Alice. Mon prénom est Alice. C'est tout ce dont je me souviens. Mes souvenirs se sont éparpiller et abandonner sur Terre et m'ont quitter le jour de mon pêcher - Réciproquement au même jour où j'ai été envoyé dans les profondeurs de l'Abyss.

Une fois que nous finissons par arriver au château, je me releva brusquement de toi. Je ne semblais pas du tout calme, malgré le fait que nous sommes rentrer. Je continuais d'avoir ce regard inquiet à ton égard et te relevais tout en gardant ta main dans la mienne.

“”
Ta santé était la seule chose qui continuais a me préoccuper. Je regardais le lieu dans laquelle nous avons atterrit. Je voulais t'aider mais je ne savais pas du tout comment le faire.
Je semblais ne pas avoir l'esprit tranquille, j'étais prise d’inquiétude pour toi. Je lâcha délicatement ta main avant de courir dans les couloirs en réclamant de l'aide, affolée.

Y A QUELQU'UN ICI ?!!!

Je criais avec beaucoup d'énergie et de façon totalement naïve et gamine. Mais mon comportement m'importait peu, que j'étais bien ou mal vue, cela n'avait aucune importance à mes yeux.

VENTUS EST BLESSÉ ... ! Ve-Venez l'aider !

Je donnais l'impression d'être perdue, je ne savais pas comment agir. Et même si tu me disais que tout allait bien ... Une grande inquiétude continuait de me hanter.
Je sentis tout à coup les poches de ma veste se faire de plus en plus lourd. En fouillant à l'intérieur se réfugiait des pommes. C'était ceux que j'avais pris de la cantine avant de quitter la salle.
Je me retourna subitement vers toi et me précipita vers ta direction, en fessant demi-tour. J'avais eu l'intention de les garder uniquement pour moi à la base en cas de faim, mais je n'avais plus l'esprit à y penser.
Je te tendis mes trois pommes d'un coup.

Tient ! Sa te redonne de la force la nourriture, non ?!

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

A peine arriver au chateau, je te vis commença a t'inquiété pour moi. Ta réaction m'amusé et je ne pu m'empêcher de rire.

Dans ta grande détresse, un grand jeune homme au air plutôt mystérieux arriva, il était dotté d'une armure semblable a la mienne sur l'épaule droite.

Il te regarde légèrement surpris de te voir ici, il ne se montrait pourtant pas sur ces gardes et s'approcha de moi une fois qu'il eu entendus que j'étais blesser.

Mais il fut couper par le fait que tu reviennes vers moi et me tendent des pommes.
Son regard semblait te dévisager.

Quand à moi, je ne pouvais cesser de rire en te regardant.
Au moment ou tu me tendis les pommes j'en pris une et te regarda.

Je t'adressais toujours ce sourire amusé quand soudainement cet homme posa sa main sur ton épaule et sembla te pousser en arrière, sans même t'adresser la parole.
Une fois qu'il t'eu fait reculer.  Il se pencha vers moi et me regarda un long moment.
Il finit alors par m'adresser la parole d'une voix plutôt grave.

Je n'avais pas l'air déboussolé ou perdu face à lui. Au contraire un large visage ce dessina sur mon visage et je semblais avoir retrouvé toute ma joie de vivre.

Le jeune homme hocha la tête et fit alors apparaitre une épée semblable a la mienne. Elle était cependante de couleur moins blanche. En effet . Ces coutours ce montrait marron.

Alors qu'une lumière commençait a en sortir. Je lui coupa la parole et attrappa ton bras te mettant entre nous.

Il te regarda et hocha simplement la tête en guise de salutation.

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Alice. Mon prénom est Alice. C'est tout ce dont je me souviens. Mes souvenirs se sont éparpiller et abandonner sur Terre et m'ont quitter le jour de mon pêcher - Réciproquement au même jour où j'ai été envoyé dans les profondeurs de l'Abyss.

Je ne tardais pas a remarquer la présence de cet homme mystérieux, juste après que mon côté excentrique fini par s'adoucir. Je remarqua que tu n'avais pris qu'une seule pomme et continuait de t’inciter a prendre les deux derniers.
Quand soudain je le vis s'approcher de nous, et me poussa en arrière et en profita pour se faufiler entre nous.
Sans tarder, je ne mis que deux secondes a m'énerver et a retrouver ce côté de tsundere.

“”
Je serrai les poings, énervée tout en restant derrière vous après avoir été mise à l'écart. Mon expression qualifiait aucune générosité à son égard et semblait être tout à fait jalouse.
Je m'apprêtais à l'engueuler quand je t'entendais lui demander de te soigner. Pour une fois, je ne fessais aucune remarque, ou du moins, j'attendais que tu sois guérit d'abord.

Son épée était semblable au tient, il pouvait l'invoquer comme bon lui semblait. Je te regardais ensuite, en m'interrogeant sur la nature de cette arme.
Je restais toujours silencieuse en me contenant de laisser échapper cette jalousie, lorsque tu me pris le bras et me mettais à l'intermédiaire entre toi et lui. Je te regardais un petit moment, surprise.
Puis mon regard se tourna vers lui. Il se contentait simplement de hocher la tête, et rien de plus. Je lui en voulais toujours de m'avoir pousser comme un objet, et n'était pas prête à lui pardonner.

Mon regard était devenu pointu à son égard. Et je n'ai pus contenu cette colère et l'engueula.

ON S'EN FICHE DES BONNES MANIÈRES ! MAGNE-TOI POUR SOIGNER VENTUS !

Je me montrais désagréable avec lui, il ne me plaisait déjà pas.
C'était le genre de personne que je détestait d'ailleurs fréquenté.
Je croisa les bras en donnant une position dominante et tourna le tête, en murmurant à voix basse.

C'est qui, lui ? Son serviteur ?

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Je n'avais pas encore remarqué que Terra t'avais froissé et énervé moralement.
Mon air de gamin ne me permettais pas de le savoir.
Je continuais de vous regardez quand je t'entendis le reprendre et littéralement l'engeuler.
Face a ta réaction un léger rire crispé sortie de ma bouche.

Je tenter tant bien que mal de te calmé.

Face à toi Terra semblait toujours fier et semblait se ficher pas mal de ton point de vue et de ta remarque.
Il me fit signe de la tête de me rapproché. Ce que je fis sur le champs.
Il posa son épée quelques seconde sur mon épaule.
Une lumière vif ce mit a briller autour de moi.
Une fois finis, il ne mis que peu de temps a faire disparaitre son épée.

Il te regarda de nouveau et enfila ces mains dans ces poches.

En fait Ven, Maitre Xehanorth t'attendais dans la salle d'entrainement.

Il me dit simplement ça et commença a partir.
Je le regardai toujours avec mon sourire d'enfant et pris ta main.
J'était déjà remis sur pied. Bien que cela n'était pas visible. Terra avait entièrement soigner mes blessures et ma fatigue.
A peine avais-je pris ta main que je te tira vers la salle d'entrainement.
Je semblais presser de retrouvé Maitre Xéhanorth.

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J'étais toujours très colérique face à cet homme. Quand je t'entendis rire, c'était sur toi que je laissais retombé ma colère et te dévisageait, comme pour demander de te taire et je détestais que l'on se mettait en travers mon chemin. Je laissa échapper un petit grognement mécontent avant défier son regard à nouveau.
Une fois qu'il t'avait soigner, je remarquais qu'il m'ignorait totalement. Ce qui se surajoutait à mon énervement.

“”
Je n'avais rien a faire de ce qu'il racontait, le simple fait d'entendre sa voix arrivait a me mettre dans tout les conditions.
Je n'étais même pas sa phrase, je n'ai chercher a rien comprendre et tapais des pieds au sol comme pour traduire la colère.
C'est alors que sans avoir eu le temps de m'énerver plus longtemps contre ton ami, tu m’entraînas dans ta marche.
J'arquais un sourcils tout en te suivant, mais ne comprenant rien, vue que je n'écoutais plus du tout votre conversation.

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Je te regarda avec le sourire et ria gêner tout en m'avançant vers la salle d'entrainement.

Je sembler défendre légèrement Terra. Mais je ne te gronder pas non plus, je disais simplement ce que je pensais tel un jeune enfant.

En peu de temps nous arrivâmes a la salle d'entrainement.
Sur un grand trône orné d'or et de diamant. Se trouvé mettre Xehanorth.
Il semblait toujours sombre, mystérieux.

Il ne nous dit rien un long moment et me pointa soudainement du doigt.

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Je te suivais sans un mot ne comprenant pas grand chose avec beaucoup d'hésitation. Je murmura des choses incompréhensible sur la route en te suivant, avant de tourner la tête et regarder derrière moi en suivant des yeux le chemin que ton ami venait de prendre. Je ne savais pas qui il était mais il semblait être l'un de tes amis. Ce nom me raisonnait d'ailleurs familier, je pensais avoir entendu dire qu'il était l'un de tes proches.
Je te suivais en tirant une mine mécontente et en grommelant, mais j'étais obéissante en te suivant.
Je serrai simplement ta main, lorsque j'entendis la phrase que tu venais de dire.
Après un long moment de réflexion, je tourna la tête toujours avec cette mine boudeuse.

S-Si tu le dis ...

Je disais ceci mais en réalité, je me doutais quelque par que ce Terra n'était pas quelqu'un de méchant, puisqu'il t'avait aider à te remettre sur pied. C'est juste que mon trait de caractère et le sien ne devait probablement pas être compatible.
Je semblais légèrement gênée en approuvant ceci.
Lorsque nous arrivons sur le terrain d’entraînement, je regardais dans un premier temps le siège. C'était époustouflant, j'avais ressentie une grande envie de m'y assoir à sa place.
Un sourire remplit d'émerveillement s'afficha sur mon visage.
C'est alors que je te vis te pointé du doigt.
Je ne comprenais pas et te regardais avec interrogation, puis le regarda a nouveau.

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Maître Xéhanorth restait ainsi, le doigt pointé sur moi.
Il me lança soudainement un sombre regard, il paraissait presque menaçant.

Je le regarda et hocha la tête. D'un grand bon, il se retrouva face à moi. Son sourire inspiré la terreur.
J'était devenu sérieux, et ne me méfier aucunement de lui.

Tout en prononçant ces mots, Maître Xéhanorth semblait amusé, il me regarde de nouveau et posa sa main sur mon épaule. J'était silencieux face à lui et me contenta d'hocher la tête pour lui répondre.

Sa voix restait sombre, et en l'espace d'un clignement d'oeil, il avait disparu. Sans laisser aucune trace. Je me retourna ensuite face a toi. Et te regarda en faisant un grand sourire idiot.

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Pour une fois, je n'avais décidé de ne pas intervenir et décidais d'écouter votre conversation. D'un autre point de vue, je ne connaissais pratiquement rien de Vanitas, mais le simple fait d'en parler n'évoquait rien de bien. Je te regardais simplement et écouta Xéhanorth.
Puis mon regard se posa de nouveau sur lui. Je regardais son regard sombre et ce sourire qui traduisait la terreur.
Je n'ai pus m'empêcher de penser que c'était, quelque part, une personne menaçante. Et te fessait légèrement reculer en tenant ta main.
Lorsqu'il prononça ses quelques mots, ils finissent rapidement par me rendre nerveuse.

Non ! Il ne disparaîtra jamais !

C'était sur un ton de gamine déterminée que je lui adressa ceci. Je tenais ton bras près de moi et le serra.
Mais j'écoutais tout de-même ses réponses froids et agaçants.
Je fronça les sourcils et le regarda avec froideur. Comme s'il te considérait déjà comme disparu et comme s'il savait déjà ce qui allait se passer. Je le regardais ensuite disparaître … Et te vis ensuite te tourner vers moi en m'adressant ses paroles, et en souriant à ton habitude. Je semblait boudée.

Ventus ! Pourquoi t'es si stupide ?

Je semblais non-seulement boudé le monde, mais je te mettais aussi dans le sac et ne cachait pas mes pensées. Pourtant, en disant ceci je continuais toujours de te serrer le bras, et mon regard était franche.
Ce sont deux gestes contradictoire que j'exerçais.

Mais même si tu es un idiot je te protégerai ! Je te le promets !
Jamais je te laisserai disparaître !

Je t'interdis de me laissée seule !

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Une fois que Maître Xéhanorth fut disparu, ta réaction ne tarda pas a se faire voir.
Tu semblais différente. Je ne comprenais pas ta réaction. J'était surement naif mais pour moi Maitre Xehanorth était quelqu'un de bien, un de mes formateurs. Et c'est avec le même sourire idiot que je te répondis.

Face a tes paroles, je semblais me faire gronder. Mais je ne prenais pas vraiment ça au sérieux.
Et je continuais de te regarder.

Ces mots étaient sortis tout naturelement comme a mon habitude.
Je continuais de te regarder et écouta ta dernière phrase.

Je disais ça sans prendre consciense que tu ne pouvais pas comprendre. Il était évident pour moi, que je retournerai en mon créateur. Ou plutôt, dans le vrai être que je suis.
Je repris fermement ta main et avança en direction d'un levier.

Allez viens! Je vais m'entrainer de ce pas !

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Tu ne semblait ne pas être du même avis que moi à son égard. Je te regardais et arqua un sourcil avec mécontentement. Je t'écoutais réclamer tout de-même un entrainement.
Au moment où tu disais pouvoir être aussi présent pour pouvoir me venir en aide et après avoir entendu la phrase qui suit... Je fessais beaucoup de preuve de mauvaise foi. Je baissa la tête et serra les poings. Mais en réalité, c'était principalement pour masquer mon arrière penser. Je tremblotais de colère en souriant avec le sourire le moins sincère de monde.

Te fiche pas de moi ...

Je m'arrêta en pleine marche et te stoppa en tenant ta main. Tout d'un coup, je la serra super fort, et semblait l'avoir fait intentionnellement. Je releva la tête vers toi en fessant grande preuve de mon caractère grincheux.

M'aider dis-tu ?! Comment veut-tu m'aider si tu disparaîtrait ?

Je semblait vraiment nerveuse a cette idée. Sans tardé je n'hésitais pas a te balancer un coup de pied, t'empêchant ainsi d'aller vers le levier. Je me montrais très brutale envers toi depuis ces paroles, même si je ne comprenais pas tout, cela m'énervait.

Tu songes à me laisser toute seule, hein ?! Je ne te le permettrais pas !

Obéis-moi et reste avec moi ... !

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Alors que je venais de finis de parler, je fut un peu surpris par ta réaction. Je te regardai et écouter ce que tu me disais. Je pris soudainement un air plutôt sérieux et enleva petit à petit mon sourire.

Alice...Je..Devrais t'expliquer quelques choses..

C'était étrange, mais je ressentais ce besion de lui expliquer, d'ou je venais. Je te regardé t'énervé, mais je voyais bien, que c'était plus par représaille et peur.
En te regardant, je te laissais faire, j'avais complètement oublié l'idée de m'entraîner.
Et désormais, j'était devenu calme, et attentif.
Avec une voix plutôt vide. Je prononça le nom de.

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Je restais au dessus de toi en gardant mes mains poser entre ta tête.  Je semblais toujours fâchée à l'idée d'entendre tout ceci, mais lorsque tu fini par m’interpeller avec beaucoup plus de sérieux, je devenais lentement plus calme. Ce moment de doute qui s'aventura le long de ta phrase m’annonçait pas très confiant. Je me retira doucement et lentement de toi et te regardais de façon assez curieuse.

Quoi ... ?

Je  patientais la suite de ta réponse en gardant les sourcils froncés. C'est alors que ta phrase suivante te mis dans une situation différente des autres. Tu semblais beaucoup plus sérieux que d'habitude et cela m'intrigua. Mais aussi ... Plus vide qu'habituellement.
Ma colère s'atténua petit en petit. Et je ne tardais pas a m'interroger sur les faits.

Ventus ... ?

Je semblait attendre, même si j'avais rapidement l'impression que quelque chose clochait. Je ne comprenais pas pourquoi tu avais prononcé ce nom, et attendait des explications à ton comportement.

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

J'était devenu silencieux, et mon regard sembla vide, je ne disais plus rien.
Petit à petit, je reposa mon regard sur toi

Ce que je disais, se présenter comme un brouillons. Je disais simplement ce dont je savais, je ne parlais que rarement de ça. Je n'avais même pas eu l'occasion, de connaître ce Sora. Mais je savais que mon coeur provenait du siens.
Je n'était que l'être de lumière que son coeur avait crée. Je savais qu'un être des ténèbres provenant du siens exister aussi. Pour le moment, je mettais les soupsons sur ce Vanitas.
Il me ressemblait étonnement beaucoup par ces pouvoirs.

Soudainement, je me repris et rigola légèrement.

Je disais ça, en semblant avoir retrouvé mon sourire.

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Je me posais pas mal de question lorsque je te vis réagir ainsi. Cela m'inquiétait légèrement, mais j'avais décidé de ne rien dire et me contentais simplement de t'observer.
J'écoutais ensuite tes explications. A vrai dire, ce que tu venais de m'adressé me surprenais. Sa me rappelais exactement ce que je suis. Une partie d'incarnation de Lacie, et Alyss était son autre moitié.

Je comprenais ce sentiment, et je dois dire que cette idée d'être une partie de quelqu'un d'autre ne me plaisait pas tellement. Sa me fessait étrange de te voir aussi perdu lorsque tu évoquais tout cela, et ne mis que peu de temps avant de comprendre que sa ne fessait pas du bien à toi non-plus de m'en parler. Mais j'étais déterminée à tout comprendre, pour une fois.
Je posa délicatement tes mains sur tes épaules. Cette fois-ci, je ne laissais plus reflété ce côté de brute, mais je me montrais beaucoup plus attentif et attentionnée.

Dis Ventus ... Tu ne trouves pas, que l'on se ressemble ?

Soudain, un sourire énergique et sincère s'illumina sur mes lèvres. Je voulais te connaitre plus, et en s'avoir plus sur toi. Ce n'est que de cette façon que je trouverai un meilleur moyen de rester avec toi.
Suite à ta seconde phrase, je ne lâchais rien et semblait toujours déterminée a comprendre. Te voir perdu ainsi m'engagea soudainement à te mordre à nouveau la joue. C'était devenu une habitude que je prenais lorsque je te voyais mal, pour te remonté le moral et fini par me retirer après un court moment.

Sans m'exprimer de façon brutale, je dis non de la tête et continuais de te sourire sincère et remplit d'énergie.

Tu peux tout me dire ! Je suis ta Chain, après tout !

Cela devrait faire assez bizarre de partager une relation aussi solide avec un contractant si l'on généralisait. Mais cela m'importait tellement peu.

Toi aussi, n'ai pas peur d'être seul ! Parce que j'irai partout où tu iras !

Mes paroles étaient sincères, je baissais ensuite la tête. La nostalgie prenait de plus en plus ampleur en moi, comme si des souvenirs cherchait a resurgir en moi. En gardant ce petit sourire nostalgique, je fini par ajouté.

Si tu disparais ... Je te rejoindrais.  

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Alors que je venais de te déballé ce piteux brouillon. J'entendis ta phrase suivante, dire que nous nous ressemblons, en entendant ça, un léger sourire naissa sur mon visage.

Soudainement, je te sentis mordre ma joue, une fois que tu te rettira, je posa immédiatement une main sur celle cie et écouta ta seconde phrase.
Je mis du tout, avant d'oser répondre quelques choses.

Mon sourire avait de nouveau disparu. J'entendis ta troisième phrase et hocha timidement la tête.
Je ne douter absolument pas de ce que tu venais de me dire. Et cela me rendait même légèrement heureux.

Soudainement, je te vis, changé d'émotion, je ne trouva rien a dire pendant un moment et afficha de nouveau un grand sourire..

Alice ... Arrêtons de penser au pire! Je ne disparaitrai pas si facilement hein !

Je ne pouvais m'empêcher de rire légèrement tout en te disant ceci.  

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Au moment ou tu avais retrouver le sourire, j'avais rapidement compris que tu partageais le même point de vue que moi. Et la phrase qui précédait permettait de valider mon hypothèse.
Mais ce sourire ne tarda pas a disparaître à nouveau. J'écoutais la signification de ton tourment. Je me sentais reflété à travers tes paroles car autrefois moi aussi, je pensais à la même chose.

Depuis le temps, je dirais que sa ne me dérange pas tant que sa de ne pas connaitre qui je suis réellement.
Je pris tout à coup tes deux mains et les entrelaça avec les miennes. C'est avec le sourire que je m'adressait à toi.

Peu importe, après tout ! Quoi que tu sois, Ventus restera Ventus !

Je te serai délicatement la main, et pour la première fois, un sourire tendre et doux s'était dessiner sur mon visage. Comme si ... Je cherchais à te réconforter de manière totalement différent.

Comme je suis "Alice". Alice ... Ton préféré et stupide lapin qui t'appartiens !

Moi non-plus je ne savais pas qui j'étais exactement. Ni pourquoi j'existe, et je ne sais juste que Alyss et moi nous nous complétons pour former le portrait de Lacie. Mais je ne voulais plus vivre en tant qu'Alice du passé. Je voulais profiter de mon propre existence.
J'écoutais ensuite la phrase que tu avais formuler. Je voyais ce sourire s'illuminer une fois encore sur ton visage, mais pour une fois je ne le prenais pas à mal.
Je t’enlaça soudainement dans mes bras, avec douceur et posa mon menton sur ton épaule en regardant devant moi. Bien que je n'étais pas possession d'un coeur ... Il ne m'en fallait pas pour ressentir ta chaleur. Cela me suffisait pour me prouver que j'étais bien vivante, et seul moi, pouvait ressentir cette sensation.

C'est vrai ...
Je ne te laisserai pas partir. Tu es bien trop précieux à mes yeux.

Ces mots raisonnait avec douceur et sincérité. J'afficha un sourire taquin tout en te gardant dans mes bras.

C'est décidé ! Je serai ta B-RABBIT rien qu'à toi ! Et pour toujours !  

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Face a ce que tu venais de me dire, je resta muet un moment, et me mis à rire.

Je t'écoutait et continua de rire phase a la seconde phrase que tu venais de me dire.
Je te regarda un long moment et souris bêtement.

Je prononça ça par plaisanterie et taquinerie.
Soudainement, je te vis me serrer dans tes bras, je resta un peu surpris.
En faite, je ne parlais quasiment jamais, de ce que je resssentais vis à vis de Sora.
Les phrases que tu continua de dire, me firent subitement pleuré, je ne savais pas pourquoi. Mais je te regardais, malgré les larmes, je continuais à sourire.

Alice ... Si un jour ..Je venais a devoir retourner en Sora. On se retrouvera pas vrai..?

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Je restai un moment dans le silence en écoutant tes paroles. Un léger sourire de fierté se dessina sur mes lèvres lorsque je t'entendis me décrire de la sorte. Je m'acceptais comme je le suis, et la façon dont tu m'avais décrite m'amusait et je poussais un petit rire amusé. Je me demandais si ce sont les seuls caractéristiques qui t'avais marquer chez moi.

Quand je t'avais pris dans mes bras, en prononçant ses paroles sincères à ton égard, je ne remarquais pas directement les larmes que tu as versé. Je continuais de te serrer avec calme et douceur en gardant un sourire.
En regardant devant moi, je t'entendis prononcé ces quelques mots.
Sora. Ce nom était graver en toi, et j'avais bien compris qu'il fessait parti d'une part de toi. C'était un sentiment que je connaissais très bien.
Mais lorsque tu disais retourner en lui, sans poser de question je comprenais rapidement. Je semblait ne pas du tout être d'accord avec cette idée et tourna subitement la tête vers toi.

Ven-... Tus ?

A l'instant où je vis tes larmes apparaître, je comprenais avoir toucher un sujet sensible, et que cette question provenait au plus profond de ton être.
Je te regardais pleuré ... Et baissa lentement la tête. Je ne savais quoi penser de cette question. Je ne fessais vraiment pas à cette idée, et ne le désirais pas.
Même en cherchant à faire preuve de bonne foi, je me retrouvais a nouveau confronter à ce désaccord et te pris à nouveau dans mes bras, en te serrant fort et en disant non de la tête.

Non ... ! Je veux que tu m’emmènes partout où tu iras !

Je ne souriait plus après ces paroles. Et disait ce que me dictait mes pensés. J'ignorais encore plein de chose, mais tout ce que je désirais, c'est pouvoir être à tes côtés.

Si tu ne le fais pas ... Je veux être effacer de ce monde.

Mes paroles étaient doter de franchise inébranlable. Je continuais de te serrer avec délicatesse, et retrouva légèrement le sourire lorsque je prononçais ses mots.

Je n'ai découvert ce monde ... Seulement parce que tu as entendu m'a détresse. Et venu me sauver. J'ai appris a découvrir le monde de la lumière alors que je suis née des ténèbres.  

Le centre de ce monde que j'ai connus ... C'est toi Ventus. 

Il n'y a plus de sens si tu n'es plus là ! Je préfère mourir dans l'Abyss que de vivre sans te voir ! Puisque c'est toi qui m'a appris a connaitre la vie extérieure. 

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Mes larmes continuaient de couler, je n'arrivais pas à les arrêter et t'écouter.
Tout ce que tu me disais me laisser sans voix, et plus le temps passé, plus mes larmes disparaissaient.
Je finis alors par afficher un nouveau sourire.

Te regardant toujours je finis par reculer tout en souriant.

J'avais retrouvé petit à petit le sourire et continua de te regarder.

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Alice. Mon prénom est Alice. C'est tout ce dont je me souviens. Mes souvenirs se sont éparpiller et abandonner sur Terre et m'ont quitter le jour de mon pêcher - Réciproquement au même jour où j'ai été envoyé dans les profondeurs de l'Abyss.

Je ne disais quasiment plus rien lorsque tu prononçais ses paroles et regardais le sol, sans expression particulière. Je restais étrangement silencieuse sans t'aborder un seul mot et me contentais juste d'écouter ce que tu voulais exprimer.

Ta seconde phrase me rassurait légèrement, mais je n'étais pas décidé a exprimer quoi que ce soit de plus et gardais la tête baisser. Je donnais l'impression de ne pas t'écouter, mais en réalité je me montrais très attentif à tes paroles.
Quand tu proposa ensuite d'aller rejoindre les autres, je gardais toujours ce silence et tu répondais par un hochement de tête sans même te regarder.
Je semblais étrangement ne plus vouloir parler, et poussa simplement un soupire.

J'approcha l'une de mes mains de toi et prit la tienne et la serra. Je ne te regardais toujours pas et restait silencieuse pour une fois.

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Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Je ne comprenais pas le silence qui venait d'apparaître.
Je te regardais toujours est prononça ton prénom légèrement inquiet.
Je regarda ta main et ne dis plus rien également, je n'avais déjà plus envie de partir rejoindre les autres et me contenta de te dire un simple.

Je soupira également et te regarda toujours. Je me sentais dorénavant faible face a ta réaction.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Alice. Mon prénom est Alice. C'est tout ce dont je me souviens. Mes souvenirs se sont éparpiller et abandonner sur Terre et m'ont quitter le jour de mon pêcher - Réciproquement au même jour où j'ai été envoyé dans les profondeurs de l'Abyss.

Je restais toujours silencieuse et morne, plonger dans mes pensés. Tout m'était devenu si confus depuis cette discussion. Je gardais le regard rivé vers le sol, quand j'entendis mon prénom se faire prononcé. Je n'étais toujours pas décidé de relever la tête mais t'avait entendu. Je serrai simplement et légèrement un peu plus ta main lorsque tu avais prononcé mon prénom.

Et je t'entendais t'excuser ensuite. Je pense avoir a peu près compris de quoi il pouvait s'agir ...
C'est ainsi que je fini par croiser ton regard. Je restais calme et silencieuse en continuant de serrer ta main. Mon regard était devenu mature et sincère, à la fois perdue.

Ventus ...

Etrangement après avoir prononcé ton prénom, j'avais ressentie cette fois encore ce sentiment nostalgique. Bien qu'autrefois je n'avais jamais croiser ta route, j'avais l'impression de te connaitre depuis toujours.
Un long moment de silence régna après que je t'ai interpellé.
Soudain, un léger sourire se dessina sur mes lèvres. Je semblais confuse et ne comprenais pas mes propres pensés et cela devait être dut au fait que j'ai mené deux vies totalement différent: En tant qu'humaine, et en tant que Chain.
Je te regardai dans les yeux avec sincérité et prononça ces mots.

Je t'aime, Ventus !

Ces mots furent prononcer tout seul. Et je ne me montrais pas du tout réserver, c'était une habitude chez moi d'être sincère avec mes pensés. Un sourire habituel et énergique reprenait place sur mes lèvres, je ne comprenais pas tout le sens de ce mot, mais j'avais sentie que je devais le prononcé. Je me fichais presque de ce que tu en pouvais en pensé, ou si tu partageais ce que je ressentais. Je voulais juste le dire.
Après les avoir prononcé, tout me semblait redevenu normal et je ne voulais plus entamer ce sujet. Je m'étais tout simplement résolue à tout faire pour te garder à mes côtés.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Face à se silence j'était devenue silencieux et baissa a mon tour la tête, alors que je t'entendis prononçait mon nom, mon regard se reposa sur toi, mais je ne prononça aucun mot.

Je ne savais plus quoi dire ou quoi faire, quand soudainement je t'entendis dire "Je t'aime". J'était surpris d'entendre ça et en resta plus ou moins muet pendant un assez grand laps de temps.

Soudainement, je me repris et te regarda en riant un peu.
.

Je  ne savais pas quoi ajouté et baissa lentement la tête avant de dire à basse voix..