Uarrivée face au campement, je ne tarda pas venir te rejoindre.
En te voyant Erika ne tarda pas à s'affirmer et à montrer son fort tempérament en m'attrapant le bras.

Je ne sais pas qui tu es. Mais Sasha m'appartient! Le cuivre et le métal sont fait pour être ensemble. Nos pouvoirs se complète!  

Sa réaction me fit alors poussé un soupire.
J'avais encore du mal à croire que quelques temps avant, celle ci essayé de me tué sous l'ordre de l'or.
Et tout en la regardant, je lui parla froidement.

Erika. Nous ne sommes rien. Tu n'étais qu'une partenaire de mission pendant un court délais.

En me voyant lui répondre si sèchement, Erika tira une tête d'enfant blessée et tout en se positionnent devant toi les bras sur les hanches, elle te demanda directement.

C'est quoi ton nom? Tu connais Sasha depuis quand? Tu es sa Maria?

En te posant ces questions sans honte, elle finit alors par t'afficher un sourire légèrement faux et étrange en te disant alors.

De toute façon, je suis certaine que tu ne tiendras pas longtemps si tu nous suis. Tu as l'air bien frêle.

En l'entendant te dénigrer ainsi, ma réaction ne tarda pas à se faire entendre, et la bousculant légèrement, je finis par prendre un air autoritaire.

Lâche la! Si je dois défendre l'une de vous, ce ne serait pas toi! Compris? Et puis, Lenalee et bien plus forte que tu peux l'être avec ton tas de rouille que tu appelles "maman". Sale gamine.

Ma façon de lui répondre était réellement trash et sans scrupule.
Cependant, c'était comme une habitude entre elle et moi.
Nous avions tous les deux de forts caractères possessifs et entêtés et cela se fit rapidement remarquer.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

« Me wo tojite sekai omoi yukaberu to, Nani ga mieru ? Watashi wa ne, Senjou ni hita watashi mieru wa Nakama no kao dake. Nakama ga hitori shinu koto wa.Sore ga, watashi ni totei no sekai dakara. Watashi ni totei Sekai ni ichibu horobiru na to, onaji koto »

Tout en m'apprêtant à venir vers toi comme pour t'examiner de plus près, je ne tarda pas à remarquer qu'il y avait une tout autre personne. En la regardant, je semblais presque admiratif à son égard, je la trouvais aussi mignonne qu'une poupée. Et avant même que tu ne m'adresse quoi que ce soit, je la vis t'attraper par le bras et me rétoquer. En assistant à cette agression subite, contrairement à toute attente j'afficha un sourire amusé par sa réaction, à première vue elle semblait avoir un côté aussi enfantin mais cela ne m'étonna pas réellement, cette fille avait surement à peu près ton âge.

“”

En t'entendant alors lui répondre je ne pus ajouter un petit sourire également amusé par ta réponse, tu te montrais réellement froid et distant envers elle bien que j'ignorais les raisons, je pensais simplement que tu avais décider de faire le dur à cette instant. Et au moment où elle m'adressa de nouveau la parole sans mâcher ces mots, il m'était presque évident qu'elle me prenais pour l'une de ces rivales mais je ne parvenais pas à lui en vouloir, et bien qu'au fond cela me rassurait qu'une personne puisse autant t'aimer, savoir que tu étais important aux yeux de quelqu'un d'autre me rendais heureuse bien qu'elle semblait me haïr, je ne m'en montrais pas plus dérangée. Cependant, lorsque tu ne tardais pas à ma rejeter, je t'adressa un petit regard reconnaissant, mais tout en tentant de calmer les tensions visiblement à cause de ma présence qui était de trop, je dis sur un ton légèrement dérangée et doux à la fois.

“”

En me retournant alors vers cette personne, j'étais loin de me montrer comme vexée où jalouse, mais mon sourire dégageait bien beaucoup de joie et c'était bien dans ma nature d'accepter les personnes telles qu'elles étaient. Cela m'amusait presque de lui parler, elle me rappelait la première fois où nous nous sommes échanger nos premiers mots.

“”

En parlant de toi je t'adressa un regard taquin comme pour te surveiller ta réaction, comme si je me faisais une joie de raconter l'époque de notre rencontre. Mais pour éviter toute mauvaise vue brûlant, je me retourna dans sa direction avant de tenter plus où moins de la rassuré.

“”

C'était avec un ton amusé et dôté d'une couche d'humour que je lui disais cela, bien que je n'étais pas plus où moins joyeuse de l'admettre, en vous voyant ainsi, je ne pouvais m'empêcher de penser cela. Et en riant avec douceur en vous regardant, je croisa simplement les bras derrière mon dos en regardant cette mystérieuse jeune fille.