Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

J'écoutais chacun de tes mots avec beaucoup d'attention. En attendant que le chef de ton village était gentils, un grand sourire pris place sur mon visage, et sans dire un seul mot je repris alors mon apparence de loup et m'allongea dans l'herbe en boule semblant patienté tranquillement dans ce paysage calme et superbe.
Cependant, je ne resta pas longtemps sage.

Alors que je m'apprêtais à me reposer le temps que tu manges, mon regard fut subitement posé sur un papillon qui butiné autour de nous.
Au moment ou celui s'approcha de moi, je me releva et essaya de bondir dessus comme ferait un jeune chien ou chaton qui s'amusé.

D'un air totalement gamin j'hurla alors.

Je m'adressais à ce papillon comme s'il était possible qu'il me réponde et me défis.
Je ne cesser de lui courir après et de tenter de l'attrapé, mais, sans surprise, je n'étais absolument pas discret et concentré, ce qui faisait cas chaque bond, je n'arrivais même pas à l'effleurer.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Alors que j'étais en train de manger mon poisson, je te vis de nouveau t'agité ne pouvant rester sur place sans ne rien faire.
A ton comportement je ne pus m'empêcher de rire, c'était la première fois que je voyais un loup s'amuser avec un insecte tel qu'un papillon.
C'est alors que je m'éloigna peu à peu avant de garder mes distances et t'observer de loin en jetant les arrêts de poisson sur le sol, avant de me cachée derrière un arbre.
Je te regarda alors t'amusée en riant à voix basse, avant de murmurer comme pour me parler à moi-même.

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Je continua alors à t'observer en restant cachée derrière un arbre.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Continuant d'essayer d'attrapé ce papillon, je ne cessais de faire plusieurs bond à travers les fleurs.
Cependant, sans surprise, mon comportement se changea au moment ou le papillon se posa sur mon nez.
J'hurla alors d'une façon effrayé tout en reculant.

Je me retourna alors et ne tarda pas à te perdre de vue, tels un idiot, je ne songea même pas à utiliser mon odorat pour te retrouver.
Je me contenta de courir en direction du feu en me cachant derrière alors que le papillon était dorénavant hors de ma vue.

Je m'allongea alors au sol comme pour me cacher. Je ferma fortement les yeux en appelant ton nom d'un air paniqué.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Il ne tarda pas à ce que tu fasses de nouveau une bêtise de la sorte. Alors que tu étais déterminé à attraper ce papillon tel un chat, à la première occasion où tu pouvais enfin l'attraper je te vis partir subitement en courant. Face à ton comportement tellement puéril et enfantin je ne pus m'empêcher de rire aux éclats avec un légèrement air moqueur.
C'est alors que sans même penser à utiliser tes capacités pour me retrouver, je laissa un léger soupire exaspérer tout en gardant un petit sourire sur les lèvres, je posa mes mains sur les hanches avant de te faire connaître ma position en t'appelant.

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Tout ceci était dit avec beaucoup de taquinerie et d'amusement. Je ne pouvais pas m'en empêcher, tu étais si adorable que cette situation m'amusais plus qu'autre chose.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

En entendant ta voix, je me releva d'un bond.
Sans perdre de temps je courrus pour me retrouvé a tes côtés, et tels un jeune chien, je passe ma tête contre ta cuisse d'un air visiblement rassuré.

Je disais ces mots avec beaucoup de sincérité et un air immature.
Relevant lentement la tête, je te regarda et ajouta subitement.

Je te posais cette question car il était vrai que je n'avais aucune idée de comment me présenter à ce fameux Hokage.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

En te voyant te précipité vers ma direction subitement, un petit rire se faisait laisser entendre. Je me pencha alors vers ta direction avant de poser une main dans ta pelage et en disant avec beaucoup de douceur.

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En entendant ta question, j'hocha simplement la tête avant de me mettre à marcher vers la direction du village.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

J'écoutais chacun de tes mots, et tout en hochant vivement la tête, je repris ma forme humaine.
Un sourire enjoué demeuré sur mon visage quand à mes bras ils étaient croisé derrière mon dos.

Mon regard quand à lui se posait sur les nombreux arbres se présentant à nous.
Je m'adressa de nouveau à toi tout en gardant mon sourire enjoué.

Ma question était ridicule, cependant, je te la posait sans montré la moindre gêne ne me doutant pas du tout que celle ci était stupide.
Et sans même attendre ta réponse je m'exprima fièrement.

Je te disais cela avec beaucoup de naturel, comme si devenir ami avec une personne qui souhaite ma mort était quelques choses de normal et tout en riant je me mis devant toi et dis fièrement.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Marchant en direction de ma demeure à tes côtés, je t'entendis me poser une question qui attira tout de suite mon attention. Bien qu'elle semblait très simple et enfantin, à mes yeux elle représentait également beaucoup d'importance que je ne savais quoi te répondre. J'étais à la fois alterner par le fait de ma solitude mais aussi par ma propre nature humaine. Cependant, tu ne me laissa pas le temps de réfléchir que je t'entendis tout de suite y répondre à ton tour.
En t'écoutant, je ne pus m'empêcher d'écarquiller les yeux face à ta réflexion. Tu demandais à devenir ami avec une personne qui avait chercher à t’assassiner.

“”

Bien que cela me surprenais je semblais avant tout inquiète pour toi. Je ne comprenais pas pourquoi tu t'es autant dénicher de cette personne qui, à mes yeux n'est juste qu'une horrible créature voulant assassiner un être aussi innocent que toi. J'écouta alors tes phrases et arqua légèrement un sourcil, je te trouvais réellement étrange. Cependant, comme à ton habitude, tu étais toujours aussi joyeux et souriant bien que je ne partageais pas ta joie. Mais je n'avais aucunement le droit de te contredire car à vrai dire, moi-même j'ignorais tout de cette homme. C'est alors qu'à nouveau je poussa un profond soupire désespérer avant de t'attraper par le bras et te tirer dans ma marche. Je ne semblais pas mécontente, ni t'en vouloir, mais assez ennuyé de l'attention que tu portes envers cette personne.

“”

Je tournais autour du pot en essayant de te retirer cette idée de la tête sans y parvenir brusquement car, je savais pertinemment que cela pouvais te blessé. Avec un sourire légèrement doux, je continua de te parler tout en te tirant dans ma marche.

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Et bien moi, j'aime les humains ! Peut importe si je vais au Rakuen ou non. J'aime les humains ! Je veux vivre avec eux!

Finissant de poser mes questions, j'écouta tes réponses avec attention tout en conservant mon sourire joyeux sur le visage. Je te sentis alors m'attrapé le bras et me tiré dans ta marche.
Sans dire un seul mot je te suivis et écouta le reste de ta phrase. C'est avec beaucoup de franchise et une once de stupidité que je répondis tout naturellement.

Adressant ces phrases d'un air gamin, je te regarda et continua a te suivre. Surement que j'ignorais la cruauté de ce monde, je pensé simplement que d'aimer les gens qui me haïssaient me permettrai d'être accepté.

J'entendis alors ta dernière phrase et hocha simplement la tête.

Encore une fois je répondais a ta phrase avec beaucoup de naïveté et de simplicité.

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Je deviendrai la première femme  Hokage-tebanne !

Sur la route que nous étions en train d'emprunter, on pouvait apercevoir l'entrer du village. Un sourire naissait sur mes lèvres remplit de fierté lorsque nous finissons par y arriver, j'étais visiblement heureuse de moi-même de m'être pas perdue sur le chemin.
Alors que nous étions en train de marcher je t'entendis me répondre. Comme à ton habitude, avec tant d'ouverture et de franchise que cela me laissa en suspension et de surpris pendant un petit moment. J'étais vraiment ravie et heureuse d'entendre tes paroles, c'est alors que je baissa timidement les yeux en rougissant légèrement, tout en prononçant ton nom avec beaucoup de calme et de douceur.

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Malgré ta naïveté j'avais décider de te dévoiler toute mes pensées. Cependant, mon sourire n'avait pas disparu quand je prononçais ces mots et je me tourna alors vers toi avec un large sourire chaleureux.

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Une fois que nous étions arrivés au village, je marcha à tes côtés vers les routes qui menaient à ma maison. Dans l'endroit où j'habitais était totalement isoler des coins peupler d'habitants, mais depuis que tu es entré dans ma vie, je m'étais dorénavant dis que cela ne pouvait être que bénéfique de pouvoir être tranquille avec toi.
En marchant sur la route qui menait à ma maison, nous finissames par y arriver après quelques minutes de route. Mais, face à la vue de mon immeuble, je ne parvenais pas à me réjouir d'être arrivée chez moi. Ma maison ... Etait dorénavant en ruine, il ne restait plus que des tas de briques éparpiller au sol. L'ambiance était pesante, on pouvait à peine distinguer les éléments qui y étaient autrefois présents à l'intérieur, mais hélas tout était détruit. Je resta alors bouche bée sous le choc et paralisée devant cet évènement, que je ne pus prononcer aucun mot. Le seul geste que j'avais pus réussir à faire, était de délaisser ta main subitement et le regard entièrement captivée par la tristesse qui accablait ce lieu.

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En écoutant les mots qui suivèrent les miens, j'hocha vivement la tête comme pour approuvé ce que tu disais et tout en souriant je répondis simplement.

Ces mots étaient prononcé avec beaucoup de franchise accompagné d'un air innocent et adorable.
Mon regard restait posé sur toi tout le long du chemin et quand je vis ton visage se décomposé, je posa enfin le regard sur les ruines.
Regardant le carnage qui avait eu lieux, j'inclina simplement la tête sur le côté avant de dire d'un air déboussolé.

Bien que ce qui étais sous mes yeux était d'une tristesse et d'un désert étonnant, je m'avança vers les ruines et pris un air ronchon avant de porté une brique à la seul force de mes bras. C'était avec ce même comportement gamin que je sembla prendre la décision de déblayé les ruines afin de reconstruire une parcelle du mur.
Mon attitude fasse à cela était réellement stupide. Construire une maison n'était pas si simple, cependant, en tant que loup, je pensais que cela était quelques choses de facile à accomplir.
Je te regarda alors et t'adressa un tendre sourire innocent et naïf tout en disant avec une voix énergique, mais cependant différente de d'habitude, bien que je faisais l'idiot, je n'avais pas tardé à lire ta peine. J'étais un animal, je pouvais donc ressentir la moindre de tes émotions.

Je m'exprimais encore une fois avec beaucoup de sincérité et naïveté tout en assemblant des briques les unes sur les autres.

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Mon regard était devenu livide face à cette événement bouleversante.
Je n'étais pas bouleversée par cette désastreuse ruine en elle-même au premier abord, mais c'est avant tout le fait qu'on voulait atteindre à ma vie jusqu'à aller détruire ma maison.
Je fini alors par te regarder à ton tour lorsque j'entendais tes paroles, tu semblais toi aussi partager ma peine. Je serra fortement les poings en détournant le regard, eu d'un air triste et colérique, je m'exprima alors les yeux remplit de larme de rage.

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Ne posant pas plus longtemps ma vue vers ces ruines, je tourna dos à ma maison et m’essaya sans jeter le moindre regard à ce désastre. Triste et en colère, je murmura d'une voix sombre qui semblait raisonner comme sur le ton de la vengeance.

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Une fois que j'avais amené mes jambes vers moi, à enrouler mes bras autour de ceux-ci.
Mon expression était devenu aussi décapité que les ruines qui étaient présentes.

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Tout en déposant une brique, je t'entendis t'exprimer, en entendant tes mots, je ne pus que baisser la tête et resté silencieux un moment.
Ecoutant chacun de tes mots, je finis par regardé en direction du ciel.
Je poussa alors un léger soupire et m'approcha de toi d'un air sérieux avant de m'arrêter juste derrière ton dos.
Je répondis alors d'une voix étrangement sérieuse.

Je baragouiné ces mots avec une voix plutôt rouspéteuse et sérieuse en même temps. Et tout déposant mes mains sur tes épaules, je me positionna face à toi et t'adressa un large sourire idiot tout en m'exprimant avec sincérité.

Bien que je ne savais pas comment m'y prendre, je voulais que ces dires et ces personnes s'en prenant à toi cesse d'agir ainsi.
Et tout en regardant les ruines, je finis par te tendre la main et t'adressé de nouveau un regard tendre.

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En entendant tes paroles, je fini par relever la tête vers toi. Mon regard était toujours rongé de tristesse, mais à l'intérieure régnait une légère couche remplit d'espoir. Tes paroles me réchauffait, et bien qu'il y avait un petit instant je t'avais oubliée, je te sentais de nouveau à mes côtés. Je n'étais pas seule face à cette situation car tu étais là pour m'épauler. Au moment où je t'entendis me complimenté, mon coeur fini par se serrer laissant un sentiment de joie extrême s'exprimer.

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Un doux sourire fini par prendre place sur mes lèvres. Je m'approcha de toi et posa une main sur ton visage puis fini par coller nos front côte à côte en fermant les yeux.

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Suite à tes propos, j'accepta sans broncher de te prendre la main avec un hochement de tête. Quand soudain on pouvait entendre des bruits raisonner depuis le buisson et, sans nous laisser le temps de comprendre la situation, plus d'une vingtaine de ninja nous encerclait, nous et les seuls ruines qui restait de ma demeure.

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