de faire en sorte de m'aider a être à l'aise.
Ta proposition m'étonnait légèrement et j'était soudainement devenu plus sérieux.

J'inclina légèrement la tête, avec curiosité, cela me donner de nouveau cet air mignon et innocent.

Une comédie musicale ? Ce serait compliqué à organiser, il faut de tout.. Chanteur, figurant, danseur...

J'adorais la musique alors cette proposition me parraissait beaucoup mieux.
Mais je ne me voyais pas dire a tout le monde que je préféré effectivement ça.
Je croisa lentement les bras et continua de te regarder.

Que tu dises que ce choix était comme un moyen de m'accueillir ne me donner pas envie de m'affirmer quand a ma préférance.

Je regarda les élèves, avec un air mignon et ronchons, mais fus surpris quand tu me tournas en ta direction.
Ton regard avait changer et je l'avais remarqué.
Face à toi, je repris peu à peu mon sérieux et hocha la tête.

Je sentais l'emprise que tu avais sur mon bras se desserrer. En voyant que tu n'allais pas pour le mieux. Je décida d'être plus calme et réceptif a ta proposition.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

En t'écoutant me répondre je lâcha un petit rire. Sans doute j'avais deviné que tu avais une préférence pour ce choix.
Chaque minute que je passais en plus en ta présence me fessait penser à un gamin borné et adorable à la fois.

Ne fais pas le difficile ...

Je continuais de rire à petite voix. Ton comportement immature me fessait petit à petit oublié la douleur. Les autres élèves n'avaient pas d'autres choix que d'écouté la décision, mais ils n'avaient pas l'air déçus.
Un jeune garçon aux cheveux bruns et au air décontracté s'avança, enjoué, et se mêla à la conversation.

J'suis pour ! On surclassera les autres classes avec l'originalité de notre projet ~ !

Après qu'il n'ait avancé ces propos à hautes voix et rafraîchit les idées à ses camarades afin qu'ils voient le bons côtés des choses, le brouhaha recommençait encore plus puissant qu'il ne l'a été.
J'étais rassurée que le changement n'a rien bouleversé et poussa de nouveau un soupir de soulagement.  

Tant mieux ...

J'étais rassurée par ta réponse je ferma les yeux de fatigue. Mon front était couvert par la sueur et mon souffle se fessait de plus en plus irrégulier. C'est à ce moment que j'avais compris qu'il m’était impératif de voir l’infirmerie, sans quoi je ne pourrais pas tenir plus longtemps. Mais décidément, je n'avais presque plus de force dans les jambes pour agir comme je le désirais.
Je voulais me débrouillée comme à mon habitude, mais il n'y avait plus rien a faire. Je ne pouvais plus bougé, je sentais la fatigue prendre ampleur. A peine avais-je eu le temps de posé une main sur la table pour me retenir ... Que je fini par m'écroulé sur les genoux malgré les efforts que j'avais fournis pour m'abstenir.

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J'était redevenu calme et silencieux, et écoutait la réaction des autres élèves face à cette idée.

A ma surprise, il ne semblait plus être contre et accueillèrent plutôt bien l'idée.
Je laissa apparaître un sourire rassuré.

Face au mot que l'élève prononçait je ne pus m'empêcher d'hocher la tête.

C'est vrai.

Reposant mon regard sur toi, je ne tarda pas a voir que tu allais mal et fu repris d'inquiétude a ton égard. Je pris délicatement ton poigné.

A peine ce mot prononçait. Je te vis tomber et me pencha a ta hauteur.

Je posa instantanément une main sur ton front.
Je me retourna vers les autres élèves.