Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Bien que j'entendis la voix de cet homme s'adressait à moi, mon regard restait poser sur les personnes qui fuyaient. Sa question était étrange, et mon visage sembla surpris. Sous le coup de la surprise un simple..”Eh?” sortie de ma bouche. Je ne comprenais pas pourquoi cet homme voulait savoir ce que je pensais de ce lieux. Mais, sans avoir compris, je te vis te mettre face à moi et me demander de ne pas l'écouter. Il faut croire que j'étais réellement stupide pour ne pas comprendre, mais cela m'importait en réalité peu, je voulais avant tout savoir tout le monde en sécurité.

Je l'entendis alors raconté une histoire qui résonnait comme un charabia pour moi.
C'est en te tenant la main et en te sentant trembler que je compris que toi, tu comprenais visiblement ces mots, en voyant tes larmes, mon visage devint légèrement inquiet. Je prononça alors ton nom de façon déconcerté. Je voulais que ces larmes disparaissent de ton visage mais je ne pouvais pas intervenir sans comprendre, je serra alors ta main mais, face aux nouveaux mots de cet homme, je fut contraint de la lâcher, tu semblais avoir une migraine hors normes. Surement que ces mots te torturé de l'intérieur.
En te voyant si mal, je fut soudainement pris de colère et je me retourna vers cet homme en hurlant.

Ferme là!

Alors que je venais de parler, je l'entendis comptait son projet, ce ne fut que maintenant que je me rappela de ce que j'avais vu ce jour là, mon regard se posa sur toi, et en entendant ces mots, je serra fortement ma keyblade et regarda avec haine en direction de la voix.

Tu ne détruiras pas ce monde! Pas temps que je serais là! Je suis un maître, et je sais  que peut importe le lieux, le cœur possède toujours un part de lumière!

Je n'eu le temps de parler plus, que les lumières de la salle éclaira de nouveau les lieux, je regarda alors en direction de la foule, ce fut mon premier réflexe, cependant, je t'entendis soudainement t'écroulait au sol, d'un air inquiet je courus vers toi et te secoua légèrement en t'appelant.

J'entendis alors un hurlement provenant de la foule et ne tarda pas a remarqué qu'une personne avait eu  la tête coupé, mon regard sembla alors perdus, je ne comprenais pas ce qu'il se passait, il y avait tellement d'agitation d'un coup, d'un air perdue, je regarda en direction de ma keybade, ce fut surprenant, car celle ci se mis a briller visiblement sans aucune raison.

Je fut alors interpeller par l'un de ces enfants , en l'écoutant parler, un léger sourire agacé se dessina sur mon visage.
Je me releva tout en restant devant toi et en serrant ma keyblade, mon regard était étonnement sombre et sérieux.

Parce que tu crois, que j'ai peur de la mort? Je protégerai Alice coûte que coûte, vous ne l'aurez pas! Vous m'entendez! Vous ne toucherais pas à un seul de ces cheveux ! Ce monde m'appartiens ! Ce monde appartiendra toujours à la lumière! Alors allez vous en !

Soudainement, une enveloppe blanche se mit a briller autour de nous. La lumière était d'une puissance s'en pareil, et avec surprise, une sorte de cocon pris forme autour de toi, celle ci sembla alors avaler ton corps  nous ne pouvions plus te voir, tu étais désormais comme une chenille dans son cocon prête à devenir un papillon, cependant, celui ci ne pouvait s'ouvrir ou êtes brisés sans le seau d'une keyblade.

Mon regard était des plus sérieux, tout en esquissant un sourire, je regarda ces enfants et je brandis ma keybade en leur direction comme près a attaqué. Je leur dit alors avec un calme implacable.

Kingdom Hearts est fait de lumière, sans maître de la keyblade, vous ne pourrez récupéré Alice. Je n'ai pas peur de mourir dans ce combat. Quoi que vous fassiez, la lumière la protégera. Que je sois mort ou non, peut importe désormais.. Je sais que ... Quoi qu'il arrive, je la retrouverai.

Mes mots étaient prononcés avec beaucoup de sagesse et de calme, je n'avais réellement pas peur de mourir. Tant que je te savais  en sécurité, je ne pouvais craindre la mort.
Bien que tu étais pour le moment inconsciente de ce qu'il se passait et que mon avenir pouvait disparaitre, je n'avais aucunement peur de mourir, si jamais je venais a disparaitre, je savais que mes amis te délivrerai en temps voulu. J'avais confiance aux pouvoirs d'Aqua et Terra.

Je regarda alors ces enfants et m'avança à mon tour en leur direction, ma keyblade quand à elle ne cessé de rayonné de plus en plus à chaque pas que je faisais, cependant, j'étais étonnement calme.
Mon regard se reposa alors sur ces gamins, et, d'un geste rapide, je lança ma keyblade à leur pied.

Si vous ne croyez pas en mes mots, essayait donc de l'ouvrir. Je ne me battrais pas contre vous. Chaque coup que je vous mettrais n'attiserai que la haine, et la colère en moi, et je ne doutes pas que cela vous réjouirez.

De plus, toutes les personnes invité de cette salle, sont maintenant disparu. Alors que ce cocon avait accaparé toute notre attention du à sa lumière éblouissante, j'ai pris soins d'ouvrir une porte menant à mon royaume. Si vous y mettez les pieds. Un jolie comité d'accueil vous y attendra. Je dirais, environs une centaine de maitre de la keyblade aguerrie.

Quand à moi, même si je souhaitais me battre contre vous, j'ai épuisé toute mon énergie. Alors, tuez moi si cela vous donne le sourire. Je sais que je renaitrais ailleurs et que je me réveillerai.

Alors que la situation semblait hors maitrise tout ce temps, j'avais soigneusement, pris soins de chaque personnes m'entourant.
Le fait que tu sois inconsciente avait en revanche quelques choses que je n'avais pu prévoir, et pour te protéger, j'avais du utilisé les dernières forces que j'avais prévu dans ce combat.
Renonçant ainsi à attaquer, j'avais décidé de sauver ta vie plutôt que de prendre le risque de nous voir mourir et sombrer dans les Abyss de nouveau.

Je leur raconta ça avec une voix terne et calme, comme si en réalité, je ne ressentais aucune émotion actuellement. Cependant, c'était surement tout l'inverse, mon coeur était submergé par une quantité d'émotion inexplicable. Je pouvais entendre les pleurs du défunt, mais également les larmes de soulagement et de tristesse, ainsi que celle de peur. Mais, avant tout cela, c'était ton coeur que je voulais entendre. Et réalisé que je n'avais pas était en mesure de l'écouter me rendait assez triste.
Je continuais de regarder en direction de ces personnes. Laissant ma keyblade a leur pied, sans ne plus bouger.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Alice. Mon prénom est Alice. C'est tout ce dont je me souviens. Mes souvenirs se sont éparpiller et abandonner sur Terre et m'ont quitter le jour de mon pêcher - Réciproquement au même jour où j'ai été envoyé dans les profondeurs de l'Abyss.

Un homme sorti de l'ombre juste après qu'il ai entendu ta réponse. C'était un homme grand et très maigre qu'on le confondrait presque à une branche d'arbre. Son visage était semblable à celui d'un clown et d'un pantin à la fois. Et, lorsqu'il afficha un sourire, il avait tout l'air d'un homme éffrayant. Ses yeux grossit d'un coup, et sa bouche laisse prendre forme d'un énorme sourire bateau.

“”

Cette voix était roque et menaçante il continua alors.

“”

C'est alors juste après qu'il ait fini de t'adresser ces quelques mots qu'il te vit m'enfermer dans un cocon. Au premier abord, personne ne semblait réagir ni les enfants, ni cet mystérieux homme. Ils regardaient simplement la scène d'un air curieux. Mais, l'expression de cet homme se métamorphosa suite à tes paroles, quand tu avais déclarer qu'il était dorénavant impossible de me récupérer à l'exception de faire appelle à un maitre de la keyblade, son visage se déforma tout à coup, laissant place à un autre beaucoup plus violent, agressif et surtout de haine.
Il murmura alors a plusieurs reprises "Je vais te tué" - Son visage n'avait plus rien d'humain. Il était comme le reflet de la haine en elle-même. Mais, lorsqu'il t'entendis dire que tu te résiliais à te battre, son attention envers toi fini par se captiver. Soudainement un sourire sadique se dessina à nouveau sur ces lèvres.

“”

La haine et la rage se faisait entendre à chaqu'un de ces propos. Il pointa alors soudainement un des enfants qui se trouvait juste devant toi et lui fais signe d'agir. L'enfant quand à lui, à les yeux complètement embrumer et vide. Puis, il afficha soudainement un grand sourire innocent avant de prononcer ces quelques mots sans coeur.

“”

Ce garçon agissait alors aux ordres de cet homme. Un monstre en forme de boule géante avec un oeil se pointa alors devant toi. Il était gigantesque. C'était le chain de ces jeunes enfants, tous, étaient relier à celui-ci avec un pacte, comme toi tu étais lier à moi. Son nom est donc Humpty Dumpty.
Un faux géant se forma au bout de son bas, et sans tarder ce monstre obéissa aux ordres de l'enfant. Etant encore inconsciente, moi qui était enfermé dans ce cocon, je n'étais pas consciente de la situation. Cependant, tous ignorait comment, je parvenais a me mouvoir et à me placer devant toi te servant ainsi de bouclier contre l'attaque de ce chain, avant de retomber au sol. Face à ce spectacle, l'homme mystérieux resta un moment sous la surprise.

“”

Il réponda alors sans tarder à ces propres questions.

“”

Son rire rétentit dans toute la salle qu'il en était presque capable de la faire trembler. D'un simple déplacement, celui-ci attérissait subitement derrière toi.

“”

Il plaça ces deux mains entre ta tête qui te couvrait presque entièrement la vue tellement ces mains étaient grandes. Son rire diabolique ne pouvait cesser de raisonner à nouveau, et en un clic il absorba une énorme quantité d'énergie en toi. Son pouvoir était terrifiant.

“”

Au moment où ton énergie se fait absorber, je me réveilla tout d'un coup. Je pouvais sentir quand tu étais en situation de danger depuis que nous avons passer ce pacte, tu étais comme relier à moi indirectement. Bien que je ne comprenais pas grand chose à ce qu'il se passait, tout ce dont je savais, c'est que tu étais en danger. Je murmurais alors ton nom encore à moitié assommée, puis, après avoir retrouver les esprits, je ne comprenais pas pourquoi j'étais enfermée dans un cocon. J'entendis alors la voix de cette homme raisonnée dans toute la salle. Soudain, je ne mis que très peu de temps avant de me débattre pour sortir d'ici en hurlant dés mon réveil.

“”

“”

A ces paroles, mon coeur s'arrêta brusquement. Tu étais dans une situation critique à ce point, et pendant que moi, je suis restée inconsciente tout ce temps. C'est lamentable. Je serra fortement les poings avant de me débattre dans tout les sens, le cocon en lui-même se mit a gigoter comme s'il était vivant.

“”

J'avais fini par comprendre que c'était sans espoir de lutter dans cette espèce de cage qui m'enfermais. J'étais visiblement en rogne par ce qui se passe, sans que je puisse sortir. Mais avant tout, je devais préserver ta sécurité.

“”

Bien que j'étais de nature naïve, je n'étais pas totalement idiote. J'espérais si fort que je serrai le pendentif que tu m'as offert jusqu'à en user mes mains.

“”

Il semblait avoir bien entendu ma menace. Et sur le coup, il s'arrêta. Cet homme était vexé sur le point d'explosé. Il t'aggripa soudainement par le col et prit son visage entre ces mains avant de dire avec beaucoup de haine.

“”

A peine avait-il eu le temps de dire ça que cet homme se fut soudainement vagabondé contre le mur opposé. Un jeune homme vêtu de noir, visiblement plus grand que toi t'attrapa par derrière en te soutenant. Il avait les yeux doré, dôté d'un chapeau noir et des cheveux noirs. Il tenait dans sa main gauche un pistolet. Il semblait visiblement inquiet pour toi, bien que vous ne vous connaissez pas.

“”

On ne pouvait comprendre pourquoi il te surnommait ainsi. A côté de lui se tenait un autre homme qui avait un look de chapelier. Il avait les cheveux blancs, on pouvait sentir qu'il faisait parti de la noblesse grâce à sa tenue. Sur son épaule se tenait une petite poupée. C'était probablement lui qui a envoyer vagabonder l'ennemi.

“”

Je ne comprenais rien à la situation rien qu'en entendant leurs voix et les bruits. Sans tarder, je cria alors.

“”

“”

Ses paroles ne tardais pas a m'irrité.

“”

Mais, pour la première fois je laissa passer ma colère à côté. Je semblais avant tout me préoccuper de toi, bien que je ne te voyais pas, je pouvais le sentir.

“”