Face à ta réaction, mon regard se montra beaucoup plus cruel et sombre que d'habitude, et d'un air irrité par ton comportement, j'ajouta sévèrement.

Nous n'aurions pas à vivre ça, si nous n'avions pas été destiné à être Qwaser. Même si c'est personne son humaine. Nous les sommes aussi. Ma première Maria, n'était autre qu'Olja, et, elle en a payer de sa vie, pour préserver la mienne. Ma seconde était une soeur appartenant à l'église, qui avait pour volonté de m’accompagnai, pour m'aider dans ma quête, mais celle ci c'est sacriphier quand l'or m'avait une nouvelle fois immobilisé, son action était similaire a celle d'Olja. Alors, si c'est pour les perdre de la sorte, autant emporté des inconnus avec qui je n'aurais aucune relation.

Bien que mes mots paraissaient inhumain, il était prononçait avec une colère et un rage sans pareil, non pas envers les femmes, mais envers ces chercheurs, mais surtout envers ce Qwaser de l'or qui ne cessait de me causer des tords, éliminant tout personne m'entourant, et tout en rejetant subitement tes mains de mes épaules par le biais d'un geste brusque de la main, j'ajouta froidement.

Tu ne seras jamais, celle qui m'abreuvera. Je ne veux pas, d'une personne comme toi comme ressource. Tu es bien trop similaire à Olja, prette à te sacrifier pour tes amis. En vérité, je déteste cela. Alors cesse de parler de chose si ridicule, et puis, tu as un but totalement différent du miens.

En t'adressant ces mots, mon regard se déposa alors sur Lavi et les autres. Et d'un air ennuyé, je parla froidement.

Nous sommes bien trop différent. Je ne vous accompagnerai plus. Et puis, je n'ai plus de temps à perdre, j'ai une destinée à accomplir. Je vous souhaite bonne route.

En disant ces mots, j'exprima à haute voix mon désirs de vous quitter dors et déjà afin de rencontrer cette personne qui venait d'immergé une nouvelle fois dans mon esprit.
Jusque là, c'était comme si celle ci s’effaçait, mais, rien que le fait d'avoir pensé a ces actes m'avait fait renaitre cette haine en moi. Et, tout en serrant les points, je finis alors par te bousculé afin de retourner en direction du port.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

« Me wo tojite sekai omoi yukaberu to, Nani ga mieru ? Watashi wa ne, Senjou ni hita watashi mieru wa Nakama no kao dake. Nakama ga hitori shinu koto wa.Sore ga, watashi ni totei no sekai dakara. Watashi ni totei Sekai ni ichibu horobiru na to, onaji koto »

Alors que la conversation prenait une tournure réellement plus sérieuse et sombre, je fus légèrement surprise et offensée par le regard que tu m'avais adressé. Bien que je restais légèrement sur un désaccord en t'entendant vouloir partir en aventure avec un inconnu, au fond je ne semblais pas t'en vouloir bien au contraire, je pouvais sentir combien tu avais enduré de ces souffrances et que désormais, tu ne désirais plus souffrir et que c'était bien pou cela que tu avais pris cette décision. Sans te contredire, j'accepta simplement tes paroles en serrant les poings et détournant le regard. Bien que je restais toujours très attentive à tes paroles ... Je ne pouvais t'interrompre. En te voyant alors retirer mes mains de toi et prononcer la suite de tes pensées, je murmurais ton nom avec inquiétude. Cette distance que tu venais de creuser entre nous rien qu'après t'être rappeler de ton passé étant si soudain. T'adressant alors un regard remplit de surprise, je dis non de la tête en ne pouvant accepter que tu partages cette aventure sombre tout seul. Et c'est en te voyant t'éloigner soudainement, et tout en entendant ta dernière phrase, je ne pouvais aucunement accepter cette décision que tu avais pris tout seul.

“”

Ce fus alors mes premiers mots que j'avais prononcé depuis tout ce temps. Bien que mes pensées parlaient depuis tout ce temps, je n'en avais pas les paroles, mais te voir t'éloigner de moi avait créer une déchirure en moi. Et instinctivement j'accourus vers toi et te pris par derrière. Bien que je m'attendais à ce que tu me repousse de nouveau, je ne pouvais accepter le fait de te voir partir. Et le fait d'y penser, ne tarda pas à me rendre terriblement triste. Les yeux larmoyants, je te serra fortement contre moi comme pour t'empêcher de me retirer de mon emprise, et les premières larmes ne tarda pas à couler. D'un voix tremblante, désolée mais à la fois appeuré sous laquelle était superposée une petite couche de colère, je fini par te parler.

“”

Mais je ne parvenais pas a nier mes pensées, le fait d'être arracher ainsi était une douleur que je connaissais. Cependant à cette instant, ça m'importais peu. Et d'un air éperdue je te serra plus fort contre moi.

“”