Etudiant ne faisant que déménagé pour suivre sa famille, arrivant dans un nouvel établissement scolaire. Une rencontre bouleversante, ou une nouvelle amitié va naître. C'est ici que commence ma nouvelle vie.

Je n'avais toujours pas remarqué qu'il se faisait désormais tard.
Je continuais de te regardais et reposa mon regard sur ma mère.
Tel un grand gamin je commença a lui adresser la parole.

Ma mère me regardai toujours, elle semblait amusé par toute les questions que je lui posais et hocha simplement la tête en guise de réponse.

En la voyant affirmé ça, je me retourna vers toi et ria un peu.

Je parlé bien évidement de ma mère avec un ton humoristique.

Mais, a peine avais je finis de dire ma phrase, que je vis ton sourire avoir disparu, je me tus alors et te regarda, sans ne plus rien dire.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Je semblais avoir totalement l'esprit ailleurs mais je pouvais t'entendre t'exprimer de la même façon qu'un petit garçon réclamant la venue de sa mère pour assister à un spectacle. Ton comportement me fessait rire, mais ce n'était pas de mauvaise attention au contraire.

Mon regard s'était orienté vers l'extérieur, je regardais au loin.
Je m'approcha de la fenêtre et posa mes mains sur le bord en regardant dehors pensivement. Derrière la réminiscence de ce quotidien douloureux que je vivais, je souriais en ne laissant reflété aucune douleur.
Soudain, je me mis à chanter à base voix. Le thème de la chanson reflétait entièrement mon histoire indirectement. Sa m'avait permis de relâcher la tension et de me redonner courage.
Cette chanson contant l'histoire d'une personne tentant de rattraper ce qu'elle avait perdu, n'ayant pas la capacité de retenir le temps.

Je devais rentrer à cette heure, mais je ne m'étais pas décidé à le faire maintenant. Je voulais en profité d'une minute de plus ... Mais c'est alors que je m'arrêta en pleine chanson et murmura le nom de ..

Meyrin.

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Etudiant ne faisant que déménagé pour suivre sa famille, arrivant dans un nouvel établissement scolaire. Une rencontre bouleversante, ou une nouvelle amitié va naître. C'est ici que commence ma nouvelle vie.

A lors que tu étais devenue silencieux, je te vis t'avançer vers la fenêtre, je m'arrêta donc de m'exclamer comme un enfant envers ma mère, mon regard c'était dorénavant posé sur toi et ne te lâcher plus.

Soudainement, je t'entendis chanter a voix basse, je resta silencieux et écouta les paroles.
La façon dont tu chantais cette chanson semblait différente de la première, les paroles aussi, le sujet parlé de quelques chose qui était plus personnel.
Je ne disais plus rien et baissa lentement la tête.

Alors que seul ta voix se faisait entendre, je t'entendis prononçer un prénom, un prénom que je venais tout juste de connaître, je ne savais pas qui était cette personne. Mais je pu voir que ton sourire s'enleva suite a ça.

Je ne savais plus quoi dire et posa mon regard vers la fenêtre, je réalisa enfin qu'il se faisait tard, mais je ne prononça aucun mot.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Je regardais au loin en étant consciente que le temps passait, au moment même ou je ne fessais rien. Mes pensées étaient dorénavant tourner vers Meyrin, je semblais soudainement inquiète pour elle.
Après un long moment de silence je fini par pousser un soupire tremblant. Je pense avoir assez tarder aujourd'hui, et que les choses allaient prendre fin ici. Je ne voulais pas songer à y entrer, mais pour assurer la sécurité de ma soeur, je devais y retourner.
Je fini enfin par me retourner vers toi et te regarda. Comme à mon habitude je ne laissais pas paraître mon angoisse ... Et sur un ton bas, j'ajouta avec un léger sourire triste et regarda le sol.

Il se fait tard ... Je vais rentré ...

J'étais doté d'un caractère calme à la fois. Je me retira lentement de la fenêtre et m'approcha de ta mère. Je me pencha à sa hauteur pour lui adresser quelques paroles de façon doux avec le sourire.

Je reviendrais vous rendre visite plus souvent à l'avenir, si vous êtes d'accord !

Je me retourna ensuite vers toi et laissa paraître une image énergique de moi. Je ne voulais pas t'inquiété d'avantage.

Tegoshi, on se voit demain à l'école !

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Mon regard c'était reposé sur toi. J'était toujours plus ou moins silencieux et calme.
Je t'entendis soudainement m'avertir que tu allais partir.
J'hocha simplement la tête, il était tard et il était temps même pour moi de quitté cet hopital.

Je continuais de te regarder et te vis t'approcher de ma mère et lui adresser la parole.
Face à tes mots, elle hocha faiblement la tête.
Je la regarda et sourit de nouveau.

Je t'entendis alors m'adressait de nouveau la parole et hocha la tête tout en souriant.

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Au milieu d'un chassé croisé entre une lycéenne qui ne parvenait pas a être elle-même, et d'un étrange lycéen au look non identifiable, une amitié fragile et naissante se créer entre les deux protagonistes, au milieu des larmes et des rires.

Je vous regardais en souriant suite à tes paroles enjouer et fini par pousser un petit rire amuser. Je pointa mon regard vers toi et fini par dire d'un air taquin.

Tu ressembles à un petit garçon, c'est si mignon !

Je continuais de rire légèrement avant de lever ma main en guise d’au revoir. Je me retourna ensuite vers la sortie et pris le poignet de la porte et fini par sortir de l'hopital. En marchant dans les couloirs pour sortir de l'hopital, mon attitude n'avait plus rien a avoir avec celui que je venait d'avoir précédemment. Je marcha d'un pas perdu et emprunta le chemin menant par la maison et regardais autour de moi.
Il fessait sombre, mais je ne semblais pas être angoissée par cette obscurité, car j'avais l'habitude de terminer mon travail à une heure aussi tardive.

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Face à ta remarque je resta silencieux. Puis, je te vis sortir de la salle. Je n'avais pas eu le temsp de te répondre. Puis avec hate, j'embrassa la joue de ma mère délicatement et me recula de son siège..

Je sortis alors précipitement de la salle et cria pour que tu m'attendes.

Je ne savais pas pourquoi, mais je voulais désormais rentrer avec toi, je ne savais même pas si nos maisons était éloignés ou non, ou même si elle se trouvait sur le même trajet.
Mais j'était près a faire un détour même avec l'heure qu'il était.

Je courrais alors en ta direction et m'arrêta une fois à tes côtés.
Je ria bêtement en arrivant a ton niveau et te regarda.

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Alors que je m'apprêtais a continuer mon chemin une fois que j'avais quitté les lieux, j'entendis mon nom retentir. Je me retourna et n'eu pas de mal a reconnaître ta voix puis une fois que tu arrivas à côté de moi, je te regardais toujours avec étonnement.
Je restais toujours silencieuse puis fini par affiché un tout petit sourire en entendant ta proposition. Je semblais avoir retrouver le sourire et hocha la tête pour te répondre.

Tu aurais peur du noir par hasard ~ ?  

Je poussais un petit rire en disant ceci pour te taquiner.
Je te souriais avec douceur et semblait être pensive. Je prends ta main de moi-même et continuais le chemin.

On y va ... ?

Je t'accompagne jusqu'à chez toi !

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Une fois arrivé a tes côtés, j'entendis ta phrase et ria un peu. J'avais clairement vue que tu plaisantais et riait bêtement.

C'était d'un ton un peu stupide que je te répondis ça.
Suite a ta seconde question, je te répondis par un simple hochement de tête accompagné d'un large sourire.

C'était surement la première fois que je rentré accompagné d'une amie.
Dans mes anciens lycées je faisais en sorte de n'être accompagné que pour les cours.
Une fois la sortie, je restais seul a faire le trajet du retour.

Quand j'entendis ta dernière phrase. Je te regarda un peu surpris et ria légèrement.

C'était d'un ton légèrement maladroit que je te disais ça.
Il était évident que je ne connaissais pas encore la ville et ces rues.

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Ecoutant la réponse que tu avais apporté à ma question je laissais échapper un rire amusé. Je m'attendais déjà à une réponse de ce genre.
Pendant le trajet je passais par la rue qui menait à notre école, c'était l'unique chemin que je connaissais pour rentrer. Je regardais les rues que nous empruntâmes en restant toujours aussi souriante. Quand j'entendis la réponse que tu avais formuler, je me retourna vers toi. Je ne semblais pas vouloir que tu m'accompagnais jusqu'à chez moi et baissais la tête avec un sourire amusé de la situation.

Tu risquerais de te perdre, non ? C'est mon devoir de veillé sur mes camarades ~ !

Je continuais de défendre mon idée de façon entêté. Sur le chemin, une question me venait soudainement à l'esprit.

Tu habites avec ton père à la maison Tegoshi ?

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Tout en marchant je te tenais fermement la main, un sourire visiblement joyeux était visible sur mon visage.

Face a ta réponse, un stupide rire se fit entendre.

A peine avais-je terminé ma phrase que j'entendis ta seconde questio, soudainement mon sourire se transforma en sourire mélancholique. Avec une douce voix je te répondis.

Je te répondais avec une grande sincérité.
Je ne parlais pas beaucoup de ma situation familial, car elle était délicate.

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Tout en continuant de marcher sur le chemin du retour en tenant ta main avec douceur, je regardais le paysage qui s'offrait à nous. Les rues n'étaient pas dynamiques, mais on pouvait remarquer qu'il y avait toujours des magasins encore ouverts à cette heure.

J'écoutais en même temps la réponse que tu avais apporté, et cela me fessait rire à nouveau. Opiner d'un non de la tête, je continuais de rire avec amusement.

Tu es de nature tête en l'air ?

Cela me surprenait légèrement d'entendre cela venant de ta part, alors que tu avais proposer de me raccompagner. Mon rire fini par légèrement s’apaiser lorsque j'entendis tes paroles, et voyant que ce sourire refessait à nouveau surface, je t'écouta avec beaucoup d'attention. Ce sujet semblait être vraiment délicat pour toi, et je ne voulais pas te mettre mal à l'aise.
En plein milieu du chemin, je m'arrêta de façon brusque et te souriais.

Ah, attends !

Je fini par sortir un bout de papier et un stylo après avoir fouiller dans mon sac. Je fini par noté quelque chose dessus: mon numéro de portable. Et te tend le bout de papier avec dynamisme et avec un grand sourire.

Quand tu te sentiras seul, où si tu as besoin de quelque chose n'hésite pas venir me parler ! Je serai toujours à ton écoute.

Cette bonne intention ne venait probablement pas seulement de mon devoir de déléguée, mais au fond de moi, je voulais le faire.
Je n'attendais pas de réponse de ta part et pris à nouveau ta main et t’entraîna a nouveau dans la marche, en cherchant à te changer les esprits.
Soudain, je m'arrêta devant une machine attrape-peluche qui était près d'un magasin, encore ouvert apparemment.
Mes yeux s'illumina tout à coup devant les peluches malgré mon âge, je continuais de partager un petit faible pour elles.

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En entant ta question, je laissa un rire idiot s'échappé, avec gêne, je passa un bras derrière ma tête tout en l'hochant.

Mon regard se poser dorénavant sur les rues, elles étaient calme et peu de gens s'y trouvé, malgré ça, beaucoup de boutique était encore ouverte.
Mon regard vadrouillé de boutique en boutique, quand soudainement je t'entendis m'interpellé.
Je venais a peine de te regarder que je te vis écrire sur un papier et me le donner juste après. Ce que tu disais tout en me l'ayant offert me fit sourire, et c'est avec un doux sourire que j'hocha la tête et accepta.

Nous venions à peine de recommencer notre marche que je te vis t'arrêter face a une machine d'attrape peluche.
En te regardant je ne pus m'empêcher de sourire et rire légèrement.

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Après que je vis que tu prenais a bien le fait que je te partageais mes coordonnées, je fis un léger sourire et hocha la tête comme réponse.
C'est alors que nous finissons par croiser cette machine qui attirait beaucoup mon attention. Je me retourna vers toi et semblait être vraiment hâte d'y jouer, sans cacher mon enthousiasme je fis un grand sourire en hochant plusieurs fois la tête, avec les yeux pétillants.

Je ne joue que pour gagner !

J'étais déterminée et était très confiante. Cette machine semblait être spécial a mes yeux. Je ressentais beaucoup d'affection pour la machine attrape-peluche, elle représentait bien plus qu'elle n'en avait l'air à mes yeux.
Je courais vers elle en te tirant par la main et une fois arrivé devant elle, je ne puis m'empêcher de prendre cette air adorable sur mon visage. J'inséra donc une pièce et commença a diriger la manette.
J'exprimais plusieurs mots d'encouragement, mais je n'avais rien attrapé. Je n'avais en réalité jamais jouer à ce jeu et passa une main derrière ma tête, gênée de cet échec.

Bon ... Tant pis pour aujourd'hui ...

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J'était devenue silencieux et regardais en direction de la machine, quand je te vis joué, aucun mot ne sortais de ma bouche, mon regard c'était posé sur un panneau au dessus de la machine.
Et d'un coup. Je te pointa cette affiche du doigt, "Chance de gagner, 1 chance sur 5".

Je venais de te répondre ça tout naturellement. Je regardais les peluches de cette machine et me faisait dorénavant silencieux. Ce jeux ne résidait que sur ta chance.

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Après avoir échouer je laissa une petite expression mécontente et gamine dominer mon visage. Je continuais de bouder devant la machine avec mécontentement et fini par donner une petite tape sur la vitre.

Ce n'est pas juste, j'y étais presque !

Je te vis ensuite tendre le doigt vers cette affiche qui avait totalement échapper à la vigilance puis je t'écouta en même temps. Je semblais légèrement surprise par tes paroles qui laissait paraître un léger côté d'analyse, ce que je n'étais pas habituée à faire.
Je baissa ensuite la tête gênée par la situation.

Je ... Je n'avais pas fais attention à cette affiche ...

Je laissais échapper un petit rire. Et fini par te tendre ensuite un sous de deux euros.

Puisque je n'ai pas de chance ... Tu l'attraperas pour moi ?

Je prononçais ses mots de façon doux et amusé à la fois.

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Face a ta réaction je sembla légèrement amusé mais ne disais plus rien.
Quand je te vis me tendre la pièce, j'inclina légèrement la tête d'un air pas très convaincus

Je regardais ta pièce sans ne rien ajouté et semblait toujours autant réticent.
Je savais que je n'était pas chanceux et ne voulais pas te faire perdre cette pièce.

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Ecoutant la réponse que tu venais de donner j'hocha la tête avec confiance et regarda la pièce. Je continuais de sourire légèrement et ria un peu.

Je n'aurai rien perdu. Même si l'argent ne me revient pas ... Je me suis amusée ! Le bonheur est tellement insignifiant face à l'argent ...

Ces paroles était prononcé avec sincérité. Je continuais de te tendre la pièce en te forçant presque de la prendre.

Jouons dans cette pièce pour cette peluche !

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J'écoutait la réponse que tu m'avais apporté et ria légèrement. Je finis alors par prendre la pièce. Et te regarde en riant un peu.

Je disais ça en plaisantant et m'avança vers la machine avant d'y inséré la pièce.

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Je te regardais faire et te souria avec douceur. Je ne fessais aucune remarque suite à ta phrase et regarda vers la machine, puis à nouveau vers cette affiche.

Yosh .. !

C'était avec un ton dynamique que je laissais échapper ceci et attrapa ta main tenant la manette. Mon regard était confiant, je semblais être résolue à attraper une peluche.

A deux nous aurions 40% de chance de réussite !

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J'avais dorénavant ma main poser sur la manette quand je sentis la tienne, mon regard se posa sur toi quelques secondes, un léger sourire s'afficha sur mon visage quand j'entendis la phrase que tu venais de dire. Face à cette phrase j'hocha la tête.

Alors que je disais ça, je commençait à jouer, cela pouvait semblait amusant, mais je me montré extrêmement concentré. Le plus dur était de garder la peluche dans la pinces.

Une fois que l'une d'elle fut attrapé un petit "Yatta" ce fit entendre.

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Je regardais les peluches derrière la vitre et afficha un doux sourire en patientant. Je posa ensuite mon regard sur toi et ne disais plus rien, te laissant jouer. Un petit sourire amusé s'illumina sur mon visage, c'était drôle de te voir jouer aussi sérieusement pour un jeu d'enfant.
Lorsque je vis la peluche se faire attraper, je devenais rapidement réjouis de cette victoire.

Tu l'as fais !

Je rejoignis mes mains remplit par la joie que tu ai parvenu a me l'attraper.Je me pencha ensuite pour récupérer la peluche et la contempla pendant un long moment. Mon expression était diamétralement opposé à la première image que tu avais de moi.
Je me retourna ensuite vers ta direction en gardant ce sourire réjouis et gamin.

Tu es trop fort !

Je disais ceci sans particulièrement réfléchir, et laissais échapper ce que mes pensées premières me dictait.

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A peine la peluche gagné, je te vis la prendre et la comtemplé.
C'était avec un regard légèrement amusé que je te regardais et écouter les quelques mots que tu disais.
C'était amusant de voir que la première impression que tu donner au gens était totalement différente du comportement que tu venais d'adopté.

Cependant je resta un moment silencieux et reposa mon regard sur ce jeux de hasard.
Je le regardai d'un regard vide.
Puis au bout de quelques seconde, je reposa mon regard sur toi et cette peluche et un sourire dynamique s'afficha sur mes lèvres.

Je disait ceci avec un ton plaisantaint. Il était évident que ce que je disais était surjoué.

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Après l'avoir contempler durant un long moment, lorsque je t'entendis m'aborder la parole, je me retourna vers toi avec un sourire remplit de dynamisme. J'hocha le tête a plusieurs reprise pour approuver entièrement d'un "Oui". Je le serra ensuite très fort dans mes bras, comme si je n'avais pas toucher de peluche depuis très longtemps et que cette habitude me manquait. C'était d'un caractère enfantin et mignon que je laissa paraître de moi.

Je ne faisais presque plus attention a la distinction entre le caractère autoritaire que je prenais en tant que délégué, face à mes camarades, et à mon caractère réel. Tu étais devenue pour moi, une présence avec laquelle je me suis très rapidement familiarisé.

Je l'aime beaucoup !

Je te répondais avec un ton très énergique en gardant ce côté enfantin.
Alors, je commença a lever la peluche en direction du ciel et continua de la contempler, en regardant les étoiles à la fois. J'étais tellement heureuse et replier sur mon caractère enfantin que je ne remarqua pas directement la présence d'un homme.
Il se tenait devant nous, et nous surprend par derrière. 

Les jeunes de nos jours sont bien irresponsable ...

La femme des neiges dévorera votre âme si vous ne vous mettez pas à l'abris. Il ne vous reste que douze minutes avant qu'elle ne fasse son apparition ...

Je vous aurais prévenu ..

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Je te regardais cotempler cette simple peluche, je ne savais quoi dire et te regardais simplement apprécier ce moment. Alors que tu paraissais heureuse et souriante, j'entendis la voix d'un vieux monsieurs nous adresser la parole. Mon regard ne tarda pas à se posait sur lui, et suite a ce qu'il venait de prononcer je ne peux m'empêcher de répondre.

Contrairement à toi, je ne semblais pas plus surpris que ça et écouta avec attention sa réponse, bien que je ne comprenais pas ou voulais en venir ce ce vieux homme, je le regardais et semblait prêter attention aux mots qu'il prononçait. Ces mots étaient tous assez durs, qui était cette femme des neiges dévorant les âmes? Est ce que cela existé ? J'étais assez pessimiste et m'avança d'un pas en sa direction.

Tout en demandant ça je reposa mon regard, je ne semblais pas vraiment vouloir croire aux mots de ce vieux monsieur.

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