Le Coeur peut-être faible parfois, il peut même se soumettre. Mais j'ai appris qu'au fond de lui il y a une lumière qui ne s'éteint jamais.

Après m'être allongé sur le lit, je ne tarda pas à te sentir déposé une couverture sur moi, et tout en ouvrant les yeux, je te chercha du regard, cependant la pièce était dorénavant noir, et je ne pouvais plus te distingué.
Bien que c'était un simple geste que tu venais de faire, cela me touché beaucoup que tu prennes le temps de te préoccupé de moi, il était vrai que dans ma fatigue, je n'avais même pas pris le temps de m'installer correctement, et alors que je t'entendis me demandé si je dormais, je put te sentir me retrouver dans le lit.
Même s'il faisait noir, je pouvais sentir que tu étais contre moi et tout en t'écoutant et en te sentant serrer mon tee shirt, je referma les yeux et finis par te prendre soudainement dans les bras avec une grande attention et avec douceur. Les mots que tu venais de me dire laissèrent alors naître un léger sourire sur mes lèvres, et tout en te serrant contre moi, j'hocha légèrement la tête avant d'ajouter avec une voix douce qui était quasiment murmuré.

Je ne partirais pas… Et je ne te laisserais pas partir non plus.. Nous serons toujours ensemble, quoi qu'il arrive..

Après avoir dit ces mots, une larme se forma et ne tarda pas à glisser le long de ma joue. J'ignorais pourquoi mais en ce moment, je ne pouvais retenir quelques larmes, et tout en te serrant un peu plus fort, j'ajouta ces quelques mots, tout en souriant comme pour cacher ces larmes.

Alice.. Laisse moi, te serrer..encore un peu avant de dormir .. Ce moment, me rappelle le jour ou j'ai vécus grâce à ton amour.. Bien que tout était noir.. et sombre, je pouvais ressentir cette chaleur, et je pouvais entendre ta voix.. c'était tellement familier..

Malgré que mon sourire demeuré sur mon visage, j'ignorais pourquoi, mais les larmes ne cesser de couler et tout en laissant échappé un léger rire gêné de la situation j'ajouta.

Nee, je t'aime tellement au point d'en pleurer sans raison, c'est ridicule..

Bien qu'il y avait une raison à ces larmes, je m'exprimais toujours avec un air plaisantin et sérieux à la fois.

(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

Alice. Mon prénom est Alice. C'est tout ce dont je me souviens. Mes souvenirs se sont éparpiller et abandonner sur Terre et m'ont quitter le jour de mon pêcher - Réciproquement au même jour où j'ai été envoyé dans les profondeurs de l'Abyss.

Ne m'attendant absolument pas à te voir éveillé, à ma grande surprise j'ignorais comment, mais j'avais finir par me retrouvé dans tes bras. J'écarquilla alors les yeux suite à ce geste affectif remplit de délicatesse à la fois. Je murmura alors doucement ton nom avec surpris dans un premier temps, avant de lever la tête en ta direction comme pour chercher à te voir.
Cette situation inattendue me laissa alors légèrement perplexe et légèrement gênée. J'afficha alors une petite bouille drôlement adorable tout en rougissant légèrement quand tu m'avais serrer contre toi que je ressemblais à une enfant. Entendant alors tes premières phrases, je ferma lentement les yeux comme pour me laisser bercer par ta douce voix.

Sans doute car je savais qu'ils avaient le pouvoir de me bercer le coeur, je voulais profiter de cette instant à tes côtés. En entendant tes paroles si rassurant je laissa un doux sourire remplit de chaleur avant d'hocher la tête plusieurs fois telle une gamine. Cependant, au moment où tu me serra un peu plus contre toi, je t'entendis m'adresser ces mots et je n'avais pas de mal à entendre que malgré les paroles doux que tu prononçais, ils sonnaient réellement triste et nostalgique. Mon sourire s'enleva lentement, c'est alors qu'une expression bien plus inquiète reprenait le dessus. Relevant de nouvelle fois la tête vers ton visage, je voulais te regarder même si j'en étais incapable dans l'obscurité, je savais comment tu te sentais. Je murmura alors doucement ton nom avec un ton inquiet, toi qui t'était toujours montré aussi fort et rassurant, j'avais presque oublié que tu n'était pas infaillible bien que tu étais quelqu'un remplit d'espoir et que je me reposais sans cesse sur tes épaules, te voir dans cette situation m'était réellement sensible. C'était, je pense, la seconde fois que je te retrouvais en larme depuis le jour où tout à basculer quand tu avais appris être une arme dangereuse.Pour que tu puisses les verser, je me doutais que quelque chose devait profondément t'affecté comme à ce jour.

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Je me montrais réellement inquiète et attentif, c'est alors que je posa une mains dans tes cheveux en te les carressant comme pour te rassurer malgré tout. Avec une petite voix, je t'adressa un léger sourire bien que tu ne pouvais le voir.

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J'amena alors une main sur ton visage comme pour retirer tes larmes. Et en faisant allusion à tes larmes que je qualifiait comme des étoiles, je murmura avec beaucoup de tendresse et sincérité.

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Je te serra alors à mon tour contre moi en profitant de ta chaleur qui berce mon coeur.