Marchant a travers une grande campagne verdoyante, et remplis d'agriculture abondante, j'étais visiblement fatigué et blessé . Du sang couler en abondance de mon front, et pourtant, aucune plaie n'était visible, rien sur mon front ne montré quelle était la raison cette blessure. Mes yeux bleu océan semblait fatigué et éteint, et des mèches de ma chevelure argent était tâcher par le sang.
Mais au-delà de mon visage, mon corps était couvert de blessure, a me voir, on aurait pu croire que je venais de rentré d'un champs de guerre. Des marques de griffures profondes étaient situés un peu partout, recouvrant entièrement l'un de mes bras et l'une de mes jambes.

Je m'avançais ainsi en boitant et en supportant cette douleur qui était pesante.
Beaucoup de personne semblait inquiète par mon état, mais aucune ne venait m'aider.
Cela ne me dérangeait pas tellement au fond, faire la route seul était nettement moins fatiguant qu'être accompagné. Je ne voulais pas que l'on s’apitoie sur mon sors.

Endurant la douleur, je continuais d'avancer, au loin, je pouvais apercevoir un village.
Un léger sourire se dessina sur mes lèvres, j'allais enfin pouvoir me reposer et me remettre de ces blessures pensais-je. Mais, soudainement je ne sentis plus mes jambes et trébucha, tombant au sol.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

« Me wo tojite sekai omoi yukaberu to, Nani ga mieru ? Watashi wa ne, Senjou ni hita watashi mieru wa Nakama no kao dake. Nakama ga hitori shinu koto wa.Sore ga, watashi ni totei no sekai dakara. Watashi ni totei Sekai ni ichibu horobiru na to, onaji koto »

J'avais pour mission de retrouver l'Innocence qui est égarer dans cette endroit, sous l'ordre de la Congrégation. Il fallait absolument que je mène à bien cette mission. L'effectif des exorcistes devenaient de moins en moins nombreux à cause de cette guerre sans fin qui opposait Sennen Hakushaku et ses compatriotes contre les exorcistes. Et pour cela, je devais retrouver l'Innocence avant que le Comte s'en empare.

Mais pour l'une des rares fois, je prenais de la joie de partir en mission. Le paysage qui s'offrait à moi était magnifique, il est rare que je m'aventure dans de tels lieux en mission. J'aimerai tellement profiter de ce paysage avec mes camarades, je suis sure que ça leurs aurait fait du bien à eux aussi. C'est un lieu agréable pour respirer un peu et se détacher du front. En observant les environs, je me rendis compte que c'est pour voir des paysages similaires à celles-ci que je me bas. Et en voir un sous mes yeux ... Me permettais de me redonner de la force et du courage à préserver.

“”

Même en mission, mes pensées ne se détachaient pas de mes camarades. C'était devenue une manie pour moi, de penser à eux. Alors que mes pensées étaient préoccuper par mes amis, je fini par te croiser sur mon chemin. Je ne comprenais visiblement pas la situation en étant si éloignée. Et une fois que j'arriva de plus près, mon regard restait concentré sur toi. C'est alors que je compris que je venais de rencontrer quelqu'un qui était dans une situation critique. Sans tardé une seconde je me précipita vers toi en courant et en t’interpellant.

Qu'est-ce qui t'es arrivé ? Tu es blessé ?! 

Soit tranquille, je vais t'aider ! Je t'amène tout de suite au village pour trouver du secours !

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Alors que je pensais devoir attendre un moment pour continuer ma route, je te vis arriver,pendant un moment, je resta silencieux, mais sans broncher j'accepta ton aide. En entendant ta question, je répondis simplement avec un calme étrange.

J'ai seulement besoin de repos. Ces blessures ne sont que superficiel.

Il était évident que mes blessures étaient profondent, cependant, mon comportement ne semblait pas traduir la moindre inquiétude, bien que la douleur était présente, aucune angoisse ne se reflété sur mon visage. C'est comme si, je n'avais pas peur de perdre l'un de mes membres. En vérité, je ne craignais aucunement de mourir.

En écoutant ce que tu voulais faire, je tourna mon regard en direction du village. Et toujours avec ce calme glacial je répondis.

Emmenez moi simplement dans une auberge, ces blessures cicatriseront d'ici demain.

Malgré que ma voix semblait froide, mon visage ne traduisait pas de réel sentiment. Je ne semblais ni agacé, ni inquiet.

Alors que je pensais pouvoir arrivé dans ce village sans être confronté au moindre problème, une étrange personne, dotée d'un masque apparue devant nous.

Elle était vêtus d'un long manteaux noir. Un sourire sadique et cruel régner sur son visage, et sans dire un mot elle s'avança vers nous d'un air menaçant.

Mon regard se posa sur elle, et en moins d'une seconde, je disparu et réapparus à côté d'un poteau électrique, une cicatrice rouge sang était présente sur mon visage, c'était un symbole étrange qui était représenté autour de mes yeux.

Ma main se posa sur ce lampadaire, qui fondit alors avec une rapidité hors normes. Et avec agilité,  je lança ce qui ressemblait désormais a des kunai.

La femme recula est sembla surprise face à ma rapidité.
Mes blessures ne semblaient pas m'handicapait, on pourrait même croire que je n'avais rien.

De l'acier?!

Elle posa attentivement son regard sur moi,et étrangement ce qui sembla l'interpeller était ma cicatrice.
Elle me regarda alors d'un air effrayé mais excité par l'envie de meurtre, sans perdre de temps, elle poussa un rire sadique et s'exprima.

Cette cicatrice! Le Stigmate favori d'Atho !
Aimé de Dieu, et trahi par Dieu.
Sasha le Martyr.

Mais à te voir, on dirait que tu n'as pas récupéré assez de Soma depuis un moment. Dans ce cas, tu n'auras aucune chance de gagner !

En écoutant cette femme, un rire amusé s'échappa . Mon regard se posa sur elle,  Et en moins d'une seconde, je disparu de votre champs de visions.

Ou est il?! Ou est passé ce Martyr.

C'est posé sur le sommet d'un lampadaire que je répondis froidement.

Ici. Steel est ici.

Mon visage ne semblait aucunement être effrayé, et alors que cette femme m'avait dans son champs de vision. Elle se précipita vers moi essayant éperdument de me tué. Elle semblait  me lancer le plus d'attaques possibles, ces attaques étaient comme, des bombes qui explosé au moindre contact. Cependant aucune ne m'atteignaient, de l'acier voler autour de moi. Cet acier provenait des nombreux lampadaire qui nous entourés. Ils fondaient chacun tout à tour pour me protéger.

Et, tout d'un coup une énorme fauche d'acier apparu dans ma main.
C'est alors qu'avec une voix toujours sereine et froide je m'adressa a cette personne.

Etre prélevé de ses os et avoir sa chair lacérée, dans le froid, seul.  As tu déjà vécus ça avant? Tremble! Agenouille toi devant ta peur !

Le regard de cette femme changea alors en quelques secondes, elle semblait dorénavant effrayé. C'était comme si elle se savait condamné.
Et alors qu'elle semblait lancé le plus d'attaque possible contre moi, je m'élança vers le vide, et sans aucune difficulté.Ma fauche brisa ces os. Un hurlement de douleur intense retentis. Et cette femme disparu dans une étrange lumière bleuatre.

Je prie pour le pardon des pêcheurs.

A peine cette femme disparu, ma cicatrice se dissipa, ne laissant plus aucune trace de sa venue, hormis du sang.

En effet, des que je passait en mode Qwaser. Du sang sortait de cette cicatrice maudite. Et, après avoir réussis a éteindre le vie de cette personne. Tout l'acier retourna sous sa forme de lampadaire. Ce lieu était redevenu d'un calme surprenant.

Mon regard se posa alors sur toi. Et toujours sans montré la moindre émotion. Je t'adressa ces mots.

J'irai dans ce village seul. Merci tout de même, de vouloir m'aider.

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Tout les paroles que tu venais de prononcer me semblais particulièrement étrange. Malgré dans la situation critique dans laquelle tu venais de te retrouver, tu arrivais à préserver autant de calme et de froideur. Mais pourtant, je ne t'en voulais pas le moindre du monde pour m'adresser la parole aussi sèchement, au contraire. Je semblais être habituée à toutes sortes de communication avec n'importe quelle personne, quelque soit son caractère ... Je les acceptais tels qu'ils sont. Et puis, ce n'était pas un moment appropriée pour poser des questions à propos de ce sujet où quoi que ce soit qui puisse être futile. J'étais résolue à t'aider, et l'hocha simplement la tête à chaqu'une de tes ordres, résolue à te venir en aide. A peine avais-je eu le temps de répondre qu'une attaque surprise fît son apparition. C'est alors que, sans même avoir le temps de réagir, je te vis soudainement disparaître. C'était avec inquiètude que je te cherchais du regard. Mais je fus soulagée lorsque tu te retrouvais à nouveau dans mon champ de vision.

Le combat ne dura pas longtemps, il en a fallut de peu pour que cette mystérieuse personne se fût anéantir. Je ne comprenais pas d'où elle venait, ni qui était cette femme ... Et, j'ignorais par la même occasion tout de toi. Tout ce dont j'avais réussi à comprendre, c'est qu'elle menaçait ta vie et semblait vouloir profiter d'une telle situation pour t'anéantir.

“”

Je regardais la scène en tant qu'observatrice, stupéfait de tout ce qui venait tout juste de se dérouler. Une fois que cette mystérieuse personne fût exorciser, mon regard se posa instinctivement sur toi. Qui étais-tu réellement ?
Il y avait tellement de question qui se trama dans mon esprit. Mais celle-ci était la première qui surgissais dans mes pensées. Mais je fis rapidement interrompu lorsque je t'entendis m'adresser la parole.

Eh ? 

Est-ce qu'il y a une chose qui a de la valeur à tes yeux ... Et que tu te bats pour le protéger ?

Ne précipite pas autant les choses, tu risques de perdre ce que tu veux protéger. Et puis, j'ai accepté de t'aider. Alors laisse-moi tenir ma promesse.

Je ne sais pas qui tu es, mais je veux te protéger. Je vais nous amener à une auberge.

Nous y sommes.

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Alors le combat était finis, je te vis t'approcher de moi.
La première question que tu me posa m'interpella légèrement, cependant aucune émotion ne se montrait sur mon visage.
Mon regard resté froid tendis que mon poing se serra.

Je ne protège rien. Je ne vie que pour accomplir un objectif que je me suis fixer. Je ne veux de l'aide de personne.

Bien que je rejeta ta proposition d'aide, je te vis m'attraper dans tes bras.
Je voyais que tu faisais attention a ne pas me faire souffrir du aux nombreuses blessures que j'avais.

Étonnement, je ne dit rien et te laissa simplement faire.

Mon regard se posa sur toi, et j'écouta tes paroles avec attention.
En t'entendant un sourire narquois s'afficha sur mon visage.

C'est justement car je n'ai pas agis rapidement. Que cette malédiction a eu lieux.

Alors que je finis ma phrase, je vis le sol s'éloigner de nous, et rapidement je compris que tu étais aussi différente, mais je ne chercha pas à en connaître plus sur toi.
Ce que je venais de dire était déjà trop personnel.

Bien que j'acceptai ton aide pour le moment, je n'étais pas résolu a te laisser m'aider longtemps.
Et alors que nous étions en plein vol et que nous arrivâmes a une auberge, je prononça ces mots avec le même calme qu'auparavant.

Merci.

Ce n'était pas grand chose, mais ce n'était pas dans mes habitudes de remercier les personnes que je croisais. Même si je venais de te remercier avec froideur, ses mots étaient sincères.

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Après mainte réflexion et tout en écoutant t'exprimer, je compris rapidement que tu étais un garçon renfermé ... Mais tes paroles me semblèrent, d'un côté, aussi triste. Il y avait là, cette impression de souffrance qui se renfermait derrière chaqu'une des paroles que tu prononçais, et cette souffrance pouvait bien être la cause du rejet que tu m'adressais sans cesse, depuis notre rencontre. Avoir un seul objectif en tête en voulant jouer les loups solidaires ... J'avais comme l'impression de déjà-vue. A la seconde phrase que tu m'adressa, celui-ci attira soudainement mon attention. Une malédiction ? Cette histoire pouvait bien avoir un lien avec ce qui s'était passer tout à heure.
Mais une fois encore, j'avais décidé de garder le silence. Je ne voulais pas t’encombrer de question avec ton état actuel. Face à ton remerciement, j'afficha un doux sourire. Il était normal pour moi d'aider quelqu'un dans une telle situation. Mais j'avais sentie, que tu ne voulais plus de ma présence après que je t'ai accueillis à l'auberge. Bien que tu réfutais ma présence, j'avais décider de prendre les choses en main, et de rester encore un peu à tes côtés. Du moins, jusqu'à ce que tu sois en mesure de pouvoir te battre sans difficulté en étant entièrement rétablis.
Je m'avança alors à la loge et réclama une chambre.

“”

Après avoir payer la chambre, je prie la clé et te le tendis. Au vue de comment j'agis, j'étais bien résolue à rester encore à tes côtés jusqu'à ton rétablissement.

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Malgré tout ce que je disais, je voyais que tu continuais de vouloir m'aider.
Pour le moment, je n'avais pas la force de parlementé. Et sans même te remercier, je te pris la clé des mains et me dirigea en boitant vers la chambre.

Il était vrai que mon comportement était impoli, mais  moins je te parlai, moins je prenais le risque de te mettre en danger.
En réalité j'étais loin d'être un gamin solitaire.
Mais mon mode de vie me résilié à ça. Je ne pouvais pas me permettre de mettre plus de personne en danger.

Une fois entrée dans la chambre. Je m'allongea sur le lit, visiblement épuisé par tout ce qu'il venait de se passé. C'est alors que je posa ma main sur un collier que je portait depuis le début. Un collier formant une croix.
Mon regard devint soudainement vide. Et seulement un soupire se fit entendre.

Après un long moment de silence, je finis par me rassoir avec difficulté. Et je retira alors ma veste. Sur mes bras, de nombreuse blessure était encore présente. Je me dirigea alors vers la salle de bain. J'était visiblement à la recherche de quelques choses capable de désinfecté tout ces plaies.

Mon regard semblait toujours pensif. Et le moindre de mes gestes était faibles.

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Après que je t'ai passer les clés, tu continuais tout de-même a garder cette attitude distant avec moi. Je te regardais alors sans un mot et poussa un léger soupire. Non pas parce que j'étais agacée de ton comportement, mais surtout parce que j'étais consciente que la route allait être encore longue. Et en te regardant me tourner le dos me fit afficher un léger sourire triste ... Ne pas demander de l'aide aux personnes, même dans cette situation, me rendais légèrement inquiète. Je ne comprenais pas pourquoi tu étais si distant, mais il était évident de voir que tu avais un bon fond, et j'avais sentie le devoir de te protéger.
Pendant que j'étais en train de pensée, je t'avais subitement perdue du regard. Je pensais alors que tu as dus être déjà dans la chambre qui t'était destiné. Je poussa de nouveau un soupire et marcha vers cette chambre et entra sans dérangement.
En voyant ta chemise poser sur le lit, je n'eus aucun mal à comprendre que tu voulais te soigner tout seul. Je resta alors un moment en regardant cette chemise, puis tout à coup, je gonfla les joues exaspérer. Restée spectateur était une chose que je supportais le moins du monde. Je me retourna et regarda vers la salle de bain. En te regardant autant souffrir ... Rendait les choses encore plus insupportable. Je marcha alors à pas lourd vers toi et avait décider de prendre les choses en main. Je t'attrapa soudainement par le bras.

“”
Mon geste était de loin être brutale. Mais je te tirai en dehors de la salle de bain de force, et t'amèna vers le lit. Je posa doucement mes mains sur tes épaules et te fis t'allonger, sans demander ton avis.

Devrais-je te rappeler que tu es gravement blessé ? Cesse donc de faire des efforts inutiles ...

Je comprends que tu ne me fasses pas confiance. Mais je te le demande ... Je ne ferai rien qui puisse se retourner contre toi. Je prendrai soin de toi jusqu'à ce que tu te rétablisses.

Si sa peut te rassuré, je partirai quand tu iras mieux. Repose-toi maintenant. D'accord ?

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Alors que j'étais a la recherche d'une trousse de soins dans la salle de bain, je te sentis m'en faire sortir et m'allongé sur le lit. Je n'étais pas d'un naturel rameur. C'est pour cela que je te laissa faire sans broncher.

Mon regard resté poser sur toi. Je ne comprenais pas pourquoi tu agissais ainsi. Après tout, nous ne nous connaissions pas. Pourquoi perdais tu ton temps a vouloir aider quelqu'un qui te rejetais.

Alors que je me posais des questions a ton sujet, je t'adressa pour la première fois une question sans avoir l'air froid.

Pourquoi tiens tu autant à m'aider..

Je voulais réellement connaitre tes raisons de vouloir me venir en aide.
A ce moment même, tu devenais une énigme pour moi.
Je ne te comprenais pas, mais étrangement, tu arrivais a me rendre curieux.
Ta façon d'agir me rappelais quelqu'un que j'avais apprécier dans mon passé.

Et alors que commença a me plongé dans mes pensés, je remarqua que je ne savais toujours pas qui tu étais. Je ne savais pas pourquoi tu étais ici, et non plus quel était ton nom.
Je te demanda alors avec le même calme cas mon habitude.

En fait ..Qui es tu ?

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Après que je t'ai allongé de force sur le lit, je sortais de mes poches un petit sac. A l'intérieur se trouvait de simples plantes d'une petite quantité. Il n'y en avait plus tellement à l'intérieur ... Je crois bien en avoir utiliser un lot dernièrement. Ces plantes avaient la spécialité de guérir les blessures. Je les emportais sur moi au cas où pour assurer la protection de mes camarades. Pendant que je préparais le remède, je t'entendis m'adresser la parole. Face à ce que tu prononçais, un léger sourire se dessina sur mes lèvres et je te répondis sans hésitation.

“”

Broyant les plantes dans l'eau avec le peu de matériel qui se tenais à ma disposition, je ne mis que peu de temps avant de l'avoir entièrement filtré. Une fois que tout était prêt, je m'approcha à nouveau de toi et m'accroupis pour être à ta hauteur en tenant ce bol de remède. J'écouta alors ta seconde question. Une expression de surprise régna sur mon visage, je me sentais légèrement gênée. Avec un petit rire adorable. Je te répondis alors avec un sourire chaleureux et énergique.

Excuse-moi, j'avais oublié de me présenter. Je suis Lenalee ! Et toi ? Tu t'appelles Sasha n'est-ce pas ? Je suis ravie de te connaitre.

Je vais t'appliquer le filtrage que je viens de réaliser. Ces plantes ont à capacités de guérir les plaies. Sa risque de faire un peu mal ... Mais ça devrait aller. Tu es fort, après tout.

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Je resta silencieux et écouter simplement ce que tu me répondais.

Je ne comprenais vraiment pas pourquoi tu tenais autant a aider quelqu'un comme moi.
Mais de toute façon , je n'allais pas m'en plaindre, j'avais effectivement besoin de soins pour pouvoir reprendre ma route. En entendant ton nom, j'hocha simplement la tête comme pour te dire que je le retiendrai, cependant je ne répondis pas par des mots.

Alors que je t'écoutai, je te vis attraper mon bras, tu avais visiblement finit de faire cette pommade.
Et alors que tu m'expliqua que cela risqué de faire un peu, je te vis l'appliqué avec beaucoup de douceur et d'attention, je pouvais sentir que tu faisais de ton mieux pour ne pas me faire souffrir. Je reste silencieux un moment et finis par te parler, de façon plutôt normal, comme si tu avais été là depuis mon aventure.

Ils n'avaient pas l'intention de me laisser en vie.

Tout en disant ces mots, je posa mon regard sur toi.
Un léger sourire énervé se dessina sur mon visage.

Il n'a pas l'intention de me laisser l'approcher. Envoyé ces chiens me tuer, il ne me prend pas au sérieux..Je lui montrerai, ce que sait que vouloir tester le qwaser du métal

Tout en disant ça, mon poing se refermé. Je semblait énervé rien cas l'idée de pensé a cet homme.

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Continuant d'appliquer minutieusement la pommade sur tes plaies, j'étais concentrée et attentionnée que nul ni personne ne pouvait me distraire. Après quelques minutes je fini par terminer d'appliquer la pommade. Alors que je m'apprêtais dorénavant à passer aux bandages, je te vis alors m'adresser la parole. Peut-être avais-je dorénavant l'occasion de découvrir un peu plus ton identité et apporter des explications à ton état actuel ? Je t'écouta alors avec beaucoup d'attention. Ce que tu venais de dire me rendais encore plus inquiète. Alors ... Comme je le présumais, ta vie était vraiment menacée. C'était donc pour ça que je t'avais rencontré dans un état pareil. Je ne disais rien et continuais d'écouter ce que tu venais de me partager. Une haine semblait sommeiller en toi, et ce qui pourrait être l'auteur de tes actes. Rien que l'expression que tu venais de m'adresser le témoignait. Je ne comprenais pas encore tout ce que tu disais ... De quel homme tu parlais, ni des personnes qui te pourchassaient. Et ni même ce qu'était un qwaser.
Je te regardais légèrement inquiète bien que je ne comprenais pas tout ce que tu me disais, et me contenta simplement de terminer rapidement de bander tes blessures. Une fois que j'avais terminer, je releva la tête vers toi et souria avec douceur. Je voulais que tu te reposes, avant de repartir sur le front, car dans un tel état te battre ne pourra apporter que ta perte et je refusais d'y penser.

“”

Je fini alors par te prendre la main avec délicatesse tout en t'adressant un doux sourire et confiant à la fois.

Je veillerai sur toi jusqu'à ce que tu te rétablisses. Alors tu peux te reposer tranquillement.

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Alors que je m'exprimais, je vis que tu entamas les bandages, je n'avais pas eu si mal que ça lorsque tu avais appliqué cette pommade, tu étais vraiment appliqué dans ton travail.

Une fois que tu eu finis de bander mes blessures, je t'entendis t'exprimer, mon regard se reposa alors sur toi. J'hocha simplement la tête en écoutant tes mots, et puis je te dit un simple “merci” avant de me rallongé.

Tu avais raison, en ce moment, je devais simplement me reposé pour récupéré au plus vite et reprendre ma route. Je ne pouvais pas me permettre de battre ce monstre en étant blesser.

En écoutant tes mots, je devina que tu resterai ici, a surveiller que rien ne se passe. Et c'est grâce a ce soutiens que tu m'apportai, que je finis par fermer les yeux, me laissant emporté dans un sommeil bien mérité.

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Au moment où je t'entendis me remercier, un sourire renaissait à nouveau sur mes lèvres. Je semblais heureuse de te l'entendre prononcer de façon aussi sincère. Je te regarda alors dormir et te couvris délicatement avec une couverture. Par la même occasion, je semblais dorénavant soulagée et après tout ce temps, tu es enfin apaisé par tout ces événements. Il est vraisemblable que je me soucis beaucoup de toi alors que nous nous connaissons tout juste, mais j'étais ainsi.


“”

Après que tu fus plonger dans ton sommeil, je me relèva sans faire trop de bruit et m'approcha de la fenêtre pour admirer l'extérieur.
Il est rare que j'étais dans un moment de repos. Et maintenant que je me retrouve dans cette affaire, autant profiter de ce paysage que je peux voir que très rarement. Mais en même temps que je regardais ce paysage, je pensais ... A toutes mes camarades. Je voudrais vraiment, partager cette vue avec eux.