Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Au moment où je te sentis me secouer, mes yeux s'ouvris bien plus rapidement que l'on pourrait y penser. Et pour couronner le tout, un large sourire heureux naissait sur mes lèvres. Tout traduisait que je n'avais pas dormis, cependant, je ne te laissais pas le temps de comprendre cela que je me redressa rapidement, et te déposa un doux baiser sur ta joue et me relever en m'étirant.

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Et d'un air amusé tout après t'avoir taquiner, je me dirigea vers la maison en marchant à pas heureuse ne t'attendant pas.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En te voyant ouvrir les yeux, je ne me doutais pas une seconde que tu n'étais pas endormis, et en t'entendant alors me rapeller que j'avais un pelage, je te regarda, comme si j'avais oublier cela. Et d'un air idiot, je répondis avec surprise.

Tout en te posant cette question, je te suivis et entra dans la maison, me précipitant sur le canapé pour m'y allongé en boule comme si j’étais sous mon apparence animal.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Suite à tes propos je laissa échappée un petit rire amusé, comme d'habitude même dans ces moments où nous étions tous les deux éternuer, je te voyais toujours garder cette naïveté enthousiasme remplit de gaïeté et d'innocence. En te voyant alors te précipité sur le canapé, je pencha légèrement la tête sur le côté en m'approchant de toi en te taquinant et d'une expression boudeuse, je t'adressa ces paroles.

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M'asseyant alors à côté de toi, je posa ma main dans tes cheveux en te caressant, comme si tu étais sous ton apparence de loup. Et tout en te poussant légèrement pour que tu me fasses de la place, je te serra contre moi.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Avec un visage surpris j'écouta ta phrase, ne comprenant visiblement pas que j'avais la moitié du canapé de pris par ma faute, et alors que je m'apprêtais à te répondre par une question idiote, je te sentis te blottir contre moi.
J'ignorai pourquoi, mais face à ce geste, mes joues prirent une teinte légèrement rosé, et hochant la tête comme un enfant j'ajouta à voix basse.

Tout de suite après t'avoir dit ces mots, je ferma mes yeux et resta contre toi.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Tout en te serrant je t'adressa un doux sourire et légèrement amusé de te voir aussi gêné, c'était probablement la première fois que je te vis rougir de la sorte. En laissant échapper un petit rire, je te caressa la tête comme si tu étais sous ton apparence de loup, avant de fermer les yeux et prononcer à mon tour bonne nuit. Le fait de rester blottir contre toi me faisais sentir une douce chaleur agréable, et je n'avais pas froid.

Au petit matin, je me réveilla sous les premières rayons du Soleil, le fait qu'il n'y avait pas de rideau à notre disposition semblait légèrement me dérangé. En ouvrant lentement les yeux, je déposa alors mon regard vers ta direction.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Lorsque les premiers rayons du soleil éclairé la pièce, je restais paisiblement endormis.
Il était normal pour moi de ne pas être agacé par une quelconques luminosité lors de mon sommeil, il fallait dire que vivant en extérieur, j'avais l'habitude de dormir a la pleine étoile, et ma paresse du matin était époustouflante quand on connaissais l'énergie que je pouvais gaspiller en une journée.
Cependant, ce matin là, au moment ou je te sentis te réveiller, mes yeux s'ouvrir légèrement, c'était comme si le moindre de tes gestes suffisait à me mettre en éveil.
Malgré le fait que j'étais désormais réveiller, je ne semblais aucunement décidé à me lever de ce canapé, et sans tarder, je commença à râler comme un enfant le ferais lors de son réveil.

Venant de ma part, il n'était pas étonnant que ma première question concerné la nourriture, et tout en frottant mes yeux de mes mains, je m'assis sur le canapé et regarda le salon d'une mine encore endormis.

Sans même te saluer, je venais à te poser cette question.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Ne pensant pas te réveiller de si tôt, je semblais légèrement surprise quand je te voyais te réveillé à ton tour juste après moi. Bien que je savais que tu devais être très sensible au bruit, je ne pensais pas à ce point. Je me montrais alors assez dérangée, cependant la question que tu venais de me poser ne tarda pas à éclipser ce gêne en moi. Mon regard s'atténua alors, et en te regardant avec tendresse, j'afficha un doux sourire avant de te répondre calmement.

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En disant cela je pensais au petit déjeuner. Et tout en gardant ce sourire amuser sur mes lèvres, je regardais vers le mur comme étant habituée à voir une pendule y accrocher, simplement mon ancien demeure n'existais plus. Et en regardant l'état de cette maison, j'avais bien conscience que je n'étais plus dans mon village natale, mais que nous étions dans la maison d'autrui. Cela me rendis légèrement triste, mais quand je me rappelais de cette instant où tu es venu me chercher au péril de ta vie, mon sourire ne tarda pas à revenir. Mais je fus interrompu dans mes pensées au moment où tu me posa la question, et en riant légèrement j'hocha la tête avant de te taquiner un peu.

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Je m'assis à mon tour sur le canapé et tout en m'étirant, je bailla.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En te regardant, je poussa un grand bâillement et m'étira à mon tour, avec mon état de réveil, je n'avais pas encore pu remarqué que tu semblais triste, et c'est avec un air toujours boudeur et non réveiller que je répondis à la question que tu venais de me retourné.

Je venais de te dire ça de façon tout a fait normal et naturelle, et tout en me levant, j'ajouta d'un air déterminé.

En prononçant ces mots, je tendis bêtement ma main en ta direction, comme pour te demander de l'attraper.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

En écoutant ta réponse, je tourna mon regard vers ta direction en prononçant un petit "Heh?" du à la surprise qui resurgis en moi. Bien que tu étais doté d'une franchise hors norme et que tu n'avais probablement pas conscience de ce que tu disais, je rougissa subitement  en t'entendant dire ça.
Baissant alors le regard je prononça à toute petite voix, si petite que tu devrais avoir du mal à entendre ce que je disais.

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Et alors en te voyant retrouver de nouveau cette énergie,en t'écoutant avec l'air si déterminé, à ce moment là je ne pouvais me sentir légèrement inférieur à toi, comme si dans ces moments, tu étais plus mature que moi. Et tout en t'adressant un sourire remplit de joie, je te saisis sans hésiter ta main comme si j'étais prête de partir à l'aventure à tes côtés.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En sentant ta main dans la mienne et en entendant ta phrase, un regard tendre, joyeux et reconnaissant t'étais adresser, et sans même te dire d'avantage de mot, je te serra subitement dans mes bras en ajoutant avec joie.

Ses mots étaient encore une fois prononçés avec beaucoup de naturels.
C'est après t'avoir lâcher que j'ajouta avec beaucoup de dynamisme.

J'annonçais cela avec beaucoup de fierté, alors que le sujet n'avait rien à voir avec le précédent, cependant, en prononçant ces mots, un grand sourire trônait sur mon visage.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Alors que j'étais plongée dans mes pensées, c'est alors que je me retrouvais immédiatement dans tes bras sans m'y attendre, et rougissant de nouveau je tentais tant bien que mal de dissimuler ma gêne.

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Cependant à l'instant où tu recula, je t'adressa un doux sourire en entendant le défi que tu t'es toi-même imposer. Et sans y voir d’inconvénient j'hocha la tête.
Je prie alors ta main, et avec détermination je te proposa mon idée visiblement très joyeuse et à la fois excitée.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En entendant ton idée, un sourire rayonna sur mon visage, et tout en attrapant subitement mes deux mains, je me mis a te tournée autour tout en bondissant joyeusement.

Je semblais réellement joyeux et excité d'apprendre à connaître la vie humaine, et tout en te tirant avec énergie, je me pressa de te trainer vers la route, sans même avoir pris le temps de manger ou de ce peigner.
Il était vrai que mes cheveux était encore en bataille du à cette nuit de sommeil, cependant, en temps que loup, cela m'était inconnus et m'importait peu.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Alors même que je venais de finir de prononcer ces mots, je ne tarda pas a voir ta joie refaire subitement surface. Face à ton comportement et l'énergie qui débordait en toi dés ce bon matin me fis alors rire de façon amusé et aimable. Je ne parvenais toujours pas a comprendre d'ou tu puissais autant d'énergie, c'était bien la première fois que je voyais quelqu'un d'aussi énergie, joyeux et de si bonne humeur dés le réveil.
Et alors que je n'avais même pas le temps de répondre à ta joie que je me sentis subitement tirer par la main, vers la direction de mon village. D'un air amusé je prononça:

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Posant alors une main sur ta tête, je te les peigna avec beaucoup de tendresse et d'amour avec mes doigts.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Alors que j'étais tout presser de partir, je t'entendis dire quelques choses que je ne semblais visiblement ma comprendre, et d'un air idiot et inculte, je te demanda bêtement.

Ma question était réellement stupide, signe de mon inconscience face au comportement humain, et d'un air déterminé a comprendre, je dis simplement.

Cette courte phrase était symbole de ma détermination, car même sans rien connaître, à partir du moment que cela faisait partie du quotidien d'un humain, j'étais prêt à t'écouter.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Je laissa échapper un petit rire face à ton comportement innocent et enfantin, et tout en hochant la tête avec un grand sourire heureux je fini par te répondre sans te faire patienté plus longtemps.

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Mais sans même te laisser le temps de te coiffer où de prendre soin de ton physique, je te tira à mon tour d'un air plaisantin, et tout en avançant vers le village je ne pus m'empêcher de rire.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Alors que tu venais de me retenir suite à mon attitude qui n'était pas humaine, je te sentis me tirer en direction du village, et se fut sans surprise venant de moi que je me mis subitement à me comporté comme un bébé.

Il semblait qu'avec moi, le moindre mot pouvait impacté sur mon comportement et te tirant alors vers la maison, je criais comme le ferais un enfant déterminé à tenir tête.

Au lieux d'accepter sans broncher ta proposition d'aller au village, je me montrais subitement comme capricieux.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Sans m'attendre à une telle réaction de ta part, je semblais assez surprise que tu ne voulais pas m'y obéir pour n'en faire qu'à ta tête. Et tout en t'entendant bouder de la sorte, j'afficha un petit sourire moqueur mais à la fois amusé par ton comportement. Et tout en croisant mes bras, je te dis sur un ton amusé.

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Sans te laisser le choix j'attrapa ton bras et te tira de force et ricanant.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En te voyant réagir calmement face à mon caprice, je resta visiblement ébahis, cependant, d'un air fier, je croisa les bras et hocha vivement la tête a de nombreuse reprise.

Après avoir dit ces mots, je te laissa me trainer en direction de ces sources.

En disant ces mots, je semblais tout heureux et fier.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

En te voyant si ébahis suite à mes parole,s je semblais comme devenir soudainement hésitante. M'arrêtant alors sur mes pas, une fois que nous étions arriver devant le portail menant au village de Konoha, je me retourna subitement vers toi en criant ton nom comme pour te prendre par surprise et soudainement, je t'attrapa entre les joues en te regardant droit dans les yeux, presque menaçant et éffrayant, comme pour te reprimander alors que tu n'avais pour le moment encore fait aucune bêtise du jour.

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Mon regard te foudroyait comme si c'était réellement cruciale et que tu aurai subis un châtiment si tu ne faisais pas cela.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Face a tes gestes. Je resta sans voix. Cherchant alors ce que j'avais fais de mal. Je t'entendis me dire de ne jamais prendre mon apparence de loup dans ce village.
En entendant ça. Un rire idiot et amusé retentis. Et tout en levant une main en l'air. Je cria gaiement.

Je disais ça avec un air idiot et peu sérieux comme a mon habitude.
Cependant j'avais parfaitement compris que je devais être sage ici. Et tout en souria gaiement en disant.

Je semblais déja avoir oublié mon comportement de râleur, étant déja redevenu joyeux.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

En t'entendant je laissa échapper un rire amusée, et te serrant fortement la main d'un air joyeux, je marcha toute contente en te tirant, en ma compagnie. Une fois que nous étions entrer dans le village, je regarda aux alentours. Le village semblait toujours aussi dynamique.
Mon regard se posa alors sur toi, il y avait toutes sortes d'activités qui y régnait.
Mais comme nous avons prévu, je marcha en direction des sources thermales.

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Sans même savoir pourquoi je venais de te poser cette question.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Une fois dans le village, mon regard se montrait captivé par le moindre geste venant d'humain, cela n'était pas réellement différent des fois ou nous étions venus ici ensemble.
Mon attention était réellement captivé par des détails inutiles.
Et alors que je regardais des jeunes enfants, j'entendis ta question, et tout en riant bêtement, je te répondis comme si cela était une évidence.

En te disant ces mots, je semblais néanmoins amusés de la situation, et tout en te serrant la main, je finis par courir en direction d'un manège pour enfant, visiblement distrait par cette chose qui tournée et ou des chevaux de bois était construit.

Ma naïveté faisait encore son apparition, je ne semblais pas discerné des morceaux de bois à des animaux réels.

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