Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Suite à mes mots, je ne tarda pas à remarqué ta colère et ton inquiétude, bien que tu semblais m'en vouloir pour cette décision dangereuse et quelques peu irréfléchis, je me montré simplement silencieux. Tes gestes et tes mots ne refléter que tes pensés. Je ne pouvais t'en vouloir ou être en colère. Sans même essayé de répliquer, j'écoutais chacun de tes mots d'un air inexpressif.

C'est au moment ou tes premières larmes coulèrent que mon regard changea, on pouvait y lire de l'inquiétude mais aussi de la culpabilité.
J'écoutais chacun de tes mots. Mon regard quand à lui se posa lentement vers le sol tandis que mes poings se resserrèrent.. Sans dire quoi que ce soit, j'attrapa l'une de tes mains et ferma quelques instants les yeux avant de prononcé d'une voix calme et visiblement triste.

Cet homme n'en a surement pas finis, surement attendra t'il ma venue. Peut être qu'il a définitivement pris possession du corps de Terra. Mais … Je suis certain que mon ami me protégera tout comme tu l'aurais fait. Peut importe où nous sommes, nos coeur nous réunirons de nouveau, j'en suis certain.

Comme à mon habitude, je ne préférais pas pensé au mal que tout cela pouvait engendré, et je faisais une confiance totalement aveugle aux pouvoir de la lumière. J'attrapa alors ta seconde main et les serra avec beaucoup de force tout en te regardant dans les yeux.

Je fais ça, pour mes amis, J'ai juré d'être la pour eux. Alors, allons y ensemble. Alice, nous serons ensemble. Quoi qu'il arrive. Je ne perdrais pas une seconde fois mon coeur.

Bien que je me doutais que ma réponse n'allais aucunement te rassuré et te calmé, je te disais ces mots avec beaucoup de sincérité et de sérieux.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Alice. Mon prénom est Alice. C'est tout ce dont je me souviens. Mes souvenirs se sont éparpiller et abandonner sur Terre et m'ont quitter le jour de mon pêcher - Réciproquement au même jour où j'ai été envoyé dans les profondeurs de l'Abyss.

Ce n'est sans réelle surprise que les paroles que tu prononcèrent commençait à me rassurer. Tu avais ce don, d'illuminer mon coeur à l'espace de quelques instants, rien qu'à travers quelques mots. Cependant je pouvais sentir que tes paroles ne traduisait aucunement la joie, mais pourtant une lueur d'espoir pouvait y naître.
En écoutant ce que tu avais à me dire, je te regarda de-même dans les yeux bien que mon regard semblait perdue et ronger d'angoisse, tout ce que j'avais trouver à faire était de te serrer les mains à mon tour. Face à ta dernière phrase, mon regard fini par quitter le tient. Et sans avoir les moyens d'empêcher mes larmes de couler, l'une d'elle fini par se déposer sur nos mains. Je semblais être en réelle désaccord avec toi, pour la première fois. Bien que je continuais de te tenir les mains, je tremblais légèrement. On ne pouvait savoir si cela était dus à la colère où à l'inquiétude.

“”

Ce fut la première phrase qui s'échappa de ma bouche. Et avec la tristesse et la colère alterner, je continua de te faire parvenir mes sentiments.
C'est avec une voix beaucoup plus fiable et calme que je prononçais ces mots.

“”

A la fois déterminée et persévérante, je refusais de te laisser à nouveau confronter à ces ténèbres. C'est alors qu'en retirant mes mains des tiennes, je t'attrapa subitement par le col et pointa mon visage si près de toi que je pouvais ressentir ta respiration. Mes yeux étaient remplit de larme cependant, le regard que je t'adressais qualifiait d'une détermination hors norme accompagne d'une couche de colère.

“”

A ces paroles, mes poings se serrèrent. Bien que j'avais beaucoup de mal à retenir ma tristesse, je tentais de maintenir une conversation qui semble la plus fluide possible. Cependant, lorsque j'examinais mes propres paroles, je me rappelais des douleurs les plus infimes sumerger en moi quand je croyais t'avoir perdue. C'est alors que je te regarda à nouveau, mon regard était devenu beaucoup plus calme et surpris. J'étais aveuglée par le devoir de te protéger que j'oubliais que, même si tu étais en vie, ton coeur serait mort si tu abandonnais un ami. Envahis par l'hésitation je fini par te lâcher petit à petit en me reculant de toi. Je semblais dorénavant totalement perdue ne sachant comment agir, la détermination qui me régnait avais subitement disparu, mais je ne parvenais pas à abandonner cette inquiétude en moi. Je recula alors de quelques pas en te regardant, sans ne plus rien dire, à part murmurer des mots qui n'ont ni queue ni tête.

“”

Au fond de moi, je ne savais plus ce que je voulais faire.