Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

En te voyant soudainement trébuché juste après avoir entendu ta phrase, je me précipita vers ta direction en criant ton nom. Cependant je m'arrêta dés que je te vis protéger la nourriture avant de penser à toi même.
Une fois que j'étais arrivée devant toi je me baissa à ton niveau. En entendant ton sourire je semblais au premier abord surprise, c'est alors qu'une expression légèrement étonnée. Mais je restais cependant inquiète pour toi, étais-tu épuisé de cette journée au point d'en chuter ? Je ne pouvais le s'avoir, toi qui te montrais toujours aussi joyeux et énergique.
Je posa alors une main dans tes cheveux en te regardant alors avec tendresse. Cette air calme était bien des comportements les plus rares que je pouvais t'adresser.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Suite à ma chute, je gardais mon regard perdue dans les nuages tout en riant gaiement.
Ce fut sans attendre trop longtemps que je te vis t'approcher de moi et que je pu sentir ta main caresser mes cheveux, et tout en tendant subitement les bras vers le ciel, je m'exclama joyeusement.

Alors que je venais de chuter, mon attention était étrangement porté sur ces nuages et sur le ciel.
Et tout en déposant mon regard sur toi, je t'adressa un doux sourire en riant un peu.

Tout en tendant les poissons vers le ciel, je finis par ajouter.

C'était bien surprenant que de me voir changer encore une fois de comportement en quelques secondes, et tout en m’accroupissant au sol, je déposa mon regard sur tes poignées avant d'attrapé tes mains à l'aide des miennes. Et tout en te regardant, je parla avec beaucoup de sérieux.

Malgré le ton sérieux que j’employai, ce que je disais semblait totalement invraisemblable.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Mon regard se porta attentivement vers le ciel quand je t'entendis me demander de lever les yeux. Une fois que mes yeux était rivée vers le ciel, mon regard semblait vraisemblablement surprise et à la fois, on pouvait y sentir un sentiment de joie émaner depuis la lueur de mes yeux.
Moi qui passait la plupart de mon temps à baiser la tête, c'était comme si je venais tout juste de découvrir un nouveau monde. M'arrêtant alors net dans mes gestes, je fini de nouveau par reposer mon regard dans ta direction. Il était remplit de douceur et de sincérité et un doux sourire s'y accompagnait.

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Ah ... Oui, bien sur ... ! Comment pourrais-je les retirer ? C'est ... L'objet qui nous réunit, non ?

Idiot ... C'est l'objet qui est le plus cher à mes yeux. Je donnerai ma vie pour le protéger, après tout, ce bracelet m'a été offert par la personne que j'aime plus que tout au monde.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Après avoir entendu tes mots, un large sourire se dessina sur mes lèvres et avec beaucoup de fierté, je commença a hocher de nombreuses fois la tête avant de parler d'un air fier et joyeux.

En parlant de choix, je venais encore une fois de parler de mon passé, ces bracelets étaient le seul bien que je chérissais et que grand-mère m'avaient offert.
Et tout en riant un peu, je me releva et te regarda alors avec un regard beaucoup plus calme et sincère.

Tout en prononçant ces mots bien étrange et gênant, je finis par serrer les poissons et repartir en sautillant gaiement vers le tas de bois que nous avions formés.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Uu doux sourire nostalgique et heureuse à la fois s'accompagnait sur mes lèvres quand mon regard restait poser sur le bracelet que tu m'avais offert. Je posa ma main dessus comme pour le caresser avec beaucoup de tendresse, cette objet était devenue tout ce qui était de plus précieux à mes yeux. En entendant les paroles que tu m'adressa un petit sourire s'échappa, tes paroles m'allait droit au coeur bien qu'il était bien prononcé avec un air très enfantin et adorable. En attendant, j'étais en train de faire du feu et faire cuire la nourriture après avoir brocher les poissons avec des branches et les tenir au bord du feu.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Alors que je semblais tout joyeux et heureux d'attendre à manger, je me retrouva subitement au sol, je n'avais aucun mal à savoir que c'était toi qui venais de me renverser, cependant, le fait de te sentir m'enlacer me surpris un peu, cette surprise que je venais d'avoir me rendit rapidement très calme. Et prononçant alors ton nom, je te laissa me serrer contre toi. J'ignorais pourquoi tu faisais cela, car ce que je disais à l'instant était simplement ce que je ressentais et ce que je pensais, pour moi, dire mes sentiments et mes émotions étaient normal, en tant qu'animal, je ne ressentais aucune gêne à dire cela, et tout en riant un peu, je commença alors a déposa mes mains sur tes épaules.

Ma question était d'un ridicule déconcertant, alors que nous étions tout deux aux sols.
Et tout en affichant un léger sourire, je te répondis alors.

Mon naturel inconscient et peut futé refit rapidement surface.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Entendant alors que tu me qualifiais comme une personne étrange, je ria à toute petite voix amusée de la situation. Je pensais que tu n'avais pas tord, cependant, je n'avais aucun mal à admettre que j'étais réellement quelqu'un d'étrange.
Avec un sourire aimable et remplit d'amour, je m'exclama alors.

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Je t'ai poussé un peu fort ... Tu n'as pas mal ? Je voulais juste être contre toi un instant, comme ça ...

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En entendant ta réponse je ria simplement avec amusement et tout en hochant la tête, je finis par ajouté joyeusement. .

Agissant alors avec naiveté, je finis par te regardé avec tendresse avant de te serrer un peu plus fort suite à ta seconde phrase. Et d'un air curieux et légèrement stupide, je te demanda alors.

Malgré la situation, mon comportement resté le même.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Rougissant suite à tes paroles je baissa légèrement mon regard accompagné d'un petit sourire remplit de chaleur et d'amour. Bien que ce n'était que de simple paroles prononcé avec grande simplicité et de naïveté, au fond de moi ils raisonnaient comme une chanson qui berçait mon coeur. Et tout en sentant que tu me pressa contre toi je leva alors mon regard dans ta direction, en écoutant la phrase que tu venais de me dire.
C'était avec un petit moment de silence que je poussa alors un rire amusé, avant de poser une main sur ta joue et d'ajouté avec beaucoup de tendresse et d'amour.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Face à la réponse que tu m'apportais, un léger sourire amusé et reconnaissant s'afficha sur mon visage, et tout en hochant vivement la tête, je répondis vivement.

Je serais toujours le Toboe, enfantin, neee?!  

En disant cela, j'attrapai tes deux mains et déposa alors un baiser sur ta joue d'un air totalement enfantin, ma réaction ressemblais presque à celle d'un enfant remerciant sa mère, et tout en lâchant tes mains, je finis par croisé mes bras derrière ma tête et ajouta avec un grand sourire.

On va manger? Et après on ira dans le trou d'eau là?

En parlant de “trou d'eau” il était évident que je parlais encore de la baignoire, mais je ne connaissais toujours pas ce mot, et tout en m'avançant vers les poissons, mon regard semblait alors presser de dévorer cette bonne nourriture.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Suite à ton intervention j'hocha la tête et tout en riant, j'approuva parfaitement les paroles que tu venais de prononcé. Croisant alors mes mains derrières le dos, je n'hésitais pas à te faire part de mes pensées et c'est alors que je m'exprima à mon tour.

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Etto ... Tu peux aller te servir ...

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Après t'avoir embrasser de façon direct et enfantine, je t'entendis me dire que nous pouvions commencer à manger.
Je ne mis que quelques secondes avant d'attrapé les premiers poissons et de les manger avec appétit.
Ce fut après en avoir engloutis deux que je m'adressa une nouvelle fois à toi.

En voyant ta main déposé sur ta joue, mon analyse fut réellement idiote, et ne me doutant pas du tout que tu étais encore surprise par mon geste, je m'approcha de toi, te brandissant un poisson sous le nez.

Encore une fois, j'agissais de façon immature, mais attentionné à ton égard.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Restant un moment perplexe face à ton geste, quand je te vis alors me posé ces questions en t'inquiétant inutilement à mon sujet, je dis simplement non de la tête en étant toujours aussi rouge qu'une tomate. Les rumeurs disait vrai, bien que je ne pouvais pas l'accepter et que je refutais toujours ces préjuger, le fait que je rougissais me donnait réellement l'impression d'être une tomate sous la forme d'une humaine. En te voyant alors me tendre le poisson, je dis à nouveau non de la tête avant d'afficher un grand sourire satisfait, presque rassasiée même si je n'avais rien manger. En vérité, j'étais tellement heureuse de ton geste que rien que cela me suffisais. Je me doutais que tu n'allais pas en prendre conscience, mais cela m'importais peu et partager cette joie rien que pour moi m'étais largement suffisant.
C'est alors que je m'adossa au sol visiblement heureuse et enjouée. Et tout en fermant les yeux après avoir jeter un oeil vers le ciel, je dis d'un air rêveur.

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Alors que je te tendais le poisson, en te voyant le refuser, une mine boudeuse se dessina sur mon visage, cependant celle ci ne dura que quelques secondes avant d'entendre ta phrase, et sans perdre de temps je me rua vers les poissons en hurlant.

Tombant alors à plein nez dans ton “pièce”, je resta uniquement concentré sur les poissons tout en le dévorant avec rapidité.

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Te regardant alors manger je ne pus échapper un petit rire tout en restant allongée au sol. C'était cependant avec un regard tendre et doux que je déposais sur toi, tu étais réellement mignon sous cette air enfantin et innocent, doté d'une couche de naïveté. Je prononça alors doucement ton nom comme amusé par la situation, cela me paraissait presque incroyable que tu y croyais toujours à mes blagues de mauvais gout.
Je ferma alors lentement les yeux exténuée en désirant vouloir trouver le sommeil cependant, je tentais de rester éveillée comme pour te surveiller. C'est alors que je décida de te parler pour maintenir ma conscience.
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Après t'avoir embrasser de façon direct et enfantine, je t'entendis me dire que nous pouvions commencer à manger.
Je ne mis que quelques secondes avant d'attrapé les premiers poissons et de les manger avec appétit.
Ce fut après en avoir engloutis deux que je m'adressa une nouvelle fois à toi.

J'étais occupé à m'empifrer goulement de tous ces poissons que nous avions manger quand j'entendis ta phrase. Mon regard se posa alors sur toi, et c'est avec une voix énergique et joyeuse que je m'exprima.

Affirmand ce que tu disais, j'hochais bêtement la tête et afficha un sourire amusé, et terminant alors de manger, je finis par retourné auprès de toi et m'assis dans l'herbe sagement. Maintenant que j'avais le ventre plein, je semblais de bonne humeur.
Mon regard se posa alors sur la maison, et en regardant les lieux, je laissa échappé un sourire plein d'amour tout en disant.

Bien que mes mots étaient prononcé maladroitement, mon regard semblait déterminé à faire vivre cette maison et d'y faire régner le bonheur.

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Ouvrant les yeux et déposant alors mon regard sur toi en t'entendant me parler, un doux sourire s'illumina sur mes lèvres.
Tes paroles étaient dotés d'une telle chaleur que je ne pouvais me résoudre à t'interrompre lorsque tu me parlais, je voulais les entendre jusqu'au bout pour qu'ils puissent continuer de raisonner en moi. Lorsque je t'entendis faire référence à ton comportement, je dis non de la tête et tout en fermant de nouveau les yeux en restant allongée au sol, je fini par te dire ces quelques mots.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Alors que j'étais devenu bien calme suite à mes paroles, je t'entendis me répondre, en entendant tes mots, un léger sourire se dessina sur mon visage, et m'allongeant à mon tours dans l'herbe, je finis par me tournée en ta direction en te regardant avec un regard chaleureux et tendre.
En te regardant, je ne cessait de sourire, quand soudainement je t'adressa une nouvelle fois la parole.

Tout en te disant ça, je ferma quelques instants les yeux en poussant un soupire visiblement heureux et soulagé.

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Semblant visiblement avoir totalement oubliée notre première rencontre, je déposa alors mon regard sur toi lorsque tu étais allongé à mes côtés. Cependant, je te regarda avec un air interrogatif, et tout en te posant la question, je continuais d'y réfléchir.

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Mine de réfléchir, je leva les yeux vers le ciel comme pour tenter de rafraichir ma mémoire. Mais mon caractère était une partie de moi, et j'avais bien du mal à me remettre en question, c'était bien la première fois que je faisais l'effort de me questionner à propos de mon propre comportement.

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En te voyant essayé de te remémoré la scène, je me pencha vers toi et te regarda visiblement surpris par ton oublie, et d'une façon taquine et amusé je te parla alors.

En repensant à ça, je ria amusé et m'allongea de nouveau en attrapant ta main.

En prononçant ton prénom, je devint calme et te regarda alors avec un visage sérieux et sincère.

C'était l'une des rare fois ou je confier mes sentiments avec autant de calme.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Après que tu m'ai raffraichis la mémoire, je semblais moi même étonnée par mon propre comportement démesuré, bien que toi tu avais vraiment une bonne mémoire et que tu n'avais pas oublier ce détail minime lors de notre rencontre. Je retourna alors le.regard gênée tout en etant amuser de t'entendre parler de moi de la sorte.
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Tout en disant cela je me mis donc à rien, jusqu'au moment où je t'entendis t'adresser à moi avec une sincérité hors du commun. Les yeux.écarquillés, je ne tarda pas à rougir.visiblement gênée par autant se sincérité et d'amour. Mon regard était alors devenue tendre... Et oubliant presque que tu étais un loup, s'approcha alors mon visage de toi avant de te déposer un baiser tout près qui frôlait tes lèvres.

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En t'entendant t'excuser du au jours de notre rencontre, je ria légèrement et hocha la tête, approuvant cela, je n'éprouvais aucune rancune envers toi, et je pensées d'ailleurs que se rencontré de la sorte était amusant.
Et tout en gardant un sourire affichait sur mon visage, je te vis t'approcher de moi, j'ignorais pourquoi, mais en te voyant si proche de moi, mon sourire disparu lentement laissant alors place à un visage beaucoup plus sérieux, et sentant alors tes lèvres effleurés les miennes, je ferma un instant les yeux, laissant alors nos lèvres s'embrasser.
C'était étrange, mais, bien que je sentais que la situation était étrange, je ne me retira aucunement, bien au contraire, je semblais alors agir comme le ferais un humain normal. T'embrassant volontairement une seconde fois avant de me retirer et d'ouvrir de nouveau les yeux.
Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait actuellement, je semblais légèrement curieux, mais à la fois reconnaissant de ton geste, et tout en t'affichant un léger sourire, j'ajouta avec une voix calme.

En te demandant ça, on pouvait penser que je parlais du fait d'être un loup et toi une humaine, cependant, ma seconde question paraissait une nouvelle fois plus stupide, mais à la fois très sérieuse et douteuse.

Je parlais de ça avec beaucoup de doute, il était vrai, que moi même j'ignorais ce qu'il m'avait pousser à y répondre, et d'une certaine façon, je me demandais si par ce simple geste, je ne commencer pas à prendre des habitudes humaines quand j'étais auprès de toi.

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Juste après que mes lèvres ai froler les tiennes, je me montrais réellement surprise mais à la fois vraisemblablement heureuse d'avoir eu l'occasion d'échanger mon tout premier baiser avec toi. Et tout en rougissant de bel comme une tomate, je me laissa entrainer par mes sentiments et ferma les yeux. Et bien que je ne m'y attendais pas à un second baiser, je me montrais légèrement embarrassée mais j'avais l'impression à ce moment, d'avoir été la personne la plus heureuse du monde et que je n'avais jamais espérer un jour ressentir ce sentiment. Au moment où tu te recula, mon regard se posa alors de nouveau sur toi, des larmes de joie venait de couvrir mes yeux. Bien que j'avais prédit que tu allais surement t'en inquiété parce que je pleurais, je tentais de mon mieux pour ne pas le faire devant toi cependant, c'était visiblement plus fort que moi. Posant alors mes mains devant mes yeux en les essuyant, je baissa la tête.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En te voyant pleuré, mon regard se montra surpris, et d'un air paniqué, je déposa alors une main sur ta joue, et parle d'une voix inquiète.

Je te demandais tout cela d'une voix inquiète.
J'ignorais réellement si tu m'en voulais d'avoir agis ainsi, cependant, en t'entendant, je poussa un soupire et ajouta d'une voix soulagé.

En te disant cela, je regarda alors le ciel et te demanda.

Pour une fois, on pouvait constater que ma question était avant tout poser pour éviter les blancs.

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Lorsque mon visage se retrouvait alors entre ta main, je rougissa alors de bel en détournant le regard, tout en te regardant cependant plusieurs fois. Mon regard alternait entre le sol et toi, assez paniquée de la situation, tu étais visiblement bien trop près de moi pour que je puisse l'exprimer correctement dus à la gêne que je venais tout juste de ressentir. En bégayant des mots, j'avais pus conclure que cela ne servait à rien que je tentais de prononcer des mots car mes efforts étaient en vain. Il valait donc mieux que je me taise, et que je fasse d'avantage d'efforts pour y remédier à ce gêne intense.
Je baissa alors mes yeux, et en entendant ta question, je redéposa calmement mon regard vers toi. Et alors, sans même te prévenir je t'attrapa les bras et m'enfouis dedans en fermant les yeux et tout en baillant je fini par prononcée d'un air épuisée.

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Et sans même te laisser le temps d'agir, je fini par faire semblant de dormir.

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